Novembre 2019 - 181119

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Salut à toi, j’espère que tu vas bien. Aujourd’hui, on est le lundi 18 novembre et c’est moi-même, Kendy Polestin, qui vais animer cette session aujourd’hui.

Si c’est la première fois que tu viens aux sessions, le principe est très simple, c’est que tu vas pouvoir poser tes questions directement dans la chatbox. Et ensuite, je vais pouvoir te donner la parole et répondre à ta question directement en live.

Est-ce que tu peux me dire si tu m’entends bien, si le son est OK, si tout va bien de ton côté ? Et puis comme ça après, je vais pouvoir te donner la parole.

OK, parfait, nickel. Bah écoute, je vais te donner la parole Johan. Tu vas pouvoir me dire un petit peu où est-ce que tu en es.

Johan : Yes, allô ?

Yes Johan, comment vas-tu ?

Johan : Salut Kendy, ça va très bien et toi ?

 Ça va nickel.

Johan : Déjà, je voulais te remercier, c’est vrai que je t’ai envoyé le mail dimanche, mais j’ai vu que tu m’as envoyé la réponse, là dans la journée. Franchement, merci beaucoup.

Et avant la session, j’ai eu le temps de regarder ta petite vidéo sur le devis, donc c’est plus clair. Maintenant je sais où taper, donc un grand merci, franchement.

Du coup parce que voilà, j’étais un peu perdu, donc je sais un peu où taper, mais en fait le truc c’est que là, tu as vu le devis, tu as vu le montant sachant que moi, mon enveloppe pour les travaux c’est, en gros, 90 000 €-91 000 € quoi. Donc là, tu as vu que le devis, il était à 120 000 €, donc c’est déjà pas mal. Et en fait ça, là, ça n’inclut même pas des travaux que je veux faire dans… il y a une cour intérieure, je voulais juste faire un truc, genre mettre des graviers. Un truc simple, facile, mais là pour l’instant il y a du béton, il y a de l’herbe bizarre, donc voilà. Je lui ai demandé de faire chiffrer ça, mais déjà tu vois que le 120 000 €, c’est trop.

C’est trop. Mais de toute façon moi j’ai vu, quand tu m’as envoyé ton fichier, justement je pense que je le partagerai aussi aux autres membres parce que de toute façon il n’y a pas d’informations personnelles. Ce qui est intéressant, c’est que tu avais déjà vu, toi, les points qui étaient élevés. Donc ça, c’est une bonne chose.

Après, maintenant ce qu’il faudra que tu fasses, c’est que tu voies avec l’artisan pour que tu optimises le devis en mettant les bons éléments aux bons endroits parce que là, effectivement, j’ai vu par exemple la douche super élevée, à 1 000 € et tout. Ça, c’est beaucoup trop cher, c’est le prix même de la salle de bain complète pour moi.

Donc c’est ce genre de chose qui va te permettre vraiment de gagner de l’argent, c’est-à-dire que même si t’arrives à gagner 5 000 € par appartement et tu fais fois quatre, du coup tu seras déjà un peu plus proche de ton budget que maintenant.

Johan : Ouais, je vois, mais du coup tu vois, donc là je suis à 120 000 €. En fait comme je dois rajouter aussi les travaux dans la cour là vite fait, je n’ai pas encore le montant, mais ce à quoi je réfléchissais, *0:04:18* je ne peux pas aller voir le banquier et peut-être monter. Là, j’ai une enveloppe globale de 160 000 € dont 90 000 € de travaux. Est-ce que je ne peux pas les voir pour monter un peu ?

Ah bah moi je te dis, tant que tu n’as pas demandé, tu ne peux pas savoir la réponse. Ni toi ni moi ne l’avons. Là, la seule personne qui a la réponse, c’est le banquier. Donc ce que tu fais, c’est : tu vas le voir, tu dis : « ah, le truc qu’il se passe, c’est que comme j’ai envie de faire un truc vraiment propre, là bon, c’est correct, mais je voulais faire un petit truc à l’extérieur. Donc je voulais savoir si on ne pourrait pas avoir une petite rallonge de 10 ou 15 000 € ? »

Et il va te dire : « ah, bah Monsieur *0:04:57*, non, là c’est chaud » ou « bon, ouais, pourquoi pas, il n'y a pas de problème ». Tu seras peut-être même surpris, il va dire « ah, pas de problème, si vous voulez 15 000 €, vous me dites hein ! Ou 20 000 €, il n’y a pas de problème ! » Mais il faut que tu poses la question.

Et s’il te dit non, c’est top, ce n’est pas grave. Au moins, tu as eu la réponse. Mais de toute façon, il ne va pas te manger, le mec.

Johan : Ouais, mais tu vois, t’es très bien placé pour savoir, t’as vu comment j’ai galéré pour…

Ouais, mais je pense qu’on a tous eu… moi, j’ai fait cette erreur. Moi au début, j’avais galéré un peu pour le financement, je ne sais plus c’était lequel, mais j’ai galéré un peu pour le financement. Et après, je me suis dit : « je ne vais pas encore faire le mec chiant à aller demander encore du financement ». Du coup j’ai sorti 10 000 € de ma poche pour faire des travaux. Et après, le mec il m’a dit : « Monsieur Polestin, vous avez fait comment pour le reste ? », je dis « bah j’ai mis de ma poche ». Il me dit « Pourquoi vous ne m’avez rien dit ? », j’ai dit « ouais, mais j’étais… »

Et je me suis senti con, je dis : « putain, mec, tu as perdu 10K alors qu’il suffisait de demander ». Voici comment tu présentes le truc : « bon, écoutez, le truc, c’est correct ce que je vais faire, c’est déjà bien, mais ce que je voulais, c’est que je voulais vraiment faire un truc tip top, vous voyez ? Donc là ce qu’il me faudrait, c’est une petite rallonge de 10K ou 15K pour faire en sorte que ce soit nickel chrome, quoi ».

Il va te dire : « bah écoutez Monsieur Johan, ouais, ça va ». Ou il va dire : « ah, c’est tendu, il faut que je voie avec la responsable », et tout. « Bah écoutez, si c’est vraiment compliqué, laissez tomber ». Genre si tu veux la jouer comme ça, tu peux. Mais pour moi, il faut que tu demandes. Tu ne peux pas savoir. J’aime bien partir de l’image de la demoiselle : si tu la vois passer, un mec qui voit une demoiselle passer, il ne demande pas son numéro, il ne saura jamais, alors que s’il avait demandé, bah elle va dire oui ou elle va dire non. Mais au moins, il a la réponse. Mais il n’y a pas de regret. Il ne faut surtout pas avoir de regret, donc du coup tu présentes bien le truc, s’il te dit « OK », tant mieux, bah on y va. Et s’il te dit non, j’ai envie de te dire, on s’en moque parce qu’en plus, tu pourras toujours faire un Cetelem à côté, quoi. Lui, je pense que s’il est intelligent, il va te suivre.

Johan : Mais ouais, ma question, c’est : en fait, moi OK, il y a le Cetelem à côté, mais en gros si je dois faire une rallonge de disons 20 000 €, c’est quoi les conditions à respecter pour faire un Cetelem de 20 000 € ? Parce que moi, je n’ai pas envie après derrière que j’aie déjà fait mon prêt de 160 000 €, derrière, Cetelem il voit ça et il me dit non, quoi. Enfin, c’est quoi les conditions un peu ?

Justement, si tu veux faire un truc comme ça avec Cetelem, il faut que tout de suite tu enchaines. C’est-à-dire qu’au moment-même où le compromis est validé, tout de suite tu demandes à Cetelem. Il ne faut pas que tu attendes genre deux-trois mois et après demander à Cetelem parce que quand ils vont te demander tes anciens relevés de compte, ils vont voir que ouais, il y a déjà des mensualités qui tombent. Donc après, je te dis, ça c’est vraiment dans le dernier cas de figure, mais concrètement, le mec il serait vraiment con de ne pas te rallonger 10K. En plus sur 20 ans, ça ne coûte rien.

Donc moi je te dis pose déjà la question et si vraiment il ne veut pas, à ce moment-là, franchement, je serais même tenté de lui dire : « bah écoute, moi, si je demandais ça, c’était pour éviter de faire un Cetelem à côté parce que bon, je me dis tant qu’à faire, autant qu’on travaille ensemble. En plus pour vous, c’est un autre prêt et tout, donc je n’ai pas envie de multiplier mes contacts. Moi j’ai vraiment envie d’avoir un intermédiaire, un contact et vraiment créer un partenariat fort. Moi, c’est ce que j’ai envie ». Quand tu *0:09:00* comme ça, le mec il va dire : « ah oui, je suis d’accord ».

Johan : Il ne va pas me jeter si je commence à lui parler de Cetelem ?

 Non, mais moi je te dis attends. Ce que tu peux faire, c’est attendre qu’il te prête déjà le prêt immo et après tu lui en parles. Ou sinon, tu lui dis que bon, après, effectivement, tu es en train de voir avec l’artisan, il y a une petite cour que vous pourriez améliorer *0:09:35* donc tu voulais voir avec lui si genre on allonge le…

Il y a deux solutions. Soit tu fais le projet après avoir validé le prêt immo, c’est-à-dire que tu es sûr que là c’est bon, tu as le prêt immo et là tu viens le présenter. Ou soit, avant même de finaliser, tu lui dis : « écoutez, là on était avec mon artisan, on a fait le tour et on se disait que si on améliore une petite cour intérieure, ça pourrait nous permettre de louer beaucoup plus cher. Donc c’est pour ça que je voulais voir avec vous si on peut augmenter le budget de 10K ou de 20K ». Et tu lui dis : « je voulais voir avec vous si ça va passer. Déjà en plus, mec, on est ensemble, est-ce que tu penses que ça va passer auprès de ta direction ? ». Plus un peu comme ça qu’il faudra passer.

Et je pense que c’est même mieux de le présenter tout de suite comme ça. S’il doit l’englober dans le projet, ce sera beaucoup plus simple et en plus il va t’étaler ça sur 20 ans mec. Donc ça va te coûter peanuts !

Ouais, je sens que tu flippes là. Mon gars, je te dis t’inquiète, c’est soit tu poses la question, il te dit oui, il te dit non, mais c’est tout, il n’y a pas de… Tu lui dis : « écoute, moi je veux faire une petite rallonge, est-ce que tu penses que ça passe si on fait la rallonge ? ». Il va te dire : « oui, je pense que ça passe » ou « non, ça ne passe pas. Et bah OK, si ça ne passe pas, tant pis, on reste comme ça. Point, et puis voilà, quoi.

Johan : OK, ouais, t’as raison. C’est ça, OK, je vais faire comme ça.

Mais ce n’est pas parce que tu vas lui poser cette question qu’il va te dire : « bah finalement, je ne te suis pas sur le projet ». S’il te dit qu’il ne te suit pas, c’est que déjà il n’avait pas prévu de te suivre. Parce que pour 10K sur 20 ans, je ne sais même pas combien ça représente, ce n’est rien. Tu fais 10 000 divisés par 240, ça te fait 41 €, disons que ça va te faire 50 €, même pas, tu vois ?

Johan : Ouais, c’est clair.

Donc t’inquiète.

Johan : Du coup après aussi, en fait moi, là le banquier il me demande des devis, mais le seul devis que j’ai, c’est celui que tu as vu, il est à 120 000 €. Donc moi, ce que je voulais faire en fait aussi, c’est demander, limite à l’artisan de me faire deux devis. Donc déjà je le corrige avec les remarques qu’on a faites, je fais baisser, je fais deux devis.

Mais pourquoi tu ne donnes pas directement… tu as déjà vu avec le banquier ou pas pour le budget ?

Johan : J’ai déjà vu avec le banquier, mais moi je lui avais dit 90 000 € parce que voilà…

Ah bah mec, toi, tu n’es pas artisan ! Tu as été voir avec l’artisan, vous avez vu les améliorations qui pourraient être faites, il t’a donné des idées. Et là, c’est 120 000 € et tu dis que c’est 120 000 €. C’est lui qui va te dire : « ah non, Monsieur *0:12:41*, ça ne va pas passer ». Bah tu dis : « écoutez, dans ce cas-là, ce qu’on va faire, c’est que moi j’avais prévu de voir avec l’artisan pour faire la cour intérieure, on ne va peut-être pas la faire, mais mettez le budget que vous pouvez ».

