Novembre 2019 - 041119

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Salut à toi, bienvenue à la session questions-réponses. Aujourd’hui, on est le lundi 4 novembre. Si c’est la première fois que tu viens à la session, que je t’explique un peu le principe. Il suffit que tu poses ta question dans la chatbox. Tu as un espace dédié pour poser tes questions. Et puis après moi, je te donnerai la parole pour que tu puisses poser ta question en liv et comme ça moi, je pourrai répondre pour que tout le monde puisse participer. Voilà. Est-ce que tu peux me dire si tu m’entends bien, si le son est OK, si tout est bon pour toi ? Si tu m’entends bien, si le son est cool, si c’est bon, tu peux me mettre ça dans la chatbox et puis comme ça je vais pouvoir te donner la parole. Attends juste que je mette la boîte à question en face de moi. Est-ce que tu peux me dire si tu m’entends bien s’il te plaît, si le son est OK ? Comme ça, je vais te donner la parole. Attends, j’ai perdu la boite à questions. J’attends ton retour pour voir un petit peu. Apparemment, tu ne dois pas m’entendre parce que je n’ai pas de retour. Est-ce que tu peux me mettre dans la chatbox si tu m’entends bien ou pas ? Juste un retour, comme ça je saurai que je ne suis pas tout seul. Alors j’attends un petit peu. OK, apparemment ça commence à venir, ça marche. OK, parfait, super. Ce qu’on va faire, c’est que je vais te donner la parole et puis comme ça tu vas pouvoir me poser tes questions et comme ça on va pouvoir avancer. Qui est présent aujourd’hui ? Je vais donner la parole déjà. Bon allez honneur aux dames, honneurs aux sprinteuses. Je vais te donner la parole Laura, tu vas me dire un petit peu où est-ce que tu en es parce que ça fait longtemps qu’on ne s’est pas eu. Tu vas me dire un peu comment tu as pu avancer. Attends, je te donne la parole. Salut, Laura !

Laura : Allô ? Salut, Kendy ! Salut à tous !

Comment vas-tu ? Tu m’entends ?

Laura : Ouais ça va et toi ?

Ça va nickel. Alors par contre, je ne t’entends pas très bien.

Laura : Allô ?

Tu m’entends, toi ?

Tu m’entends, là ? *

Ouais, je t’entends.

Oui, c'est bon pour moi. Du coup, j’ai fait toutes mes visites là avec les artisans. Donc en fait là cette fois-ci j’étais *0:03:24*. Donc il y a certains *0:03:29*, comment ?

Je t’écoute. Laura, je ne sais pas ce qui se passe. Je ne t’entends pas très bien. Je pense que tu ne dois pas avoir beaucoup de réseau. Ce qu’on va faire Laura, je vais te laisser revenir et puis quand tu seras plus disponible, tu me... Tu m’entends là ? J’ai eu un petit sursaut, je ne sais pas si tu m’entends.

Laura : Oui, bah moi je ne t’entendais plus. Je ne sais pas si toi tu m’entends.

Alors tu me disais tu en es où là, du coup ?

Laura : C’est bizarre. Ça coupe en fait. Par moments, je t’entends et à d’autres moments je ne t’entends plus. Ça coupe en fait.

Attends. Et là tu m’entends mieux ou pas ?

Laura : Oui.

OK, parfait.

Laura : Là pour moi, c’est bon. Du coup, je te disais que oui j’ai fait mes visites avec les artisans. Donc là, cette fois-ci, ils étaient tous présents. Ils sont tous venus. Donc à chaque fois j’ai répété le même discours, ce que je voulais, etc. Il y a quelques-uns, enfin il y en a un avec lequel l’affinité, on va dire qu’elle est neutre. Il y a un autre au début, il m’agaçait un peu mais je lui ai fait comprendre sur sa façon de me parler ou de me poser des questions et lui ai répondu aussi du tac au tac. Donc je pense qu’à un moment ça l’a calmé. Et il a compris que bon bah voilà. Bref.

En fait j’attends du coup là leur… parce qu’en fait, les visites là je les ai faites mercredi dernier. Donc là, j’attends leur retour. Et à certains… du coup, il me reste à leur partager parce que je devais signer un peu des plans d’avant-après. Donc je n’ai pas encore mis le mobilier, mais du coup, je dois leur partager le tout pour qu’ils puissent étudier le projet et puis me faire un retour a minima fin de semaine, voire début de semaine prochaine pour d’autres, à voir.

Les deux autres que j’avais eus là, Maison des travaux et puis l’autre là, je n’ai pas de nouvelle. Donc je ne vais pas non plus insister parce que là, à partir d’un moment, c’est soit ils veulent bosser, soit ils ne veulent pas bosser aussi. Donc je vais les laisser, je ne vais pas revenir vers eux. D’ailleurs, j’ai même supprimé le partage de dossier pour les deux là parce qu’au bout de moment, enfin voilà.