S’il peut te mettre 100 000 €, il va te mettre 100 000 € parce que de toute façon, tu ne pourras pas débloquer l’argent sans facture. Tu dois toujours débloquer avec facture. Et tu peux même lui dire : « j’aurais même préféré mettre 130 000 €, comme ça on est sûr : si je ne prends pas tout, je vous rendrai le reste et si j’ai une petite surprise, au moins c’est déjà fait, comme ça on peut anticiper ». Il ne faut surtout pas demander le financement au prix juste parce que si demain tu as effectivement une surprise, là tu vas sortir de ta poche, mon gars.

Donc au contraire, même si c’est 90 000 €, toi tu veux avoir ce budget-là pour toi, il faut que tu demandes beaucoup plus, quitte à remettre l’argent plus tard. Puisque de toute façon, tu vas débloquer en fonction de ce que tu veux. Donc si par exemple tu as fait 100 000 € de travaux et qu’il reste 20 000 € à débloquer, de toute façon tu les laisses sur le compte parce que si tu dis que tu as fini tes travaux, ils vont commencer à te prélever tes mensualités direct. Donc tu laisses les 20 000 € sur le compte jusqu’à la fin du différé. Et à la fin du différé, tu dis : « écoutez, je n’ai pas eu besoin du reste, donc du coup vous pouvez refaire le calcul pour les mensualités ». Et puis du coup ce ne sera recalculé que sur le montant que tu auras débloqué.

Johan : D’accord, OK, ah oui. Ouais, je vais faire comme ça parce qu’en fait pourquoi ça me stresse comme ça ? Parce qu’en fait là, je suis bloqué. Là, le banquier me demande des documents pour les devis, donc tant que je n’ai pas un devis, je n’avance pas, quoi.

Ouais, mais je te dis, les devis, limite tu pourrais même aller genre chez Leroy Merlin et faire un devis avec carrelage, salle de bain en marbre et tout. Et tu mets ça au mec, ça serait pareil. Le devis, c’est juste pour dire qu’en gros, il nous a demandé 100 000 €, c’est pour faire à peu près ce truc-là. Mais on sait très bien que tu peux tout à fait changer d’avis sur ton chantier, il peut y avoir des petites modifications de trucs et tout. Donc c’est pour ça qu’on ne débloque jamais le budget travaux sur devis, c’est toujours sur facture.

Johan : Ouais. D’accord, OK.

Et en plus, si vous êtes deux sur le projet, franchement, 10 000 €, c’est peanuts. Si vous êtes deux sur le projet, ça ne représente rien par rapport à votre capacité d’emprunt. Même je peux dire tu prends 130 000 €, mec tu es large.

Et je vais te dire moi ce que j’aurais fait, c’est que j’aurais pris ça et j’aurais pris 130 000 € même et puis j’aurais demandé à mon artisan de me faire des factures au prorata et puis comme ça j’aurais même pris ce cash-là pour acheter mes meubles et tout.

Johan : Bah oui, mais les meubles aussi, ça… bonne question, ça aussi, ce n’est pas encore inclus !

Ah bah si ce n’est pas inclus mon gars, tu prends 130 000 €, tu prends le budget que tu as, je pense que tu dois vraiment financer ce dont tu as besoin. C’est-à-dire même si tu demandes un peu plus, ce n’est pas grave parce qu’on sait qu’il peut y avoir des modifications, donc le mec il sait très bien que tu n’es pas artisan. Sur ta fiche de paie, c’est écrit « ingénieur », donc il sait que tu as fait une estimation, mais avec l’artisan, on a vu qu’il y avait tel truc à modifier, donc ça va générer un surcoût.

Et même je te dirai demande à ton artisan de te faire un devis pour toi que tu vas modifier avec les trucs qu’on a vus nous et un devis pour la banque. Le devis pour la banque, tu lui demandes de te mettre un truc genre 130 000 €, 140 000 € en fonction du nombre de logements que tu vas mettre. En sachant que tu dois avoir à peu près 3 000 € par logement, tu fais la multiplication et après tu mets ça en plus sur ton budget travaux.

Johan : 3 000 € tu veux dire pour l’ameublement ?

Ouais, pour l’ameublement, max. Normalement, tu en auras pour moins, mais si tu veux faire un truc avec des petites décos sympas, machin et tout, à 3 000 € tu peux te faire plaisir vraiment comme il faut.

Johan : D’accord, OK. Bah je vais intégrer ça, OK.

Mais pas de panique, pas d’inquiétude mec. Franchement je te dis, ça, c’est des coups de stress que j’ai eus et qui ne servent à rien. Franchement, c’est vraiment du coup du stress pour rien. Et moi je te dis, je me suis senti con quand le mec il m’a dit :« mais Monsieur Polestin, pourquoi vous ne m’aviez pas dit ? » Et à la fin, si le mec il apprend que limite, tu as été faire un Cetelem après, il va dire : « putain, mec, tu me l’as mis à l’envers ! Moi je te file un projet, je te finance et tu vas prendre de l’argent chez Cetelem. Parce qu’il faut te dire que quand tu prends un prêt chez lui, tu le fais vendre en fait, le mec. Il a un objectif, le banquier. En fait, il ne faut pas que tu voies le banquier comme quelqu’un qui te fait une faveur, c’est un mec à qui tu rends… c’est un échange de bons procédés, vous vous rendez service.

Moi, quand je vais aller voir mon banquier, je lui dis : « mec, il me faut une assurance, tu ne peux pas me faire ça ? » Et quand il me dit :« ouais, non, je ne peux pas », bah je vais voir ailleurs. Je lui dis : « je suis venu te voir, tu ne peux pas, ce n’est pas de moi », mais je lui fais voir effectivement que moi j’étais prêt à bosser avec lui. Je lui dis : « écoute, moi il me faut assurer tel ou tel truc », il m’a dit OK. J’ai pris des bureaux, je lui ai dit : « il me faut une assurance pour mes bureaux ». Il m’a dit : « ouais, bah ça je ne sais pas encore si je peux faire », mais je lui dis. Et s’il peut, il suit, s’il ne peut pas, tant pis. Mais au moins, je lui dis. Moi je n’ai plus à faire du crédit conso et des trucs du genre, mais si par exemple je veux un truc, le mec il m’a mis un passeport crédit. Donc je n’ai même plus à faire de demande ou quoi que ce soit. Je vais sur mon espace et je débloque des fonds sans avoir demandé à qui que ce soit, quoi. Mais parce que tu vois, on est dans une bonne relation. Je lui dis : « écoute, mec, là il me faut des travaux, j’ai ça, il va falloir faire ça ». Il me dit : « bah pas de problème. Écoutez Monsieur Polestin, on ne va pas se prendre la tête, je vais vous mettre un passeport crédit, vous allez dessus, vous êtes autonome et vos pouvez faire ça parce que sinon, à chaque fois il faut qu’on se voie. Et bah ouais, c’est beaucoup plus simple (Rire.)

Mais c’est comme ça que tu dois vraiment communiquer avec ton banquier et je te dis, lui-même il sera content que tu prennes un truc chez lui, il verra que c’est un autre service que tu lui rends, donc pas de panique. Tu n’as pas à stresser pour ça.

Johan : OK, très bien. Et du coup, après je vais laisser la place parce qu’il y a forcément d’autres sprinteurs qui ont des questions. Du coup, ça, c’est pour donner le news, tu sais on était aussi sur nos tableaux, en mode : « il faut que j’aie un CDI » parce que là aujourd’hui, je suis encore en intérim, je ne t’avais pas dit mais j’ai trouvé un CDI et je commence le 2 décembre, donc pas longtemps.

Putain mon gars, là tu vas envoyer du pâté mon gars, good job mec !

Johan : C’est le but, mais tu vois, ça, pourquoi je veux boucler ça vite ? Parce que je n’ai pas envie de lui filer un relevé de compte avec mon CDI parce que je serai en période d’essai. Je ne veux pas lui faire croire que je change tout le temps. Donc c’est pour ça que je le fais vite fait avant fin décembre parce que je n’ai pas envie qu’il me demande un truc de décembre et qu’il voit que : « ah mon gars, ta situation a changé, tu es changeant, tu ne sais pas ce que tu veux » et tout ça, quoi.

Non, mais t’inquiète. Ça s’explique très simplement : « écoute, mec, j’étais en intérim, je voulais faire le projet et je suis passé en CDI ». Donc ça s’explique très simplement. J’ai même envie de te dire qu’il ne faut pas que tu te prennes la tête pour ça. Si tu étais en CDI, tu passes en intérim, là je t’aurais dit : « hou, ça pue ! » Par contre dans l’autre sens, non, tranquille. Au contraire, le mec il va dire : « ah ouais, franchement, là mon gars je suis prêt à bosser avec toi encore plus parce que là tu vas me faciliter la tâche maintenant pour passer ton dossier ».

Johan : OK, merci pour les réponses. Du coup ce que je fais : j’appelle dès demain le banquier, je lui dis : « bon, mon gars, j’ai vu mon artisan, ça va être un peu plus, est-ce que tu penses que ça passe ? » « Oui, non ». Et du coup à côté, l’artisan, je lui demande un devis pour moi et un devis pour la banque.

Et le devis pour la banque, un peu plus gonflé pour que tu puisses passer tes meubles et tout ça, quoi.

Johan : Ouais.

Et du coup jeudi, tu me diras un peu ce qui s’est dit et comment ça a avancé.

Johan : Yes, bah écoute, merci Kendy. Du coup j’y vois plus clair en fait parce que là, c’était le bordel dans ma tête.

T’inquiète mec, je suis là pour ça.

Johan : Merci franchement, tu inspires et tu es réactif en plus. Ah ouais, merci !

Je t’en prie Johan. En tout cas, n’hésite pas jeudi à me donner des nouvelles pour savoir comment ça a avancé alors. On fait ça, allez à tout à l’heure si tu as d’autres questions.

Johan : OK, merci.

OK, ça marche. Alright. Je vais donner la parole cette fois la parole à notre ami Andjane.

Yes Andjane !

Andjane : Allô allô ?

Comment vas-tu ?

Andjane : Ça va nickel et toi ?

Ça va nickel. Comment tu avances toi sur tes recherches là ?

Andjane : Bah écoute, ça va. On a fait le point, là sur la liste de biens que je t’ai sélectionnés. Je t’ai envoyé le mail concernant le bien qui était situé à Châlons-en-Champagne.

Tu m’as envoyé ça quand ?

Andjane : Je t’ai envoyé ça ce week-end, tu m’as répondu.

Ah oui, je pensais que c’était un truc nouveau. OK.

Andjane : Non non, tu m’as répondu et en gros, l’agent immobilier est au top parce qu’il a prémâché le taf, il avait déjà mis sur le plan les huit appartements possibles éventuellement. Et toi, tu m’avais demandé de faire attention à la faisabilité technique et administrative. Moi j’ai eu un retour de sa part, il m’a dit qu’au niveau du garage, à l’ancienne, ça faisait partie de la maison. Donc en fait, il n’y aura pas besoin d’autorisation. Et puis après, il faudra voir effectivement au niveau de la faisabilité technique, mais ça, ce sera plus avec un artisan. Mais vu comment il m’a annoncé la chose, il y a simplement le portail à enlever, puis après maçonner, mettre le mur. Il y a déjà une communication avec la maison. Et comme tu l’as vu, ça a l’air d’être plutôt en bon état, je ne pense pas qu’il y ait de gros travaux, il n’y a pas de gros œuvre.

Attention quand même parce que comme il y a un portail, il faudra vraiment que tu te renseignes au niveau du compromis quand ils vont te donner les plans du bien et tout, il faudra bien que tu regardes comment c’était notifié parce que là, si tu changes le portail, tu feras quand même une modification de la façade extérieure du bien. Que tu le veuilles ou non, tu feras quand même une modification. Donc dans ce cas-là, il y aura quand même une demande à faire au niveau de la mairie, en tout cas du PLU. En fait tu n’as pas de demande à faire au niveau du PLU tant que ça reste à l’intérieur du bien. Mais dès que tu commences à modifier l’aspect extérieur, pour moi il y a une modification, du coup tu seras quand même amené à faire une demande.

Parce que tu as des trucs qui se font par l’usage, c’est-à-dire que même si sur les plans, c’était noté que c’était dans la maison, mais à l’usage, ça fait peut-être plusieurs années que le truc est un garage, que la mairie passait et elle voit que c'est un garage, maintenant tu dis : « non, j’ai envie de changer », non mon gars, à l’usage, pour nous c’est devenu un garage.

C’est à ce truc-là qu’il faudra que tu fasses gaffe. C’est pareil, il y a des trucs comme ça aussi qui se font à l’usage, c’est comme les servitudes. Tu peux avoir un passage, sur les plans, c’est noté que c’est ton terrain. Mais si les gens, ça fait 15 ans qu’ils passent par là, tu ne peux plus venir et boucher le terrain parce que tu viens d’être nouveau propriétaire. On va dire : « mec, ça fait 15 ans qu’on passe par là, on ne nous a jamais cassé les pieds, maintenant c’est devenu une servitude. Même si c’est ton terrain, c’est quand même bâtard comme truc, donc c’est pour ça qu’il faut vraiment se renseigner sur tous les aspects du bien. Normalement, c’est ton notaire qui doit faire ça, mais c’est des éléments qu’il faut vraiment bien regarder. Quand tu vois qu’il y a des servitudes, des trucs du genre, il faut vraiment se dire : « OK, pourquoi est-ce que c’est noté, est-ce que ces gens, ils ont l’habitude de passer par là ». Et puis s’il y a une modification à faire, la faire en conséquence, mais surtout pour ta modification de façade, pour moi tu ne peux pas faire ça comme ça. En tout cas la mairie, il se peut qu’ils passent te voir. Ils te disent : « houla, là, qu’est-ce que tu fais mec ? »

Andjane : Ouais, bien sûr. Au moins il faut prendre les devants et faire la demande. Je vais me renseigner auprès de l’agent immobilier. Moi, comme je t’ai dit, le temps est très précieux, donc je n’ai pas envie de me déplacer si c’est juste pour ça. Si je sens que ce n’est pas bon, vraiment optimiser les visites. Après, s’il y a la possibilité de faire huit appartements, c’est pas mal, surtout que le bien il est vraiment bien placé. Il n’est même pas à huit minutes, à pied, de la gare, tu n’es pas trop loin du centre.

Maintenant, ce que je me demandais aussi, c’est comment bien estimer les travaux ?

Tu ne pourras jamais estimer les travaux… tu peux te donner une fourchette, tu peux te dire : « on sera peut-être autour des 500 € du mètre carré, on sera autour des 700 ou des 1 000 € », mais tu ne pourras jamais dire : « OK, là je 184 000 €, 122 000 € et 77 centimes, quoi. Il n’y a personne qui peut te faire ça parce que même là, par exemple je ne sais plus si c’est Johan qui m’a envoyé un devis d’un de ses artisans et puis là je regardais. Le mec il a chiffré des ballons d’eau chaude dans chaque logement, il a mis des salles de bain super élevées en termes de prix. Tant que tu n’as pas été sur le terrain, tu n’as pas vu ce que tu voulais faire, etc., tu ne pourras jamais avoir une estimation précise. Après, tu peux avoir une fourchette en te disant : « OK, là comme il y aura probablement beaucoup de démolition, sur le plan que j’avais vu, pour moi tu devras sûrement déplacer des cloisons, tu devras sûrement déplacer des murs et tout. Là, je pense que tu seras plus autour des 700 €, 800 €, peut-être voire 1 000 € du mètre carré que du 500€ parce que tout n’est pas fait. Tout est à faire en gros pour ce logement-là.

Donc après, ce que tu feras, c’est qu’une fois qu’avec le budget que tu as défini, tu vois que ça peut passer, à ce moment-là, tu feras passer un artisan pour aller plus loin, mais si tu vois que déjà même à 500 € du mètre carré, tu vois que tu exploses ton budget au niveau du code 127, ne perds pas ton temps et puis next.

Andjane : Ouais, je vois ce que tu veux dire. Et si je fais venir un artisan, comment ça se passe ? C’est un artisan que je connais ou… ?

Après, si tu en connais un, bah tu le fais venir, mais ça m’étonnerait que tu en connaisses. Du coup ce que tu fais : tu vas sur internet, tu tapes « artisan » et puis tu vas en trouver. Soit sur internet ou alors tu fais la méthode classique : tu vois avec la maison des travaux d’abord, tu vois avec des…

En gros, de toute façon, des artisans, c’est comme chercher des boulangeries, quoi. Ça, tu tapes sur Google, tu vas trouver. Il faut que tu voies le programme d’accompagnement vraiment comme un guide. Je te dis voici où il faut aller, mais si j’ai un artisan dans mon secteur, je peux te le filer, mais à un moment, il faut que tu sois débrouillard dans le sens où : « OK, il faut que je trouve un artisan là ». Il faut que tu ailles sur Internet et que tu cherches parce que moi je ne peux pas référencer tous les artisans qui sont en France, mais je sais qu’il y en a plein.

C’est comme si tu me disais *0:31:09* d’une boulangerie dans la ville dans laquelle tu es. Je te dirais que je n’en connais aucune, mais je suis sûr que mec, tu tapes « Boulangerie », tu vas en trouver, quoi. C’est la même idée.

Andjane : OK, ça marche. J’ai une dernière question par rapport à ce que tu nous enseignes pour trouver la bonne ville, enfin, le bon emplacement. Tu disais « 35 000, minimum, d’habitants », enfin après, les trois intérêts, *0:31:41*. Si on est sur une ville où il y a les trois intérêts, mais par contre on est à 20 000 habitants ?

Je ne sais plus qui m’avait présenté un bien comme ça, c’est *Laynet*. Moi, pourquoi je te donne la technique de *l’été*, c’est pour être sûr que quelle que soit la ville que tu vas choisir, tu vas forcément louer. Après, comme je dis, il peut y avoir des villes avec moins d’habitants qui ont un fort intérêt. Je ne sais plus quelle ville il m’avait présentée, je crois que c’était Fontainebleau, effectivement il n’y a pas 30 000 habitants, mais en termes de potentiel, il y a des écoles, il y a des parcs, il y a le château pour les touristes, il y a de grosses sociétés là-bas. Donc en termes de potentiel, il y a énormément d’intérêt. Mais ça, c’est une ville parmi tant d’autres. Mais il y a peut-être des villes où effectivement, tu as 20 000 habitants et il n’y a rien. Donc c’est pour ça que… moi, je t’ai donné les 35 000  parce que comme ça on est sûr que là, tu vas pouvoir trouver. Après, s’il y a une vile que tu maitrises, tu sais que là effectivement tu as les points d’intérêts, tu les connais, tu maitrises le secteur, moi je te dis : « pourquoi pas ? »

Mais moi, c’est juste pour ne pas avoir à faire ce travail de recherche minutieux de ville en ville. Si tu te focalises sur les 35 000, je sais que là de toute façon tu vas avoir au moins deux des trois intérêts.

Andjane : Oui oui, bien sûr. Là je te dis ça, en l’occurrence je pense à une ville en particulier, à Evernay, c’est à côté de Reims et de Châlons.

Épernay, tu veux dire ?

Andjane : Ouais, Épernay, ouais c’est ça.

Épernay, je connais parce qu’effectivement il y a le champagne et tout ça. Donc ça, effectivement, c’est des villes qui peuvent avoir du potentiel parce qu’en plus, il y a des grandes maisons de champagne, donc il va forcément y avoir de gens qui viendront pour visiter. Il va y avoir aussi des gens pour venir bosser, des saisonniers et tout.

Ouais, pour moi, typiquement, Épernay, c’est un bon exemple, un peu comme Fontainebleau, quoi. Tu vas avoir des châteaux, tu vas avoir des trucs, mais c’est à toi effectivement d’étudier un peu plus en profondeur cette ville-là.   

Andjane : OK, ça marche. OK, bah écoute…

En tout cas si tu as d’autres questions, n’hésite pas, mais là il faut juste que tu essayes d’alimenter encore ta fiche d’analyse, que tu puisses… soit essayer de trouver des mecs sur place qui vont te trouver des biens, ou alors que tu essayes d’y aller. Mais bon, je suis en train de réfléchir à un truc pour vous aider un petit peu sur la recherche de biens, mais pour l’instant ce n’est pas encore au point. Mais dès que ce sera au point, je vous en parlerai un peu plus en détail.

Andjane : Ouais, ça marche, tu m’en as déjà parlé, c’est vrai que c’est top. Je me dis que c’est du bonus, ça, je ne me repose pas encore là-dessus. Là je fais en sorte de vraiment avoir des bons biens pour pouvoir les visiter pour que ce soit vraiment intéressant, mon déplacement.

Non mais fais ça et puis comme ça, nous on va pouvoir…

Andjane : Je le ferai et ça va le faire.

Bah ouais, mon gars, ça marche. En tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonne la parole alors.

Andjane : Ça marche. OK, merci à toi.

Ça marche, je t’en prie, Andjane. All right. Alors du coup, je vois qu’il y a une main levée.

Il y a une question : « Façade, attention aux architectes des Bâtiments de France ». C’est Johan qui dit ça, je pense que c’est par rapport à l’intervention de Andjane.

Les Bâtiments de France, ça dépend du secteur. Ce n’est pas obligatoire, mais effectivement si ton bien est situé dans un lieu classé, effectivement, tu peux avoir affaire à eux et ça peut être problématique.

Je vais te donner la parole Morgan, tu vas pouvoir me dire un petit peu où est-ce que tu en es, comment ça avance sur ton chantier, si tu as des questions.

Morgan : Ouais, salut Kendy !

Salut, Morgan. Comment vas-tu ?

Morgan : Salut tout le monde, ça va nickel, merci, ça va.

Ouais, écoute, le chantier, ça avance. Bon, pas assez vite à mon gout, mais ça avance.

Toi, t’es un sprinteur (Rire.)

Morgan : Pas assez vite parce que la semaine dernière, j’ai été faire un tour, toutes les canalisations, toutes les arrivées d’eau sur chaque appartement sont déjà définies. Eau chaude, eau froide, évacuation d’eau, tout ça est déjà monté.

Maintenant, là c’est l’électricien principalement puisqu’à leur niveau, le plaquiste et tout, et le plombier, c’est bon pour eux. Là, c’est l’électricien qui doit venir faire sa partie, on va dire. Parce que vendredi, de toute façon, je vais faire un petit tour pour voir un petit peu comment ça avance puisque quand j’ai été vendredi dernier, j’ai eu une petite surprise par rapport à une infiltration d’eau puisque comme c’est une maison cde ville, elle est mitoyenne des deux côtés, alors il y a des petites gouttes d’eau dans un des appartements qui ressort en hauteur. Alors du coup, je me suis dit c’est peut-être la gouttière bouchée, puisque tu te souviens, on avait parlé d’une gouttière.

Ah oui, dans le coin-là, à droite…

Morgan : Non non, mais ce n’est pas là, c’est à l’inverse, c’est de l’autre côté. Et du coup je suis monté voir ça, mais en fait ce n’est pas la gouttière qui est bouchée, c’est l’isolation de toit puisque c’est un toit végétal, mais je ne sais pas comment ça s’appelle, les espèces de plaques argentées. En fait elles se soulèvent et il y a une infiltration d’eau qui se fait par là.

Une ardoise alors ?

Morgan : Ouais, si tu veux, c’est un peu ça. Puisque c’est tous les toits qui sont plats, tu mets le goudron, je ne sais pas comment ça s’appelle.

Ouais, si, je vois, je vois ce que c’est.