OK. Je vois. Du coup là c’est quoi la suite alors ? Tu dois faire quoi là si je comprends bien ?

Laura : La suite, c’est recevoir les devis. Et puis aussi, je n’ai toujours pas de nouvelles des notaires.

En fait, le discours qu’ils sèment, c’est : « ah oui, la fin d’année, on est booké, on est booké, on est booké », voilà. Je me dis quand même il suffit juste de convenir d’une date.

Ouais, j’imagine.

Laura : Donc c’est un peu chiant, en fait.

Mais ils sont bookés pourquoi ? Pour signer le compromis ?

Laura : Ils sont bookés parce qu’ils ont plein de choses à faire. Donc visiblement toutes ces choses à faire les empêchent de trouver une disponibilité pour pouvoir faire signer le compromis. C’est la fin d’année.

Qui te tient ce discours-là, ton notaire à toi ou le notaire du vendeur ?

Laura : Les deux !

Ah ouais ? C’est un peu chiant ça.

Laura : Ouais, ouais, c’est un peu chiant. Je me suis dit je vais rappeler cette semaine mon notaire pour savoir : « je viens juste aux nouvelles, je m’inquiète un petit peu ».

Ouais, c’est ce qu’il faut faire.

Laura : Mais bon, au bout d'un moment *0:08:17* je veux une date et puis *0:08:25*.

Ouais mais je pense que c’est ce que tu devrais faire. Ce que tu dois faire, c’est rappeler en disant : « bonjour, je viens aux nouvelles pour savoir un petit peu, je ne sais pas trop… », tu vois ? C’est ce qu’il faut faire.

Laura : Mais chaque semaine, chaque semaine ! Non mais les garçons il faut vous réveiller quand même !

Bah c’est tout. C’est ton job maintenant toi, c’est de contacter les gens. C’est toi qui dois relancer tout le monde. Ça devient ton métier maintenant.

Laura : Ouais, mais en fait moi je m’inquiète parce que je me dis ils vont me faire poireauter combien de temps ?

C’est à toi de les appeler, Laura. Donc tu les appelles, tu poses des questions. Tu dis : « bah écoute… »

Laura : Oui ! Mais c’est ce que je fais ! Mais ça va durer combien de temps ça alors ? Si ça ne se développe pas, est-ce qu’il y a une… je ne sais pas, une autre solution ?

Bah en fait le problème qui se passe, c’est que si c’était juste ton notaire qui disait ça, on aurait pu prendre un autre notaire, tu vois ? Mais si c’est les deux notaires qui te disent ça, pour moi c’est tendu quoi.

Laura : Alors, moi j’avais eu le notaire du vendeur. Il m’avait répondu, il m’avait expliqué comment ça allait se passer et après il m’a dit qu’il ne traitera pas avec moi. Ce n’est pas avec moi qu’il doit parler, ce n’est pas avec moi qu’il traite. Il dit que le truc, l’histoire du compromis c’est secret-défense, qu’il ne peut pas traiter avec moi. C’est avec mon notaire directement qu’il doit parler, pas avec moi, mais bon. Il m’a répondu la première fois et depuis j’ai des nouvelles via l’agent immobilière qui, elle, me fait le retour mais à chaque fois le mec il dit : « oui, on est débordés jusqu’à la fin d’année. Et puis bah mon notaire aussi il dit : « bah ouais, c’est la fin d’année, on est en train de consolider les documents mais c’est un peu… Voilà il y a beaucoup de choses à faire ». C’est bon, c’est chiant, bref. Ça n’avance pas en fait. Ça m’énerve en fait.

Maintenant c'est tout, il faut attendre. Là pour l’instant, on n’a pas vraiment trop de solutions quoi. Donc, il faudra attendre et puis essayer de les rappeler et puis c’est tout. Là, il n’y a pas d’autre solution que de rappeler et de relancer. Mais ne pas être chiant, tu vois c’est vraiment relancer en disant : « juste pour savoir, pour avoir des nouvelles ».

Laura : Ah bah oui, gentiment. Oui, oui, c’est ce que j’ai fait.

Parce que si tu te braques, en fait ils peuvent te faire attendre plus longtemps.

Laura : Ouais, je sais. Mais je ne me braque pas, j’appelle mon notaire gentiment, je lui dis : « oui bah… ». Mais bon c’est qu’au bout d’un moment je pense que ouais, il va me trouver chiante.

Non mais ça dépend de comment tu amènes les choses. Si tu amènes les choses en disant : « ouais, je ne comprends pas. Je veux faire ça », etc., tu vois ça peut être chiant mais si tu fais…

Laura : Non, non. Quand j’appelle, je dis : « oui, je veux juste de vos nouvelles pour savoir un peu est-ce que ça a pu avancer ou pas ». C’est ce que je lui ai dit la semaine dernière. « Est-ce que ça a avancé ou pas ? Où est-ce qu’on en est ? Donc qu’est-ce que vous avez amené en retour ? Juste pour mon information, que je sache un peu. Et puis là, il m’a dit : « oui, bah en plus là il doit me transmettre les documents, etc., donc c’est un peu compliqué la fin d’année ». Je fais : « OK, d’accord pas de problème. Bon bah je vous laisse avancer et puis… », voilà ce que je lui ai dit. « Je vous laisse avancer et puis je vous rappellerai éventuellement après ».

Ouais, bah fais ça. Et puis, là, tu le rappelles en fin de semaine et tu vois un peu comment ça avance. Mais l’idée, ce serait que tu puisses essayer d’avoir une date pour la signature du compromis quoi. Ça, c’est important.

Laura : C’est ça, j’aimerais avoir une date.

Bah oui, c’est ça !

Laura : Parce qu’il m’avait dit déjà fin de mois-début du mois, il faut juste un début de mois parce qu’on est début novembre, toujours rien donc bref. Donc voilà où j’en suis.

OK. Non mais essaye de les rappeler là encore cette semaine. Tant que tu n’auras pas de date précise, tu le relances et puis c’est tout. Mais il n’y a pas d’autre solution. Tu relances, tu relances tant que tu n’as pas de date parce que ton job, c’est d’avoir une date. OK ?

Laura : Ouais, c’est ça. OK, ça marche.

OK ça marche. En tout cas si tu as d’autres questions pendant la session, n’hésite pas et puis moi je te redonne la parole alors. Ça marche ?

Laura : Ouais, OK. C’est entendu. Merci Kendy.

De rien. Je te dis à tout à l’heure, Laura, je t’en prie.

Laura : Ouais, ça marche !

Alright ! Alors je vais donner la parole à notre ami Ernest. Alors Ernest, je vais te donner la parole. Tu vas pouvoir me dire un petit peu où est-ce que tu en es dans ton avancée là. Alors il faut que tu actives ton micro. En haut à droite, tu dois avoir un bouton pour activer ton micro. Yes, Ernest.

Ernest : Allô ? Ouais, bonsoir. Ça va ?

Ça va nickel, et toi-même ?

Ernest : Ouais, je vais très bien. Merci beaucoup. Ça va. Ouais ça va, parfait. Bah écoute moi, depuis l’inscription, ça fait globalement donc une semaine. C’est ce petit exercice de recherche. Je crois savoir que je t’ai fait parvenir ce que j’avais fait, ce que j’avais trouvé. Et bon, là ce que j’ai trouvé pour moi, ce n’était pas très efficient dans le sens où vraiment j’étais sur un immeuble avec quatre appartements, voire cinq appartements. Et là, j’ai eu un souci, donc c'est-à-dire que passer par meilleur taux de manière à définir la capacité d’emprunt, ça, c’était la difficulté dans le sens où ce qu’il m’annonçait, ce n’était pas de nature à pouvoir emprunter. Et donc moralité j’ai quand même fait l’étude, parce que je t'ai envoyé les documents-là, donc j’ai laissé en commentaire que c’est quelque chose que nous devions revoir ensemble *0:15:10*.

Oui, je vois.

Ernest : Parce que je ne sais pas donc *0:15:12*.

Non mais après tu sais il y a des choses que le fichier ne prendra pas en considération. Par exemple tu vois nous, on ne met pas encore les futurs loyers et tout ça, donc c’est des éléments qui viendront en plus. Après ça, c’est juste une idée que ça va te donner mais ce n’est en aucun cas officiel et puis ce n’est en aucun cas un truc précis qui va pouvoir te dire : « bah oui effectivement c’est ce que tu vas pouvoir obtenir ». De toute façon, nous on en parlera ensemble si tu veux en privé mais…

Ernest : Non mais même au-delà de ça. Voilà, c’est ça.

OK. Non mais je te dis par rapport à ça, je comprends.

Ernest : Oui, je t'écoute.

Mais maintenant ce qu’il faut que je te dise vraiment c’est il faut que tu avances sur ta partie recherche. Et puis après la partie financement, on aura tout le temps de se prendre la tête pour ça. Mais simplement, essaye de rester dans un budget pour le projet fini entre 150 000 € et 200 000 €. Je dirais que c’est le budget moyen que tu dois… essaye de ne pas trop dépasser ça. De toute façon, dans ce budget-là tu vas trouver des… il y a une *0:16:30*.

Ernest : Voilà, ouais.

Après je ne sais pas si tu avais d’autres questions par rapport à autre chose du coup ?