Morgan : Voilà, bah en fait ça se soulève et l’eau part en dessous. Alors du coup bon…

Mais après, ça se répare assez facilement. Les mecs ils viennent avec un chalumeau et puis ils chauffent et puis ça recolle.

Morgan : Voilà. Du coup, ça a été localisé, j’étais content. Bon, peut-être je ne sais pas combien ils vont me demander, du coup celle qui s’occupe du chantier, moi je lui ai signalé la chose puisque comme c’était le plombier qui était là, je ne sais pas s’il l’a fait remonter à son patron, mais moi, tout de suite, dès que je suis sorti, je l’ai appelé. Je lui ai dit : « voilà, on a ça, alors de s’occuper de ça, il faut me trouver un artisan pour qu’il puisse me donner le chiffrage.

Puisque tant que… là, l’électricien, il n’est pas encore passé, mais une fois qu’il sera passé, après il va falloir fermer les plafonds. Et on ne peut pas fermer les plafonds si ce n’est pas réparé. Parce que le but, ce n’est pas de faire pour que dans trois mois, les choses soient à refaire.

En tout cas c’est parfait qu’il pleuvait ces jours-ci puisque franchement, s’il ne pleuvait pas, c’est quelque chose qu’on aurait découvert par la suite.

C’est ça. Et de toute façon, c’est rare que tu aies tout le chantier qui se termine et que tu ne voies rien. Donc c’est cool qu’il pleuve maintenant.

Morgan : C’était super parce que t’imagines, il y avait le soleil et tout, on ne voit pas ça et puis après, bah quand il flotte, voilà. Admettons, si c’était une acquisition que j’avais faite sur avril-mai et que les mecs ils bossaient pendant l’été, j’aurais eu la surprise, quoi.

Après, ce sont toujours les aléas des travaux. Comme j’entendais plusieurs interventions, c’est vrai que, les gars, même si vous chiffrez tout, vous ne pouvez jamais tout chiffrer, il y aura toujours des surprises. Parce que quand on fait telle ou telle chose, l’artisan il voit ce qui est en surface, il va vous chiffrer ça, mais quand il va casser, il y a des surprises. Après, ça fait partie du métier et puis voilà.

Mais bon, justement, j’ai une question, c’est par rapport à une offre d’achat. Je continue les visites, là je continue, mais pour faciliter le 110%, je souhaite faire un acte en main. Et je veux poser la question parce que je sais que c’est quelque chose que tu as eu l’occasion de faire, mais l’acte en main, quand tu fais une offre d’achat sans, comme d’habitude le prix est précisé et après lorsque tu viens pour faire le compromis, c’est là que tu précises que tu souhaites faire en acte en main ou pas ?

C’est ça, ouais. Tu fais l’offre d’achat normale et tu dis en gros, tu mets le montant que tu veux payer pour le net vendeur et tout et après, au moment du compromis, tu dis que là en fait, tu veux le faire acte en main. Et c’est au moment du compromis que ça se joue. Mais franchement, je te dis, moi avec l’expérience…

Morgan : Ouais, effectivement, ça crée des tensions pour rien, c’est ce que tu m’as dit.

Oui parce que quand les mecs ne te comprennent pas, ils te disent : « mais c’est quoi ton truc, qu’est-ce que tu fais ? » Ils m'ont plus cassé les pieds à me dire : « mais c’est quoi ça, comment ça fonctionne ? Ah ouais, putain ! »

Et il commence à chercher sur Google et tout, je fais « putain ! »

Morgan : Ouais, bah ne t’inquiète pas, je sais bien qu’ils ne savent pas c’est quoi l’acte en main. Après, c’est leur problème. De toute façon, si je fais un acte en main, c’est chez un notaire. Alors si un notaire me dit : « ne prenez pas l’acte en main », puisqu’en fait bon, je visite, comme ils ont une base de données, je visite chez eux et parce que leurs honoraires sont moins élevés que celles des agences. Alors du coup, j’ai un petit peu changé la stratégie de recherche, je suis plus pour ça parce que bon, vu que ce sera avec un notaire, il le voit en fait.

Ouais. Après, de toute façon, comme je t’ai dit, tu as juste à définir ce que tu veux faire au moment de l’offre et du compromis. Et après, ça roule tout seul.

Morgan : Ouais, parce que moi je me posais la question, est-ce que tu faisais l’offre en disant : « voilà, acte en main, tant, tel montant ».

Non, ce n’est pas la peine de… c’est au bout du compromis. Mais tu peux même le mettre si tu veux. « Voici l’offre d’achat pour un montant de tant et je souhaite réaliser le compromis en faisant un acte en main.

Morgan : Ouais, mais de toute façon, comme je t’ai dit, ce n’est pas avec une agence immobilière les visites, là, c’est avec des notaires. Alors du coup, ils connaissent bien le domaine, alors après...

Mais franchement, tu seras surpris mec puisque moi je te dis, là, clairement le notaire, quand je lui ai dit : « ouais, je veux faire acte en main », elle me dit : « c’est-à-dire, Monsieur Polestin ? »

Je lui ai dit : « du coup c’est le vendeur qui paye les frais de notaire ». Elle me dit : « mais Monsieur Polestin, ça ne se fait jamais, ça, c’est toujours l’acquéreur qui paye les frais de notaire ». Je lui dis : « bien sûr, Madame, si, c’est possible ». Elle me dit : « attendez, restez en ligne, je vais voir avec le comptable ». Et après elle m’a fait : « bonjour, oui Monsieur Polestin, oui, effectivement, j’ai vérifié et effectivement, vous avez raison ».

Morgan : Ouais, OK.

Ouais, je te dis, mec, tu seras surpris.

Morgan : Non, mais c’est parce que tu vois, c’est juste une stratégie, je veux essayer autre chose, du coup je me…

Ouais, essaye. Il n’y a pas de souci, tu peux essayer. De toute façon, tant que ça ne te freine pas, moi je te dirais : « vas-y ». C’est juste que moi au début, j’avais fait ça en pensant que ce serait genre pour faciliter un truc.

Morgan : Bah voilà, je vais essayer parce qu’aujourd’hui, les banques, ils te parlent de frais de notaire, mais moi quand je vois avec mon dossier, je me dis : « il n’y a pas de frais de notaire, c’est dedans ». On voit qu’est-ce qu’elle me dit parce que des banques, j’en ai déjà fait et ils ne font pas en acquisition où là, il faut mettre frais de notaire ou pas. Mais là maintenant, je vais me lancer sur un autre terrain. Je veux voir comment ça se présente.

Non mais t’as raison, mec, fais ça. Justement, ton deuxième projet, t’en es où alors ?

Morgan : Mon gars, j’attends là, j’attends de savoir. On est lundi, j’espère que fin de semaine, on me donne une réponse puisque là, franchement, j’ai abattu toutes mes cartes. J’attends une banque là et puis après, si ce n’est pas ça, je ne peux rien faire. Kendy, franchement, je comptabilisais hein ! Sans exagérer, j’ai au moins presque 30 banques, j’en ai marre. Je parle en tout, par rapport au premier bien que j’ai fait et là maintenant. C’est au moins 30 banques.

Du coup maintenant je suis à l’aise quand je m’assieds dans leur bureau, là je suis mort. Maintenant je sais parler comme eux, mais je l’ai dit, là je suis fatigué ça t’épuise.

Non mais c’est avec la pratique que la maitrise vient, mec. T’inquiète.

Morgan : Mais je te promets. Maintenant, je vais m’asseoir chez eux, je n’ai pas de mal avec eux, franchement, je joue les ignorants par moments parce que tu sais quelquefois, tu ne peux pas montrer que tu sais tout, mais c’est pour t’emmener là où je souhaite aller. Au bout de 25-30 rendez-vous, tu parles un peu mieux le langage, quoi !

Non mais t’as raison.

Morgan : Non mais après, parce que tu sais, j’ai essayé les courtiers, mais des fois les courtiers, il y a du bon… après, c’est mon expérience. Voilà. C’est pour ça que moi aujourd’hui, j’ai déjà beaucoup de rendez-vous, j’ai déjà fait des courtiers, mais ils ont un peu du mal à suivre. S’ils ne sont pas investisseurs, les mecs…

J’ai compris. On sait que ce n’est pas assez rapide, mais t’inquiète, j’ai compris.

Morgan : Mais bon, maintenant, ouais, c’était au niveau de l’acte en main, ma question. C’était pour savoir…

OK, non mais ça marche. En tout cas si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonnerai la parole alors.

Morgan : Ouais, il n’y a pas de problème.

À tout à l’heure, Morgan. Yes, alright.

Du coup, je vais donner la parole à un autre sprinteur, Wilfried. Je vais te donner la parole, tu vas me dire un petit peu où est-ce que tu en es.

Wilfried : Ouais, tu m’entends ?

Yes Wilfried, comment vas-tu ?

Wilfried : Ça va et toi ?

Ça va nickel. Alors où en es-tu là maintenant du coup ?

Wilfried : Du coup j’ai rencontré le courtier là, Monsieur *Cacheux*, du coup j’ai fait des visites samedi parce que comme tu sais, j’ai changé de ville, je suis parti à Valenciennes. Donc j’ai visité des biens, j’en avais huit à visiter, mais finalement j’ai des agents immobiliers qui ont annulé au dernier moment. J’étais déjà sur place, bon ça m’a fait chier, mais bon, ce n’est pas grave. Donc je suis resté plus de temps avec le courtier, je lui ai expliqué ma situation, tout ça. Comme il m’a dit qu’il était en lien avec l’artisan et qu’il connait pas mal de monde sur la ville, donc moi je lui ai dit que je continuais mes recherches et en même temps lui en parler. Il va essayer de me trouver un bien puisqu’apparemment, enfin, tu sais qui c’est, donc du coup…

Il a dit qu’il me connaissait ?

Wilfried : Bah bien sûr (Rire.) Il m’a dit pas mal de trucs, donc du coup je suis rassuré, je travaille avec des gens compétents enfin, j’espère. De toute façon, tu sais mieux que moi. Et du coup j’avais une visite après lui, il me disait : « bah ce bien-là, je le connais, ça ne sert à rien ». Il m’a dit : « vas-y quand même, mais bon, ça ne sert à rien », donc effectivement, je suis allé, ça ne convenait pas.

Donc du coup, l’avantage que j’ai avec lui : il m’a dit : « dès que tu as une visite à faire sur place – comme moi je ne peux pas y aller la semaine, forcément, je travaille – il m’a dit : « bah je vais rendre visite à ta place et j’irai avec l’artisan, Seb, il me dira si ça matche ou pas et il s’occupera…

Bon, voilà, donc je lui ai envoyé mes documents, tout ça. Donc du coup, je continue à checker des biens et puis lui, de son côté… Moi, de toute façon ce que je vais faire maintenant, dès que je vais voir un bien, je lui envoie directement, je dis : « bah voilà, j’ai vu ça », ce que j’ai déjà fait, j’ai envoyé un mail ce matin. Puis j’attends de voir ce qu’il en pense. Si ça peut matcher par rapport à mon budget ou pas et puis voilà, donc du coup…

Bon bah c’est bien ça, trouver la bonne stratégie, toi tu as des mecs qui travaillent pour toi du coup.

Wilfried : Bah ouais (Rire.) Finalement, ça s’est fait, d’une personne… voilà. Après, c’est l’artisan, l’artisan me dit : « voilà, j’ai le courtier », puis maintenant, le courtier, je l’ai rencontré, il m’a dit qu’il va bosser pour moi. Bon, il ne m’a pas encore dit combien il va me prendre à la fin, mais bon.

Non, lui… comme je disais, même si tu payes un peu, ce n’est pas ça le plus important. Ce qui est important pour toi, c’est le résultat. Mais de toute façon, pour l’instant, tu n’as même pas à parler d’argent tant que t’as rien encore trouvé, t’as rien encore signé. Donc tu t’en fous. Là pour l’instant, c’est de la main d’œuvre gratuite mec, donc tu prends.