Ernest : Et effectivement, donc là, la recherche a été faite dans ce sens. Et oui, les dix recherches... oui mais bon en fait *0:16:55* ensemble. Mais sinon pour le moment, oui c’est un travail qui est prenant. Et bon… ce que je n’ai pas mis en place c’est peut-être les alertes. C’est ce que j’ai commencé à faire après, post-exercice, *0:17:29* des alertes un peu sur différents sites : SeLoger, Leboncoin, de manière à optimiser les recherches. Quand j’ai écouté l'introduction et le module que tu nous laissais, justement, à écouter et là vraiment, il n’y avait pas ça quand même, *0:17:57* les alertes de manière à ce que la recherche soit efficace quoi. Kendy, je ne t'entends plus.

Moi, je t'entends et je t'écoute.

Ernest : Voilà donc je disais simplement voilà que j’ai mis en place des alertes maintenant, et puis bon bah on va voir ce qu’il confirme quoi. On va d’ailleurs débriefer sur les dix recherches que j’ai faites. Donc à l’issue de ça, je t'ai laissé un commentaire et mon analyse à l’issue de l’exercice. Bah écoute, tu vas t'en imprégner et puis tu me diras ton avis Kendy ?

OK, mais ça marche. De toute façon on en reparlera et puis comme ça on verra ça ensemble.

Ernest : OK, mais bon.

Je ne sais pas si tu avais d’autres questions par rapport à *0:18:54* ?

Ernest : Non, non. Je pense que… voilà. Mais idéalement, c’est ça. De toute façon tu as tout dit. Donc il faut depuis l’emploi de domicile, voilà à deux heures de notre lieu d’habitation, bon OK mais l’idée aussi ça a été de pouvoir avoir quelque chose dans ma ville là, donc dans la Marne et je pense encore rapidement à mon plan B, donc c’est dire de se rapprocher un petit peu des agences, de voir avec ces gens-là comment on peut *0:20:02* pouvoir trouver quelque chose. Donc ça, ça reste *0:20:11* des recherches, appeler les agents pour voir comment on peut se positionner et voir si ça ne portait pas ses fruits. Donc maintenant *0:20:21* les rencontrer physiquement et puis leur laisser *0:20:22* des informations pour qu’ils me rappellent ?

OK, non mais ça marche. Mais fais ça. De toute façon, nous on en fera le point prochainement quand on se verra. OK ? En tout cas si tu as d’autres questions, n’hésite pas.

Ernest : Allô ! Donc ça coupe ça encore, je ne t'entends plus Kendy.

Je crois qu’il y a un souci avec Ernest. En tout cas, Ernest, si tu as d’autres questions, n’hésite pas à me les poser parce qu’apparemment, ça passait mal. Si tu as des questions, n’hésite pas tu les mettras en commentaire et puis je te redonnerai la parole. OK ?

Alright. Du coup ce que je veux faire, je vais donner la parole à un autre sprinteur. Alors, pour que ce soit assez concis, est-ce que tu peux me mettre déjà peut-être ta question dans la chatbox. Si tu as une question, tu la mets dans la chatbox et comme ça on sera concis, comme ça on va droit au but. Si tu as une question, tu la mets et puis moi j’y réponds pour que le maximum de personnes puisse poser leur question. OK ?

Alright. Ce que je vais faire, je vais donner la parole à Thiago, notre ami Thiago. Salut, Thiago ! Alors Thiago, il faut que tu actives ton micro en haut à droite. En haut à droite, tu as un micro pour… tu as un symbole pour pouvoir activer ton micro. Alors je ne sais pas si tu m’entends bien. Est-ce que tu m’entends bien, Thiago ? Parce que je ne sais pas si tout est OK. Est-ce que tu peux me mettre dans la chatbox si tu m’entends bien, si le son est OK ? Parce que j’ai l’impression de parler tout seul du coup. Thiago, je vais te redonner la parole, il faut que tu actives ton micro en haut à droite. Alors je ne sais pas si tu m’entends bien, j’ai l’impression que le son n’est pas tip top. Alors est-ce que tu m’entends bien, s’il te plaît ? Est-ce que tu peux me mettre dans la chatbox si tu m’entends bien ? Parce que je n’ai pas de retour de ta part et du coup je ne sais pas si tu m’entends, si je parle tout seul, je me sens un peu seul là.

Alright. Alors là, j’ai changé de connexion, tu devrais normalement m’entendre mieux, j’ai changé le micro. Normalement, ah, OK, merci *0:24:08* qui dit : « ne te sens pas seul, on t’écoute ». OK, parfait.

Bah écoute, ce qu’on va faire, c’est que je vais donner la parole à Thiago. Je vais te donner la parole Thiago. Je ne sais pas si c’est la première fois, ça doit être la première que tu viens Thiago, je ne sais plus mais en tout cas tu dois avoir un symbole micro en haut à droite normalement si tu es sur ton PC ou si tu es sur ton téléphone en haut à droite aussi, je crois, tu as un symbole micro pour que tu puisses prendre la parole. Il faut juste que tu cliques dessus et puis ton micro sera activé. Bon bah je n’ai pas de retour de Thiago. Thiago, je te laisse peut-être revenir et puis tu m’écriras.