Wilfried : Ah bah oui, je prends. Et tu sais, il m’a même fait visiter… bah du coup je ne sais pas s’il y a des sprinteurs, mais j’ai vu deux immeubles de sprinteurs, j’ai vu celui de Steven et j’ai vu celui de Joachim, je crois, je ne suis pas sûr.

Donc il a voulu me montrer un peu, même si j’avais déjà fait les vidéos et tout ça, mais bon, il a voulu me montrer, voilà. Parce qu’il y en a un qui est en travaux, donc j’ai vu et Steven, peut-être qu’il va me voir puisqu’il y a la caméra dans son hall, donc il verra que je suis passé chez lui (Rire.)

S’il y voit qu’il y a un renoi avec un Monsieur qui sont passés, ils ont osé ouvrir les trucs et tout, la voie électrique et tout, bah c’est moi hein ! Je ne sais pas s’il nous écoute, mais bon. Il saura que c’était moi.

Et donc du coup, il me conseillait, parce que moi, je n’arrêtais pas de lui faire : « moi je veux faire du AirBnB, je suis chaud ». « Par contre quand tu seras devant la banque, ne dis pas que tu vas faire du AirBnB, tu leur dis que tu veux faire du longue durée puisque la banque, elles n’aiment pas quand tu leur parles de AirBnB ». J’ai fait : « OK ».

De toute façon, je vois qu’il connait, il sait de quoi il parle, ça a l’air d’être rodé, donc je vais suivre le train en marche.

Ouais, c’est ça. T’inquiète, là t’es bien entouré, donc t’inquiète.

Wilfried : Ouais, bah ouais. En plus, j’ai regardé ce qui se passait sur la ville. Enfin, du coup j’ai fait le différentiel entre la ville que j’avais choisie avant, tu sais, Cambrai et Valenciennes.

Ouais, mais pour moi, je te dis, le différentiel que tu fais, ça n’a rien à voir parce que sur Cambrai, celui qui va mettre des trucs sur Cambrai, il va ramasser du cash comme pas possible parce qu’à Cambrai, il n’y a rien mec !

Wilfried : Ouais, c’est ce qui me faisait flipper. Finalement, c’est ce qui me fait flipper : il n’y a rien.

Non mais quand je dis : « il n’y a rien », ce n’est pas « il n’y a rien en termes de potentiel », c’est « il n’y a rien en termes de personnes ». Il y a quelques hôtels et tout, mais en termes de courte durée, celui qui rafle le truc là-bas, il va ramasser du cash parce que t’as énormément de boites là-bas, que ce soit en termes d’automobile, que ce soit en termes agroalimentaires. Tu as 3M, tu as Groupon à *Tollens*, tu as Columbia, tu as Royal Canin, tu as plein de boites là-bas. Et donc tous les gens qui viennent pour bosser sur Cambrai, il y a trop de trucs à faire. Il y a même une boite qui fait des bouteilles de parfums, les bouteilles en verre, ça se fait là-bas.

Wilfried : Ouais, mais ce qui me faisait flipper, je ne sais pas si je t’avais dit, l’artisan était venu avec moi, ils m’ont dit : « ouais, ce n’était pas très bien desservi », j’avoue, je suis arrivé dans la rue.

C’est peut-être où tu avais choisi, ce n’était pas tip top. Mais le secteur, là…

Wilfried : Mais comme je ne connaissais pas très bien la ville, je me suis dit là, j’ai vu qu’à Valenciennes, il y avait un tramway. Après, je suis parti sur AirBnB, j’ai vu location ils étaient full jusqu’à octobre, franchement, j’ai dit : « non, c’est bon ». En fait, c’est pour me rassurer pour le premier parce que je me dis : « bon, le premier, je vais le faire dans un endroit où ça matche te peut-être que le deuxième, du coup j’essayerai vers Cambrai. Mais c’est juste pour me sécuriser, je me dis : « franchement, je n’ai pas envie de me rater » parce que tout ce que je veux faire, c’est du cash-flow pour que le deuxième, quand j’irai voir la banque, je dirais « voilà, bah voilà ce que ça me génère, faites-moi un deuxième prêt pour mon deuxième immeuble ». C’est pour ça que me dis que je préfère me rassurer avec le premier et les prochains, j’irai à l’aventure, mais là…

Mais pour moi, ce n’est pas à l’aventure. Là, c’est peut-être parce que tu… si c’est plus simple pour toi, je te dis OK, mais tant que tu respectes ton critère des 35 000 habitants et que tu choisis bien un bien qui est bien positionné parce que tu peux être genre à Roubaix ou à Lille, et si tu prends un truc qui est paumé au fond de la ville, ça peut ne pas forcément être très bien non plus. Alors que si tu choisis un truc qui est bien desservi, qui est bien positionné, mec tu vas ramasser du cash !

Quelle que soit la ville à 35 000 habitants, je te dis, tu vas ramasser du cash. Et moi, pourquoi je ne m’éloigne pas trop ? C’est parce que j’ai déjà deux femmes de ménage, mais si je dois partir dans d’autres villes différentes, je suis obligé d’embaucher d’autres personnes. Et je n’ai pas envie forcément d’augmenter ma charge salariale. Mais clairement, je me dis si je pars sur un autre secteur, je vais faire un deuxième fief, une deuxième buanderie et tout ça. Je crois que c’était avec Morgan que j’avais eu cette discussion, Morgan qui me disait bah lui, il voulait par exemple aller chercher un bien dans une autre ville. Je dis : « mais non, tu es déjà sur cette ville-là, exploite-là à fond ».

Tu vas avoir une seule buanderie, tu auras une seule femme de ménage ou deux femmes de ménage qui sera sur le secteur et c’est elle qui va faire la ronde sur la ville. Par contre si tu investis dans un truc à 30 km à côté, tu seras obligé de faire deux fois le boulot, c’est-à-dire embaucher une deuxième femme de ménage, acheter une deuxième machine à laver, acheter un deuxième sèche-linge, etc., et refaire tout le job.

Tandis que si tu as un système qui est en place, moi par exemple aujourd’hui, j’ai une seule buanderie. Et la femme de ménage, elle fait le tour sur tous mes logements et tout, mais tout est centralisé, quoi.

Wilfried : D’accord. Non parce qu’en fait, après, cette question, je la poserai par la suite, mais en fait, c’est vrai qu’en voyant d’autres logements, c’est vrai qu’on a vu à quel point des fois les locataires ils ne sont pas super respectueux du logement. Et il y a des trucs par exemple, ne serait-ce que les poubelles, ceux que j’ai vues, je crois que c’était chez Steven, les gens ils ne sont pas respectueux.

Par exemple, je me dis : « il faudra que je trouve un moyen pour ne pas qu’ils laissent trainer les poubelles devant l’immeuble ou qu’ils salissent ». Par exemple laisser à disposition une machine à laver pour les gens, ce n’est pas la meilleure chose à faire parce que les gens, ils peuvent abimer les trucs, enfin bref.

Mais ça par exemple, je l’ai dit dans la semaine 6, je crois, ou la semaine 4, je ne sais plus, mais je t’explique en gros : moi, ce que je fais, c’est que j’ai une buanderie, elle est à la cave et personne n’y a accès. Donc si le mec il veut laver son linge, je lui mets sur la fiche la laverie la plus proche et il y va. Parce que j’avais pensé faire un truc avec les laveries et tout, mais bon, c’était chiant. Lui, il a fait ça parce que je crois qu’il a des locataires en longue durée, donc je pense que c’est pour ça qu’il a laissé des trucs accessibles. Mais moi, comme ce n’est que de la courte durée, là je n’ai pas à laisser quoi que ce soit pour qui que ce soit.

Wilfried : On est d’accord que le choix entre courte durée et longue durée, c’est quoi ? C’est un choix qu’on se…

Mec, ce n’est même pas à réfléchir. Moi, je ne réfléchis même pas à ce truc-là. Après, je peux comprendre que certaines personnes veulent se dire : « bon bah OK, j’ai un locataire longue durée, il est sûr de payer ». Moi, cette question, je ne la pose même pas.

Moi, je parle en full saisonnier et puis c’est tout. Pour te dire : là, j’ai un locataire, il y a quelques jours, j’ai mon téléphone qui sonne, mais je ne savais pas c’était quel numéro. Et puis finalement je réponds et c’est une dame qui me dit : « oui, bonjour Monsieur Polestin, je suis la mère de votre locataire ». Je dis : « OK, qu’est-ce qu’il se passe ? » Elle me dit : « en fait il a eu un AVC et donc on va devoir rendre le logement. Il est paralysé, machin, je ne sais pas quoi, donc ils vont devoir partir.

Je dis « OK ». Elle me dit : « quand est-ce que je peux vous le rendre ? », je dis : « bah au plus tôt, quand vous voulez, il n’y a pas de souci ! » Elle pensait que genre j’allais être fâché parce qu’elle le rend. Je dis : « mais non, si vous voulez le rendre à la fin du mois, il n’y a pas de problème ». Elle me dit : « non non, quand même pas parce qu’on va devoir débarrasser et tout, on peut vous le rendre fin décembre ». Je dis : « pas de problème ».

Fin décembre mec, ce logement-là, réparation, boom ! Saisonnier, il part direct !

Wilfried : Ouais, parce que j’ai une question qui me tape parce que le courtier me disait ça. Le courtier, il a l’air quand même dans le délire, mais je ne sais pas, lui il a du mal aussi avec le courte durée. Il me disait, quand je vais mettre mon logement en courte durée, de ne pas laisser que genre une nuit, mais de laisser plutôt la personne…

Écoute Wilfried, tu vas payer qui pour ça ? Ces mecs-là, le mec, son métier c’est courtier. Qu’ils se taisent et qu’ils ne fassent que du courtage, quoi, parce que le mec, il… demande-lui combien de logements il a en courte durée. Ça, ça m’énerve, quoi, le mec il veut parler d’un truc qu’il ne maitrise même pas. Qu’est-ce qu’il en sait ?

Wilfried : Ouais, c’est ça, les gens qui mettent de nœuds dans la tête bêtement, c’est pour ça que je voulais te demander la question parce qu’après, peut-être qu’il a… je ne sais pas, je préfère te poser la question à toi…

Le mec il n’a rien fait, dis-lui : « mec, combien de logements tu as en courte durée ? » Point, voilà. Le mec il va t’expliquer le truc qu’il n’a jamais vu de sa vie, quoi, putain ! Ça, ça m’énerve. Le mec il n’a rien fait, il veut t’expliquer. Qu’est-ce qu’il va t’expliquer ?

Wilfried : Bah c’est ça, je me dit : « de quoi il parle en me disant qu’il vaut mieux mettre plutôt deux nuits au lieu de qu'une nuit, comme ça les gens, ils seront bien de prendre deux nuits », tout ça, enfin, je me suis dit je ne comprenais pas en fait pourquoi il me disait ça.

Franchement, dis-toi qu’il y aura toujours des mecs qui voudront t’expliquer la vie alors qu’ils n’ont rien fait. Moi, c’est un truc que je vis au quotidien. Donc ce n’est même, genre c’est un truc que j’ai vu dans un livre ou quoi que ce soit, c’est ce que je vis au quotidien.

Donc les histoires des gens qui te racontent machin, etc., nexte. En gros, tu as payé pour suivre ce programme-là, mec fais ce que je te dis et puis le mec il te raconte du flan à côté, c’est tout. Les gens, ils vont te raconter des trucs, c’est comme l’histoire de Cambrai je te dis. Moi, j’ai une demoiselle parce que moi je ne suis pas très loin de Cambrai, j’ai une demoiselle qui a réservé dans un de mes logements, elle me dit : « Kendy, tu sais, je suis tombé comme par hasard dans un de tes logements et c’était bizarre parce que justement, comme je te regardais sur Youtube, je ne savais pas que c’était toi » et tout, machin. ET là elle me dit en fait : « j’ai réservé chez toi parce qu’il n’y avait rien à Cambrai. Et du coup elle a fait 30 minutes de route pour y aller parce qu’il n’y avait rien à Cambrai. Donc je te dis, les gens qui te racontent du flan, ils n’ont rien fait. Le mec que tu peux écouter, c’est le mec qui te dit : « OK, moi j’en ai six, sept, huit qui sont en courte durée et que j’exploite ». Tu dis : « OK, d’accord ». Mais les mecs, ils n’ont même pas investi, tu dis « t’as quoi comme investissement ? » « Rien », bah ferme-la mec !

Wilfried : C’est vrai, non mais t’as raison. Par contre, j’ai une question : sur la même ville, déjà ils sont blindés jusqu’à octobre, ils sont blindés de fous. Il y a des gens, ils sont même pris à peu près, tu sais, quand tu regardes les emplacements, ça n’a pas l’air… et par contre ils ne sont pas du tout réservés alors qu’ils ont des logements, ils sont propres et tout, au niveau des prix ce n’est pas excessif. Mais par contre, très peu de réservations.

Ça ne veut rien dire, ça.

Wilfried : Ouais, mais comment ça se fait en fait, qu'il y ait un gros décalage comme ça entre certaines personnes ? Comment tu l’expliques ?

Si tu regardes un logement à trois semaines, je vais te dire, ça n’a aucun intérêt, ce n’est pas parlant du tout. Parce que déjà, les logements qui sont pris, tu ne vas pas les voir et ce qu’il faut regarder, c’est à la semaine. C’est-à-dire que cette semaine, est-ce que le mec il est pris ou pas ?

Moi par exemple, si je regarde mon calendrier maintenant, là je pense que peut-être la semaine prochaine, je ne suis pas encore pris et pourtant, je sais que vendredi soir ou au plus tard dimanche soir, ma semaine elle sera remplie, quoi.

Wilfried : Ah oui, j’ai vu, je t’ai trouvé aussi, j’ai vu comment t’étais blindé.

Petit filou, va ! (Rire.)

Wilfried : Et du coup j’ai vu d’autres personnes dans une même ville que toi avec des logements, j’ai vu un gars, je ne sais plus comment il s’appelle. Et j’ai vu, son logement était propre, nickel, même prix, mais par contre lui, il n’avait rien du tout.

Il n’a pas pris la formation, lui, il n’est pas venu (Rire.)

Wilfried : Mais il a de belles photos et tout ça, il a bien expliqué le truc. Je dis : « mais comment ça se fait les gars ? » Après, il est un peu cher, il fait partie de… par rapport à ton offre…

Mec, on va tous les déglinguer, tu vas voir. Fais simplement comme je te demande, c’est-à-dire fais des travaux propres, fais des trucs propres avec les descriptions comme il faut, avec les bonnes photos. Le truc, c’est que si tu as des bonnes photos qui sont bien faites et tu as une description qui est sexy, le mec, c’est-à-dire avant, moi par exemple dans ma ville, quand je n’ai plus de logements, les mecs ils vont louer, quoi. Parce que les gens ils ont déjà cliqué sur mes logements. Une fois qu’il a cliqué et qu’il a commencé à lire, c’est évident. Je lui dis : « mec, c’est ça qu’il faut que tu prennes », vas-y, clique, réserve.

Et une fois qu’il est réservé, bah c’est tout, quoi. Après, quand je suis full, bah ouais, les autres gars, ils vont louer, mais si le mec, ses photos sont pas forcément bien ou il y a plein de trucs qui peuvent rentrer en considération, peut-être que lui aussi il demande que les gens viennent deux jours avant ou alors il met des critères assez chiants, ou des cautions super élevées. Tous ces éléments-là peuvent faire en sorte qu’il ne loue pas. Mais ce n’est pas une question de besoin. Et termes de demande, même tous les sprinteurs réunis, on ne peut pas répondre encore aux besoins de tous les gens qui vont voyager. Tous les sprinteurs réunis, je te parle. Nous tous, on est à peu près 80. Tous réunis, on ne pourra pas répondre à la demande de tous les mecs qui ont besoin de louer.

Donc crois-moi que dès que ton truc il est opérationnel, tu vas ramasser du cash, quoi. 

Wilfried : Bon, bah ça marche.

Donc surtout, maintenant ce que tu fais, c’est que tu évites d’écouter les mecs qui racontent des trucs qu’ils ne maitrisent rien et tu regardes ce qui est noté dans le programme et puis tu suis mec, t’inquiète et puis c’est tout.

Wilfried : Bah oui, bah ça roule.

Même moi, je pourrais dire aux gens où j’investis et tout, bon, je sais qu’il y a des filous qui trouvent où je suis, mais *1:05:29* pour que les gens ils ne te disent pas : « ouais mais comme Kendy il est là, donc c’est là qui marche ». Typiquement, c’est un peu ce que tu te dis aussi. Tu te dis : « ouais, mais comme Kendy il est là, c’est là que ça marche ». Non, ce n’est pas vrai.

Wilfried : Non mais tu sais, l’erreur que j’ai fait… en fait j’ai fait une erreur et t’as envoyé un mail il n’y a pas longtemps, dans la semaine, t’as envoyé un mail. C’est ce que j’ai fait avant de rentrer dans la formation, il y avait un autre gars, je ne sais plus comment il s’appelle, j’avais reçu un mail, il avait dit : « les villes dans lesquelles il faut investir ».

Et le truc, j’ai reçu le mail et moi j’ai choisi Cambrai. En fait j’avais choisi Cambrai parce qu’elle était dans le Nord. Mais en fait à la base, moi je regardais quand tu disais 35 000 habitants, je voyais Cambrai 33 000. Pas loin, il y avait Valenciennes 40 000. Je fais « attends, Valenciennes », après je me suis dit peut-être que Valenciennes, c’est déjà blindé, c’est pour ça que le gars il a dit d’aller à Cambrai, c’est un truc… et après, voilà, bah tu vois, je suis allé à Cambrai, j’ai vu un peu la ville, je ne connais pas trop. Même moi qui travaille dans le Nord, je ne vais jamais à Cambrai alors que Valenciennes, je connais.

Et après, bon, l’artisan est venu avec moi, il m’a dit voilà et puis après, je me suis dit bon. Je vais partir à Valenciennes, c’est là que je voulais aller à la base et j’en reviens à te dire moi, je voulais me sécuriser, je me suis dit : « bon, le premier, je vais faire là et puis je vais faire entrer du cash-flow.

Je suis parti voir AirBnB, j’ai vu les gens, ça louait comme des gros cochons sur la ville, donc je me suis dit bon.

Donc tu veux faire *comme ci* aussi.

Wilfried : Voilà, je suis antillais, j’aime le cochon, donc on y va !

T’as raison, c’est bientôt Noël en plus. Tu as raison.

Wilfried : (Rire.) C’est ça.

Non mais ça marche. En tout cas, c’est ça mon gars. Non mais t’inquiète, si tu respectes les 35 000, tu vas louer et puis tu vas faire du cash, mon gars. OK ?

Wilfried : Ouais, bah c’est le but.

Ça marche. En tout cas si tu as d’autres questions, n’hésite pas et puis moi je te redonnerai la parole alors Wilfried.

Wilfried : Pas de souci, super !

Je t’en prie, à tout à l’heure.

Alright. Je vois qu’il y a une sprinteuse. Je vais te donner la parole Laure, tu vas me dire un petit peu où est-ce que tu en es.

Laure : Hello Kendy !

Coucou, Laure. Comment vas-tu ?

Laure : Ça va et toi ?

Ça va nickel. Alors où es-tu du coup ?

Laure : Je suis sur la route, donc si ça coupe, c’est que voilà. Ça va, j’étais en déplacement avec mon travail, donc je n’étais pas trop sur place. Et donc là, je rentre et la dernière fois, donc il y a 15 jours, les gars avaient posé déjà les fenêtres. Ils ont reçu les fenêtres, ça a été livré, ils ont posé. Et donc on a fait un tour du chantier encore une fois ensemble avec le responsable technique et on a un peu revu les plans et il y a des aménagements à faire, des améliorations à faire sur l’emplacement des cuisines et sanitaires. Donc ce qui va se passer, c’est qu’on va décaler un peu l’ouverture d’un studio, le deuxième studio qui est plus au fond de l’immeuble quand tu rentres.

Au rez-de-chaussée ?

Laure : Ouais, au rez et puis sur toute la colonne. Donc on a décalé la porte d’entrée pour pouvoir rentrer la salle de bain, les toilettes et la cuisine dans le prolongement.

Et le mur qui est entre les deux, tu le décales aussi ou pas ?

Laure : Les murs qui séparent les deux studios, celui-là il reste, mais c’est uniquement l’entrée du deuxième studio qui va être décalée sur la droite, d’à peu près 90 cm pour pouvoir rentrer une douche et les toilettes. Allo ? Je ne t’entends pas bien.

Je n’ai pas bien saisi ce que tu as dit avant.

Laure : Ah. Tu vois quand tu rentres dans l’immeuble, tu as le premier studio qui est à gauche. Celui-là il ne bouge pas. C’est au niveau du deuxième quand tu vas plus loin, la porte d’entrée va être décalée de 90 cm pour pouvoir rentrer la salle de bain et les toilettes.

Ah oui, parce qu’effectivement, c’était déjà très étroit, je me rappelle effectivement.

Laure : Voilà, exact. Donc on a revu ça ensemble, donc il a décalé la porte d’entrée et puis voilà. La séparation des deux studios reste la même, il n’y a pas de modification.

Donc voilà pour ça et j’avais une question : tu sais Kendy, l’antenne, parce que le gars me dit qu’effectivement il n’y a pas forcément besoin d’antenne parce que maintenant, il y a ces boitiers pour la TNT. Tu vois ce que c’est, les boitiers ?

Ouais, mais boitier pour TNT, il faut quand même qu’il y ait une antenne qui soit branchée dessus. De toute façon, même les boitiers, ça n’existe plus, même pas maintenant, c’est directement dans la télé que tu as le truc intégré à la télé.

Laure : D’accord. Mais tu as quand même besoin d’une antenne extérieure pour pouvoir brancher ?

Bah oui.

Laure : D’accord.

Mais ça, je te dis, il faut vraiment penser à le mettre parce que là, j’ai des endroits où j’ai dû mettre plusieurs box et tout, juste parce que je n’ai pas pensé à passer les câbles, quoi. Donc c’est complètement con de payer plusieurs abonnements alors que si tu as un câble qui est passé, ça se fait tout seul.

Laure : Ouais, bah tu n’as plus qu’à distribuer le logement sur le même câble. D’accord, donc l’antenne, elle existe déjà, donc ils vont faire le travail pour distribuer les appartements avec le câble de l’antenne principale.

Ouais, ça, c’est indispensable.

Laure : Ouais. Donc voilà, c’était ma question sur l’antenne. Sinon, les travaux avancent. Cette semaine, je dois encore aller sur place voir s’ils ont bien avancé, où ça en est et puis normalement je dois y aller plus régulièrement toutes les semaines, au moins une à deux fois par semaine.

En tout cas, une fois sûre et voilà parce que 15 jours, là je n’étais pas sur place, c’était un peu difficile, mais bon. Je pense semaine prochaine, cette semaine déjà, si ce n’est pas demain ou après-demain, je serai sur place pour constater l’avancement en tout cas.

OK, bah c’est parfait. Et puis comme ça, tu nous diras un peu comment ça avance. Ou quoique, tu pourras même poster sur le groupe un peu l’avancement, un peu comme ils nous ont envoyés là, Selim et Tony sur le groupe, je ne sais pas si tu as vu ?

Laure : Non, je n’ai pas regardé encore, mais j’irai voir et puis je prendrai quelques photos.

Ouais, ils ont posté des photos, ils ont posté quelques vidéos de leurs travaux, donc ça peut être intéressant. Et moi, j’ai prévu d’aller voir Selim je crois, ah bah c’est fin de semaine, je vais le voir fin de semaine. On fera une vidéo mi-chantier et puis comme ça, je vous la posterai aussi sur le groupe, comme ça vous pourrez regarder un peu comment ça avance, quoi.

Laure : D’accord, ah oui, super. OK.