« Salut les sprinteurs », Johnny qui nous envoie un petit message. Je vais te donner la parole justement Johnny. Alors tu vas me dire un petit peu où est-ce que tu en es, alors : « pas vraiment de question, ce serait pour te faire un rapport ». OK super Johan, je te donne la parole juste après Johnny, Johan. Alors, yes Johnny !

Johnny : Bien, salut la team !

Comment vas-tu ?

Johnny : Écoute ça va, je sors à peine du boulot. J’ai dû sprinter pour revenir, pour rentrer chez moi pour assister à la session, donc voilà. Mais c’est bon je suis là.

Non, mais c’est cool.

Johnny : Ouais.

Alors, où on en est tu là toi du coup dans ton projet-là ? Peut-être *0:25:39*, parce que toi tu en as trop toi du coup ?

Johnny : Ah, je commence même presque à m’y perdre. Non je plaisante. Bah, écoute là sur l’avenue de Montluçon là je suis en train de faire l’acquisition du troisième immeuble, ça y est.

OK.

Johnny : Le financement, je signe la semaine prochaine. Alors ça devrait être signé il y a une semaine de cela mais j’ai refusé.

Ouais, le 16 octobre, je crois, ouais.

Johnny : Voilà, alors j’ai été chez le notaire avec le vendeur. Alors moi, je suis assez méticuleux c’est que j’aurais pu signer mais j’ai refusé la signature. Pourquoi ? Parce qu’il y avait eu un dégât des eaux entre deux logements. Et alors le vendeur me dit qu’il avait fait le nécessaire, qu’il avait contacté son assurance, tout était rentré dans l’ordre, qu’il n’y avait pas de souci, que l’inspecteur devait passer pour voir l’étendue des dégâts pour faire intervenir les ouvriers, bah voilà. Donc moi j’ai dit qu’en gros, je lui dis que moi je ne signais pas tant que le mec n’était pas passé. Parce que la réparation des parties… il y a une partie des parties communes qui était quand même affectée et le logement d’une des locataires était pas mal touché aussi par rapport à ce dégât des eaux. Donc je voulais que tout soit fait avant que je signe.

OK.

Johnny : Mais moi j’avais les papiers de l’assurance assurément en disant que c’était bon, que c’était pris en compte, voilà.

OK, je vois ce que tu veux dire. Non mais c’est cool.

Johnny : Ouais. Alors je n’attends que ça pour signer. Donc là ils m’attendent tous là mais bon je préfère qu’on m’attende que moi j’attends.

Ouais, c’est ça. Tu as raison, mec, c’est toi le patron (Rire.)

Johnny : Ouais, donc voilà. Ensuite, cet immeuble est en cours d’acquisition. Ensuite un immeuble que j’ai déjà, donc il y a un logement, les travaux vont commencer la semaine prochaine. Je crois que je l’ai mis sur le groupe Facebook, il me semble.

Ah, oui le T4 là ?

Johnny : Un grand T4, alors moi je voulais vraiment diviser ce T4, il y a plus de 90m². Franchement, c’est un grand T4. Et j’ai vu avec mes artisans, on a retourné le truc dans tous les sens, ouais c’est quasiment impossible par rapport à où est situé l’escalier, comment s’est fait. Ouais, c’est chaud quoi. Sinon il faudrait vraiment casser pour refaire. C’est un budget de fou. Parce que moi, je vais diviser en deux lots, voire trois lots pour pouvoir exploiter en location courte durée mais c’est très très compliqué de déplacer l’escalier, ensuite de recréer ailleurs, enfin ouais, c’est un truc de fou. Ensuite il faudrait recréer des salles d’eau, c’était hors budget. Alors qu’au moment où j’avais acheté cet immeuble, je ne n’avais pas prévu, si tu veux, je ne m’étais pas assez lancé dans le temps, c'est-à-dire que je n’ai pas vu ce projet-là quoi. Je n’ai pas encore cette vision de l’immobilier si tu veux. J’ai acheté en début 2019, c’était au mois de mars et cette vision, je ne l’avais pas encore, tu vois, et je venais juste de commencer la formation avec toi d’ailleurs et donc voilà. Donc maintenant je vois les choses un peu différemment, je voudrais quand même avoir deux divisions si c’est possible pour augmenter ma renta mais au moment où j’ai acheté l’immeuble, si tu veux, le budget était déjà bloqué donc forcément…

Ouais, je vois ce que tu veux dire.