Non mais c’est cool. En tout cas comme je te dis, il ne faut surtout pas que tu oublies le câble d’antenne parce qu’en plus si tu en fais huit, ça serait con. Si tu as huit box à mettre, c’est vraiment dommage.

Laure : Ouais, l’idée ce n’est pas de mettre huit box, ah ouais, non, de garder l’antenne et puis d’être sûr qu’il y en a…

De toute façon une fois que c’est passé, c’est tout, tu n’as plus à te prendre la tête. Et puis n’oublie pas aussi, je ne sais pas si tu as vu dans la semaine 4, j’explique pour les câbles RJ45, il faut absolument aussi que tu les passes, même si ce n’est pas sûr que tu en auras besoin, mais en tout cas ils seront passés. Et s’il y a un mec qui en a besoin bah il pourra l’utiliser, quoi.

Laure : Ouais, exact. D’accord. Et une dernière question : quand tu mets les interphones, est-ce une tu prévois aussi d’avoir une caméra ou quelque chose, tu sais, tu as des…

Franchement, ça ne sert à rien. Moi, je n’ai pas mis parce que ça coûte une blinde pour rien au début. Je me suis dit que je ne vais même pas mettre, après je me suis dit que je vais quand même mettre un truc au cas où si les gens ils ont besoin qu’on leur dise. J’avais mis des carillons, c’est des petites sonnettes à pile sans fil, mais même ça, j’ai dû les enlever. Les trucs sont encore devant la porte, mais il n’y a personne qui utilise ça, quoi. Le mec qui veut se faire livrer quelque chose, il va avec son téléphone. Même moi, quand je suis à l’hôtel et que je veux par exemple me faire un Uber Eat, quand le mec il arrive, j’ai mon téléphone qui sonne, donc ça ne sert à rien.

Si tu veux faire de la location en standard, je te dirais peut-être que ça peut servir, mais pour le coût que ça engendre, je préfère mettre un bon matelas plutôt que mettre ça, quoi.

Laure : Ah oui, parce que là, même si tu mets un interphone classique, ça coûte de l’argent alors, ça coûte cher ?

Non mais je veux dire, il faut quand même que tu l’installes. Tous les mecs ne savent pas installer ça déjà un, puisque c’est du courant faible, donc tout le monde ne maitrise pas ça premièrement. Deuxièmement, si c’est déjà là, je te dirais OK, mais par exemple moi, je me vois mal à aller mettre 100 balles par logement pour mettre des interphones que les gens ne vont même pas utiliser.

Parce que même quand tu vas à l’hôtel, combien de fois tu as utilisé ton interphone à l’hôtel déjà ?

Laure : Jamais !

Tu vois ce que je veux dire ? Donc du coup, si tu veux mettre, tu peux, c’est du luxe, mais il ne servira à rien. Je préfère même que tu mettes du Netflix pour tes clients que tu mettes un interphone. Tu vas avoir un meilleur impact sur tes clients s’il y a Netflix. Justement, c’est ce que moi j’ai pris vite fait là. Justement je vais vous faire un petit débrief de ce que j’ai fait bientôt. Moi, j’ai prévu de mettre Netflix, et maintenant, je mets une petite bouteille de vin à l’accueil pour accueillir les gens. Et ça, je vous ferai une vidéo pour vous expliquer tout ça, mais ça a beaucoup plus d’impact sur les gens que le truc gadgets que les gens ne vont pas utiliser.

Laure : Ouais, d’accord. Allô ? Tu m’entends ?

Ouais, je t’entends.

Laure : OK, je ne t’entendais plus. Tu avais parlé d’avoir des petits services ou des upsell que tu vas proposer à ta clientèle, donc des bouteilles de vin, des choses comme ça ?

 La bouteille de vin, en fait je ne le mets même plus en upsell. La bouteille de vin, maintenant, comme le petit truc d’accueil, la petite plaquette d’accueil avec les biscuits et tout, en plus de ça, j’ai rajouté deux verres à vin et une petite bouteille de vin. Au début, je voulais mettre une vraie bouteille de vin et ma femme de ménage m’a dit : « ouais, mais Kendy, ça coûte cher pour pas grand-chose parce que les gens, ils ne vont peut-être pas tout boire », donc on a acheté des petites bouteilles.

Et on a fait aussi des présentoirs, mais ça, je vous ferai une vidéo pour vous présenter avec les liens, tout ce que j’ai mis pour remettre un petit coup de neuf sur les logements que j’ai remis. Et je pense que ça, c’est beaucoup plus intéressant parce que justement, la demoiselle dont je parlais à Wilfried tout à l’heure, elle m’a dit qu’elle avait choisi un logement à un moment parce que c’était écrit : « il y a Netflix ». Mais quand tu regardes bien, Netflix, ça coûte 7 €. Donc quand tu mets Netflix dans ton logement, tu vois moi, je ne regarde pas la télé, je ne regarde pas ces trucs-là. Pour moi, c’est inutile. Mais il y a des gens, quand tu vas leur dire : « il y a Netflix », bah eux, ils seront tout excités, quoi. Et juste pour ça, tu vas vendre des logements. Donc ça, c’est un truc qui va nous faire déglinguer tous les autres mecs qui sont sur le marché parce que tout le monde n’a pas envie de mettre Netflix dans son logement.

Laure : Ah ouais, d’accord.

Donc nous, on va pouvoir mettre ça, mais de toute façon, comme c’est en cours, là, justement je suis en train de faire des travaux aussi de rafraichissement dans des halls et tout ça, j’ai des logements qui, ça fait trois ans que je ne les ai pas repeints, donc j’ai remis un petit coup de frais dans certains logements et j’en ai profité pour faire cette upgrade. Et je vous ferais un retour ce que j’ai fait. Mais tu vois, avec le retour, je vois ce que les gens ont vraiment besoin, ce qui impacte les gens et ça, je te dis, la petite bouteille de vin, ça coûte 1 € et quelques chez Lidl, mais le mec quand il voit une bouteille de vin, il se dit : « ah ouais », il s’imagine que ça coûte 15 € ou 20 balles. Et en valeur perçue, c’est énorme. Alors que finalement, ça ne coûte rien.

Mais je vous ferais la vidéo bientôt, je la mettrai aussi dans l’espace pour que vous puissiez avoir le retour de ça.

Laure : OK, ouais, intéressant.

De toute façon, tu n’as pas encore fini, donc le temps que je fasse la vidéo, tu auras le temps de le voir et tu pourras le mettre en application aussi.

Et après, je suis en train de penser à un autre truc pour faire l’upsell même dans le logement. Mais ça, pour l’instant, ce n’est pas encore planifié. Donc pour l’instant, je n’en parle pas encore, mais quand ce sera prêt, je vous en parlerai. Et puis comme ça, vous aussi, vous allez pouvoir mettre ça en place pour générer plus d’euros.

Laure : OK, super !

En tout cas si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonnerai la parole alors.

Laure : OK, parfait, merci !

Ça marche, je t’en prie, à tout à l’heure.

Laure : Ciao, bye !

Yes. Alright. Je vois qu’il y a notre ami Loïc. Loïc, je vais te donner la parole, tu vas me dire un petit peu où est-ce que tu en es toi du coup.

Loïc : Salut Kendy !

Yes, comment vas-tu ?

Loïc : Ça va.

Oh là là, c’est quoi cette *1:21:17*

Loïc : Ça ne passe pas ?

Bah ça fait un écho. Mais ne parle pas fort alors, quand tu parles normalement, ça va.

Loïc : Là, c’est mieux ?

Ouais, parfait. Alors comment vas-tu ?

Loïc : Bah ça va bien. Là, je continue, c’est toujours la recherche. Alors comme je t’ai dit, j’ai repris contact avec tous les agents immobiliers que j’avais vus au Mans. Et donc je les recontacte chaque lundi pour savoir où ça en est, s’il y a des choses.

Il y en a une qui m’a dit qu’il y avait quelque chose, mais finalement je l’ai appelée aujourd’hui, elle m’a dit finalement que la personne n’a pas voulu vendre. Donc c’est tombé à l’eau. Et puis les autres, ils m’ont dit « rien à signaler », il n’y avait rien à signaler, pas de trouvaille. Donc moi j’ai cherché un peu sur Leboncoin, sur Castorus, je n’ai rien trouvé encore qui correspondait aux critères. Et puis oui, en fin de journée, à 18h00, j’ai eu un agent immobilier avec qui j’avais fait une visite et lui, voulait me parler d’un truc, mais il voulait absolument me vendre un immeuble avec trois appartements, deux T2 et un studio. Et c’était trop cher déjà, c’était 175 000 €, donc là pour moi, c’était mort. Et en plus il m’a dit que le studio, il n’y a pas de travaux à faire, il a été refait à neuf il n’y a pas longtemps et que c’est super intéressant parce que comme il a été refait à neuf, il bénéficie de défiscalisation liée au fait qu’il est loué à des tarifs sociaux de 200 €. Il les louait à 200 €. Je lui dis : « mais ça, c’est pendant huit ans, je suis bloqué, je ne peux pas faire de location saisonnière ». Et lui il n’entendait pas, il voulait absolument me vendre son truc, donc je lui ai dit que ça, ça ne correspondait pas. De toute façon, c’était minimum quatre appartements. Donc là, avec trois appartements et avec ce prix-là, ça ne rentre pas dans les clous. Pour l’instant, je n’ai rien encore, ça ne mord pas, donc j’attends, je persévère et puis voilà.

Alors, je ne sais pas si tu as essayé un peu de t’éloigner un peu ou pas encore ?

Loïc : Justement, en fait je fais par semaine où j’essaye de me focaliser sur une ville, ensuite une autre, ensuite une autre parce que j’ai vraiment appris que m’éparpille trop à vouloir faire toutes les villes en même temps. Et quand je prévois les rendez-vous, mon problème c’est que parfois, c’est des villes qui sont diamétralement opposées, donc deux heures de route d’un côté, deux heures de route de l’autre.

Donc je suis obligé de me focaliser au moins sur deux villes qui sont sur le même chemin ou des choses comme ça.

Je le dis dans les premières vidéos, ça, Loïc. Il faut que tu te refasses une passe sur les premières vidéos, il faut vraiment que tu t’organises parce que ça, c’est clairement du temps que tu vas perdre si tu as des trucs à l’opposé.

Loïc : Ouais, ça, c’est vrai. Donc là, justement c’est ce que je suis en train de réorganiser. Donc là, je fais la partie plutôt vers l’Est, donc Laval-Le Mans. Là je me suis concentré sur Laval-Le Mans parce que Le Mans, c’est déjà à deux heures de route, donc c’est déjà limite. C’est deux heures de Rennes, donc ça fait beaucoup déjà.

Ouais, je vois ce que tu veux dire. Écoute, essaye en tout cas de continuer tes recherches d’avoir le maximum de trucs à visiter, mais ouais, il faut que tu continues, quoi. J’ai envie de te dire... il n’y a pas d’autres trucs à dire, quoi. Il faut continuer.

Loïc : Oui, parce que cet après-midi là, je réfléchissais « mais qu’est-ce que je fais de mal ». Il faut que ça revienne, quoi, il y a un truc qui… qu’est-ce qu’il faut que je fasse, je recherche tout le temps, mais ça ne tombe pas. Mais bon, je pense qu’il faut continuer, il faut attendre et quand ça va tomber, il faut sauter dessus, quoi.

Ouais, je vois. Tu auras ces cas de figure, que ce soit au niveau du financement ou alors même au niveau de la recherche de bien, tu vas avoir des fois des difficultés à trouver des trucs. Mais comme je dis, la seule clé pour la réussite, c’est du volume. Il faut faire du volume, il faut voir un maximum de personnes, il faut faire du volume, mec ! Il n’y a pas d’autres trucs, quoi. C’est essayer de voir le maximum de personnes, voir le maximum de biens et essayer de vraiment développer ton réseau.

Plus tu as un réseau étoffé de mecs compétents, plus ça sera simple pour toi de vraiment développer ton système et d’avancer.

Loïc : OK, ouais, pas de problème.