Johnny : Le budget qui était alloué pour ce logement, il n’est pas suffisant, voilà. Donc c’est un budget qui est insuffisant pour faire des travaux de rénovation. Et puis pour acheter du mobilier, c’est suffisant mais pour eux, pour diviser, pour créer les salles d’eau, pour des escaliers et tout ça je suis hors budget, j’explose le budget, donc voilà.

OK, après c’est tout, tu fais au mieux maintenant pour rectifier le tir.

Johnny : Bah c’est ça. Donc moi je vais partir sur la normalité c'est-à-dire que je vais les rénover. De toute façon ça commence la semaine prochaine. Je vais faire une belle rénovation, ensuite enfin plutôt rafraîchissement. Après, la salle de bain je vais casser… c’est une baignoire, la baignoire je vais la supprimer et je vais mettre une cabine de douche, c’est un peu plus sympa quand même, donc voilà. Et la cuisine je vais la refaire, je vais mettre une cuisine plus sympa, plus contemporaine et plus moderne. Et puis refaire les sols, plafonds, murs voilà, et donc parquet, du parquet un peu partout, dans la salle d’eau des parquets pour pièce humide, enfin comme *0:29:54*. Tout ça, ça va être mis en place. Et puis ça partira en location courte durée.

Alors ce qui n’est pas mal avec cet appartement c’est qu’il y a un attenant : tu as un jardin et ça, je ne sais pas, j'aurais bien aménagé ce petit bout de jardin là pour donner encore un effet de coup de cœur, créer un truc supplémentaire, voilà, pour qu’il y ait un bout de terrasse.

OK. Bah le truc qui marche bien pour les petits jardins, les petits trucs du genre, c’est soit les petites pierres là, ça, ça ne coûte pas très cher, je crois que tu peux acheter soit avec des sacs à 100 € le sac, et puis comme ça en fait tu remets ça par terre et puis comme ça… ça dépend de la taille. Sinon tu peux mettre des petites pierres blanches ou même des graviers. Tu vois le gravier, ça coûte encore moins cher.

Johnny : Oui. D’accord oui.

Et puis deuxième solution, si c’est déjà un sol genre tu vois c’est déjà du béton, ce que tu peux mettre c’est genre les petites moquettes du gazon synthétique là, je trouve ça bon.

Johnny : Ouais, moi aussi j’ai pensé à ça. Alors il y a une partie un peu dure, béton on va dire et une partie terre.

Oui. OK.

Johnny : Il y a une partie terre. Donc il faudrait que je voie comment je vais arranger le truc. Je vais essayer de prendre des idées. De toute façon, je te verrai hors pour que tu m’expliques… tu m’as parlé de pierre blanche, ça, ça peut être pas mal, il faut voir. Et puis après, tu as pas mal de surfaces qui vendent tout ce qui est tables de jardin avec les chaises qui vont avec, et puis voilà des trucs *0:31:34* sympas quoi.

Ouais, mais ça c’est effectivement les choses que tu pourras mettre en place et puis tu vas pouvoir avancer quoi. Non mais c’est cool.

Johnny : Oui. Bien sûr. Donc voilà. Après il n’y a pas mal de possibilités. Le seul truc vraiment dans ce projet dans ce projet qui me brise un peu le cœur, c’est que c’est une très très grande surface quoi et il fait limite…

Ouais mais après du coup, *0:31:57* tu n’étais pas encore dans le truc donc ce n’est pas grave mais c’est fait, c’est fait. Maintenant, tu te diras que pour les prochains projets bah tu feras gaffe. Celui-ci, tu n’étais pas encore dans le truc donc ce n’est pas grave.

Johnny : Ouais, c’est vrai ça, exactement ouais. Mais bon, je saurai pour la prochaine fois maintenant voilà mais bon tant pis. Il est déjà comme ça, on va le garder comme ça et puis on va continuer sur l’avancée et puis l’aménager et puis voilà. Et puis il partira en location courte durée et puis voilà. C’est tout. Alors cet immeuble, il fait partie de quatre lots. Les trois autres lots sont déjà loués en fait en classique, en meublé classique. Quand j’ai acheté, c’était déjà comme ça. Et du coup, ce lot-là bah il sera en location courte durée voilà.

OK, non mais c’est parfait.

Johnny : Donc voilà.

Ouais ça marche. Et du coup, pour les autres projets que tu avais là, tu en es où alors ?

Johnny : Alors j’ai un autre immeuble. Le deuxième immeuble, là j’ai un logement qui s’est… En fait si tu te rappelles bien, j’avais gardé un logement en mode buanderie pendant que j’étais parti en vacances il y a *0:33:01*

Oui, je me rappelle.

Johnny : Alors ce logement-là, si tu veux j’ai commencé les travaux, il partira en location courte durée. C’est un T1 bis, donc qui se prête bien à la location courte durée. Je pense que je vais exploiter, enfin l’exploiter, je pense que vais mettre une capacité de quatre personnes. C'est-à-dire je vais mettre un lit king size et puis un canapé-lit de très bonne qualité. Donc je pense qu’on recevra quatre personnes.