Mais il ne faut pas lâcher, quoi. Il ne faut juste pas lâcher et se dire : « on y va, on continue ».

Loïc : Oui, là je ne lâche pas. Quand je vois les sprinteurs, je vois ce qu’ils publient et tout, je me dis : « mais ils trouvent beaucoup de choses », ouais, ils doivent faire du volume. J’en trouve aussi, mais ça ne correspond pas aux critères, donc je suis un peu bloqué, mais je pense que ça va venir.  J’en ai visité…

Au moins, il ne faut pas lâcher. Comme on disait chez nous, chacun porte sa croix, toi c’est peut-être au niveau du bien et après peut-être, le financement, ça ira beaucoup plus facilement. Il y en a, c’était le bien, ils ont trouvé facilement et après, le financement, c’était plus galère. Après, il y en a, c’était les artisans que c’était plus galère. Donc chacun va avoir une difficulté, il faut juste ne pas lâcher et puis continuer d’avancer, quoi.

Loïc : Oui, c’est ça. Je ne vais pas lâcher et puis dès que j’ai trouvé,je vais sprinter hein ! Dès que je trouve, ça va aller fort.

Non mais t’inquiète. Il y a Morgan qui écrit : « il ne faut surtout pas que tu baisses tes critères à cause de l’impatience » parce que si tu te dis que tu vas baisser tes standards et c’est foutu. Il faut vraiment que tu dises : « on va continuer à faire du volume ».

Et puis de toute façon, ça ne peut que marcher mec, tu ne peux pas ne pas trouver, ce n’est pas possible. Ça ne peur que marcher. Celui qui continue de faire des recherches, qui retrouve des biens et tout, qui rencontre des gens, qui est sur le terrain, il ne peut pas ne pas trouver. Ce n’est pas possible mec. Des biens, il y en a partout. Alors, comme je disais tout à l’heure, de toute façon, j’ai des trucs qui vont arriver bientôt, mais il faut que moins que tu avances toi sur tes recherches et que tu bombardes.

Loïc : Oui, c’est vrai, mais j’ai vu tes vidéos, je crois savoir ce que tu prépares, mais c’est pas mal.

Non mais t’inquiète, quand ce sera prêt, c’est sur le feu, disons (Rire.) Non mais ça marche, t’inquiète. En tout cas, quand ce sera prêt, je vous en parlerai un peu plus en détail et puis comme ça, ça va vous aider à aller plus vite, quoi.

Loïc : OK, parfait.

Ça marche. Alors je ne sais pas si tu avais d’autres questions du coup par rapport à ça ?

Loïc : Non non, je n’ai pas d’autres questions. Là, il faut que je persévère. Comme Morgan disait, c’est vrai, j’ai fait l’erreur il y a quelques mois de baisser mes critères, là maintenant je suis revenu en force et là je me dis que là, coûte que coûte, je ne baisse pas et que c’est ça ou rien, donc il faut continuer, quoi.

Non mais ça marche, c’est ce qu’il faut faire.

Loïc : Et je n’ai pas de question, ouais, c’était juste ça.

 OK, bah ça marche. En tout cas si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonnerai la parole alors.

Loïc : OK, merci Kendy !

 Je t’en prie, ça marche, à tout à l’heure, Loïc !

Alright. OK, est-ce qu’il y a d’autres sprinteurs ? Apparemment, c’était tout pour aujourd’hui. OK.

Je ne sais pas si tu as une autre question ? Si tu as une autre question, je vais pouvoir la traiter puisqu’apparemment, il n’y a plus de sprinteurs.

OK Morgan, je vais te donner la parole. Yes Morgan !

Morgan : Tu m’entends ?

Yes, je t’entends, ouais.

Morgan : Dis-moi, je me pose la question, parce que comme je te disais tout à l’heure, j’ai eu l’occasion de passer dans plusieurs banques puisque je jouais entre les deux régions puisque je suis en Île-de-France et puis je suis dans les Ardennes, du coup je balançais entre les deux. Mais là, je me suis rendu compte que j’ai déjà fait le tour de pas mal de banques et je suis connu sur certains dossiers puisque je jouais avec deux dossiers en même temps. Et là, je sais que les objectifs des banques sont faits, parce que là, je vais me présenter avec d’autres biens, d’autres sujets, est-ce que justement, ça ne va pas spécialement coincer, ils disent : « voilà, il y a quelque temps, vous êtes venu déjà nous voir.

Ce qu’il faut te dire, c’est comme sur une course de sprint. Sur un sprint, il y a Usain Bolt qui est devant et il y a peut-être quelques autres, mais qui sont derrière, quoi. Peut-être que toi t’as vu des mecs qui avaient déjà fait leurs objectifs, qui sont devant. Mais peut-être qu’il y en a d’autres qui n’ont pas encore fait leurs objectifs et toi, il faut que tu trouves ces mecs-là en fait.

Morgan : C’est ça, mais bon, parce qu’il y a certaines banques où justement ils m’ont déjà refusé le dossier. Après, effectivement, comme je t’ai dit, moi je présente mes dossiers en résidence principale. Alors je me dis, c’est vrai qu’à ce moment-là, vu qu’ils ne m’ont pas financé, je suis toujours à la recherche puisque je souhaite me loger. C’est ce que j’ai vu, c’est ce que je me suis dit puisque là, comme je te dis, je suis déjà connu dans tellement de banques, mon nom est marqué partout, que je me dis quand je vais revenir, est-ce qu’ils vont me dire : « bon bah on vous a déjà dit non sur un dossier ». Est-ce que les compteurs repartent à zéro à la nouvelle année, quoi, c’est ce que je me dis.

Moi je te dis, franchement, c’est vrai que ça va te paraitre un peu nian nian comme image, mais c’est comme une demoiselle. C’est-à-dire que la première fois que tu vas lui parler, tu vas lui demander son numéro, elle va te dire : « ah non, je n’ai pas envie ». La deuxième fois, tu vas lui demander, elle va te donner son numéro. Tu vas dire : « tu veux sortir avec moi, tu veux, on va boire un verre ? » Elle te dit : « non, je suis occupée ». Une deuxième fois, tu dis : « on va boire un verre », elle va dire : « allez, un verre, un verre hein ! » Et puis à la fin, tu te retrouves marié avec cette demoiselle, quoi. Donc même si on t’a dit non au début, ça ne veut pas dire que c’est non pour toujours.

Morgan : Ouais, ne t’inquiète pas, même s’ils m’avaient dit non, moi je t’assure que je serais allé parce que je t’assure que comme je te dis, le fait que joue entre deux, je vis entre l’Île-de-France et les Ardennes, j’ai pu voir qu’il y a certaines banques, ils ont les mêmes fichiers puisqu’ils me disaient : « ah, mais Monsieur, vous êtes déjà passé il y a un mois et tout », je dis « oui, je suis passé ».

Je trouve toujours un truc à leur raconter pour qu’ils puissent inscrire mon dossier. Et voilà, mais bon. Après, par moments, ça ne passait pas, mais du coup ça m’a permis déjà aussi de voir quelles sont les banques qui sont on va dire « nationales » et quelles sont celles qui sont on va dire « indépendantes ». 

Ouais, mais des fois, c’est tout con. Des fois même, dans la même ville, tu peux avoir deux banques de la même enseigne qui n’ont pas la même caisse parce qu’en gros, des fois si c’est une grosse agence, en fait la décision va se prendre en agence. Et il y en a, quand c’est une petite agence, ça remonte au siège. Et du coup, il suffit que tu multiplies un peu tes points d’entrée et à un moment, il faudra bien que ça passe, quoi.

Morgan : Franchement, comme je te dis, c’est vraiment ça, c’est multiplier les points d’entrée et puis du coup après, je sais mieux comment présenter ou quoi dire puisque bon, c’est vrai, c’est comme faire les recherches. Quand tu cherches un bien, à force, en un coup d’œil, tu vois tout de suite si c’est bon ou ce n’est pas bon parce que tu as déjà visité plusieurs biens auparavant.

Tandis que là, au niveau des banques, c’est un peu ça parce que… enfin, en fonction des conseillers, tu vois tout de suite comment tu dois parler, tu vois bien ce qu’ils ne comprennent pas. Pourtant c’est ma résidence principale que je présente. Mais bon, après, voilà. Mais OK, il n’y a pas de problème.

Non mais tu continues comme ça et puis après, de toute façon, comme c’est un nouveau projet, tu retournes les voir. Par contre il faut vraiment que tes comptes soient vraiment séparés, quoi. Il faut que ce soit…

Morgan : Ah non, mais Kendy, le truc est…

Non mais je disais ça pour toi, mais pour les autres sprinteurs aussi, comme ça, ça permet aussi que ce soit déjà dit, mais c’est vraiment l’idée de vraiment tout segmenter pour qu’il n’y ait pas de lien.

Morgan : Effectivement, oui, puisque mes comptes sont complètement séparés puisque là aujourd’hui, je paye déjà les intérêts intercalaires par rapport au différé sur le premier, mais aujourd’hui, ce n’est pas traçable du tout sur le relevé que je présente. Voilà, puisque bon, j’ai eu cette possibilité. Mais bon, et c’est pour cette raison que je continue comme je t’avais dit puisqu’après, la chose qui me fera défaut, ce sera l’avis d’imposition où ce sera mentionné par la suite. Pour l’instant, il n’y a rien de mentionné, j’y vais, j’absorbe au maximum, quoi. Enfin, j’espère pouvoir absorber.

T’inquiète. Mais ton avis d’imposition, à part si tu as déjà commencé à générer des revenus, oui ce sera noté, mais…

Morgan : Non mais à un moment, là-dessus on va trouver comme quoi je suis propriétaire.

Sur ton avis d’imposition ?

Morgan : Non ? Bah ouais, tu as ton nom…

C’est juste ta taxe foncière et autre. En fait, tu as deux trucs différents, tu as ton avis d’imposition sur tes revenus, ils vont voir que tu vas déclarer des revenus fonciers, là ce sera en l’occurrence des revenus PIC, mais après, on ne peut pas deviner que tu es propriétaire du logement. Et même sur les logements que tu auras, tu auras un truc par logement, c’est-à-dire que tu auras un avis par logement. Moi, j’ai plusieurs avis de taxe foncière, tu as plusieurs taxes foncières. Genre tu as une adresse, tu as une taxe foncière pour cette adresse, mais tu n’auras pas tout sur une même feuille. Et même si on te demande des taxes foncières, tu peux même ne pas donner ceux que tu veux, ce n’est pas communicant.

Morgan : OK, très bien.

En tout cas si tu as d’autres questions ou quoi que ce soit, n’hésite pas et puis je te redonnerai la parole alors.

Morgan : OK, sans souci.

Ça marche, à tout à l’heure. Alright, je vais peut-être prendre une autre question si tu en as une. Je vais attendre un petit peu, voir si tu m’écris ta question. OK, a priori il n’y a plus d’autres questions.

En tout cas moi, ça m’a fait plaisir de faire cette session avec toi ce soir. Nous, on se revoit jeudi soir comme prévu, 19h00-21h00 et donc là, de toute façon, tu as ton plan d’action pour cette semaine. Si tu es en phase de recherche toujours, continue de faire du volume, d’aller voir d’autres agents, de faire d’autres visites. Si tu es en mode financement, de voir d’autres courtiers et si tu es en mode travaux, de continuer à visiter ton chantier. Mais surtout, de grâce comme on dirait, n’écoute pas les gens qui n’ont pas encore fait ce que toi tu fais. Limite maintenant, c’est toi qui pourrais enseigner aux gens ce que tu sais parce que tu en sais déjà beaucoup plus que la majorité des gens qui voudront essayer de t’apprendre quelque chose. Donc de grâce, s’il te plait, n’écoute pas ces gens-là et fais simplement ce que tu dois faire parce que tu sais déjà aujourd’hui ce que tu dois mettre en place.

En tout cas, je te souhaite une bonne soirée, on se dit à jeudi sans faute, 19h00-21h00 et puis voilà.

En tout cas je te souhaite une bonne soirée et je te dis ciao ciao !

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