OK.

Johnny : Il sera exploité au maximum. Donc du coup je vais passer à trois logements dans cet immeuble, trois logements en location de courte durée et j’ai encore deux logements qui sont loués en classique. Voilà. Et l’immeuble d’avant dont je parlais, dedans il y a un logement qui va se libérer en janvier normalement, et donc ce logement, pareil, sera en location de courte durée.

Donc du coup, si je calcule bien sur mon *0:33:55*, en tout cas, j’aurai déjà… ça fera un deux, trois, quatre, cinq logements en courte durée.

En courte durée ?

Johnny : Oui.

OK, parfait. Bon bah c’est cool. Non mais ça marche.

Johnny : Et il y a le fameux… dans un des immeubles, j’ai un local commercial. J’avais fait une demande de changement de destination. Donc j’ai eu l’autorisation. Donc ça, c’est un projet, je pense, que je n’ai pas entamé de suite, ça sera courant février-mars 2020. Parce que je vais l’avoir sur le compte-goutte. Et donc celui-là pareil, ça sera un T1 bis, j’ai déjà vu avec l’architecte et l’artisan. Ce sera un T1 bis et il sera exploité en location courte durée. Donc je passerai à… voilà ça fera un logement supplémentaire en location courte durée.

Parfait. Good job, mec, good job. Bien joué.

Johnny : Après, donc le projet, alors ce qui était venu après la rencontre des sprinteurs quand tu étais venu sur Paris, j’avais parlé d’un dernier projet en cours qui est à Boulogne-sur-Mer cette fois-ci. C’est un immeuble composé de cinq lots, dont trois lots sont déjà occupés. Il y a deux logements qui sont disponibles et ces deux logements-là bien sûr seront exploités en location courte durée parce que Boulogne, ça tombe pas mal, je pense, avec des points d’intérêt… c’est une ville qui a plusieurs points d’intérêt : il y a la plage là-bas, il y a aussi le plus grand aquarium d’Europe, Nausicaa. Et puis, il y a aussi le côté universitaire. Il y a pas mal de facs là-bas aussi. Il y a un domaine étudiant, donc au pire des cas, je pourrais faire de la location pour étudiants mais bon nous on vise plutôt la LCD. Et donc du coup pour ce projet-là donc le financement il est en cours. Alors je t’avais expliqué par rapport aux encours que j’ai déjà, maintenant je suis un peu bloqué. C'est-à-dire que des banques peuvent me suivre à condition que je mette de l’apport.

De l’apport, OK oui, je vois.

Johnny : Oui, et là vraiment j’aurai des ennuis.

Alors moi, le truc que je peux te dire c’est ça c’est… en général, je suis OK pour l’apport mais il faut vraiment que tu puisses récupérer ton cash dans l’année, tu vois ?

Johnny : Oui, justement oui.

Si tu réussis à récupérer ton cash dans l’année, là encore tu peux réfléchir, mais sinon nexte.

Johnny : Ouais, c’est clair.

OK. Et du coup tu as choisi quoi alors ? Tu vas financer ou tu vas faire quoi ?

Johnny : Alors moi, en fait j’ai mis deux courtiers sur le coup. D’ailleurs, il y a un courtier qui m’a appelé et qui m’a demandé, qui m’a dit : « attendez Monsieur *LAFFOND* (0:36:34), vous avez mis un autre courtier sur ce dossier ou pas ? » et j’ai dit : « pourquoi vous dites ça ? Qu’est-ce qui se passe ? » Et donc il me dit : « bah, oui, parce que le courtier a appelé l’agent immobilier pour demander, pour avoir des renseignements, donc je veux savoir si vous avez mis un autre courtier sur le coup ». Je lui ai dit : « mais écoutez, non, j’avais fait des simulations sur des sites de simulation avec des courtiers pour voir s’il y avait possibilité de trouver des financements. C’est vrai que j’avais rentré certaines données mais bon, il ne me semble pas que j’avais mandaté un autre courtier, non pas du tout ». « Ah d’accord ! Bah oui, bah oui ! Ça vient de là ! Oui bah eux c’est vraiment des gourmands. Quand on commence à consulter ce genre de site, forcément ils vont rappeler ». J’ai dit : « Ah d’accord ! Bah ouais, ouais ». J’ai essayé de sauver le truc comme ça mais bon. Donc voilà quoi mais bon ouais, réactif.

Mais le truc c’est que pour ce projet-là, franchement j’avais calculé la rentabilité en location si je louais les deux logements vides, pour l’instant avec deux logements, quand ils seront tous loués, je peux facilement louer l’ensemble pour 2 300 € pour quand *ils seront loués* (0:37:40) ensemble.

OK, et du coup, finalement tu vas faire quoi là ? Tu vas quand même… Tu as trouvé un financement ou pas du tout ?

Johnny : Alors j’ai deux financements mais il y a un financement où on me demande un apport de 17 000 €. Il y en a un autre où on me demande un apport de 16 000 €. Et là j’ai été démarcher deux banques moi-même, j’attends des retours cette semaine. Je vais voir ce qu’elles vont me proposer, donc voilà.Donc j'en suis à ça aujourd’hui.

Après si vraiment je n’ai pas le choix, parce que c’est quand même une affaire, le truc, il est superbe, il est situé à moins de dix minutes de la gare et tout, du centre-ville, en plein centre-ville voilà. C’est quand même une bonne affaire que je n’ai pas envie de laisser passer. Donc ça me ferait chier de laisser ça passer, franchement.

Oui. OK.

Johnny : Alors sur les conditions. Comment ?

Tu regarderas effectivement avec les moyens de la banque et tu verras quelle est la meilleure condition qu’ils te proposent.

Johnny : Voilà. Alors les conditions, j’ai déjà les conditions pour les deux banques, pour deux les courtiers. Alors c’est à peu près pareil, il y a très peu de différence. Alors j’ai quand même pu négocier bah de différer. Ça c’est l’avantage, c’est ce qui permettra, je pense, de faire une trésorerie de départ et puis de récupérer ma mise de départ, un différé sur deux ans, enfin de 24 mois, donc ça ce n’est pas trop mal. Moi je me projette un peu en location courte durée. Je regarde un peu ce qui passe dans le coin, ça loue pas mal. Je pense qu’en moins de deux, ouais en un an, je pourrai récupérer ma mise.

Bon bah c’est parfait.

Johny : En moins d’un an, je peux récupérer ma mise, voilà. Après c’est fini. Et j’ai encore un an pour capitaliser, enfin pour créer une vraie trésorerie, voilà.

Non, mais c’est cool, c’est parfait. Bon bah en tout cas tu nous tiendras au courant de comment ça avance et je dis s’il le faut tu viendras et tu me diras un peu où est ce que tu en es sur le financement. Ça marche ?

Johnny : Bien sûr, bien sûr, il n’y a pas de souci. De toute façon, j’aurai des nouvelles, on est lundi et j’aurai des nouvelles normalement mercredi encore, donc je verrai.

OK bon, bah c’est parfait. Comme ça tu nous diras quand est-ce qu’on vient te voir pour le quatrième quoi (Rire.)

Johnny : Ouais il n’y a pas de souci, on fera un petit boulot dessus. Franchement l’immeuble, il est bien et en plus je me suis déjà projeté, j’ai vu par rapport à la buanderie, j’ai vu que la cave était nickel, enfin nickel au top. Même je me demande si je ne peux pas l’aménager pour faire du Airbnb mais bon.

Arrête ton cinéma, tu 0:40:10*.

Johnny : Franchement bah tu verras, je t’inviterai et tu verras. Franchement à la cave, il y a des idées. Parce que je me dis qu’il y a possibilité de créer une buanderie et franchement un studio bien sûr avec un système de… alors pour tout ce qui est déjà… enfin j’y pense. Pour tout ce qui est sanitaire, bah pourquoi pas installer comme c’est en -1, donc comme en souterrain, donc pourquoi pas installer un système de Sanibroyeur, je ne sais pas, je vais voir.

Non mais de toute façon on en reparlera quand je viendrai te voir. Tu me montreras un petit peu comme c’est installé.

Johnny : OK. Il n’y a pas de souci Kendy.

Ça marche. En tout cas si tu as d’autres questions Johnny, n’hésite pas, tu écris dans la chatbox et puis je te redonnerai de la parole. Ça marche ?

Johnny : Non, non. De toute façon pour l’instant pour les logements que j’exploite déjà en Airbnb, j’apprends, je continue à apprendre. Il y a des choses sympas quand même et puis voilà. De toute façon, régulièrement je te pose des questions et tu es toujours là à l’instant T pour me répondre, c’est nickel.

Bon bah c’est parfait. On fait comme ça Johnny.

Johnny : OK, il n’y a pas de souci Kendy.

À tout à l’heure.

Johnny : Ouais, ouais ça marche.

Alright, OK. Alors du coup je vois qu’il y a une main levée. OK, Pascal. Pascal, je te donne la parole juste après Johan qui nous a fait un petit coucou. Attends Johan, je t'envoie le micro, Johan.

Johan : Salut, Kendy !

Yes Johan ! Comment tu vas ?

Johan : Bah, ça va et toi ?

Ça va nickel. Alors ça dit quoi là du coup ?

Johan : Ah c’est difficile de passer après Johnny là. Il met la barre haut là ! Quatre !

Kendy  (Rire.)

Johan : Non, il est très très *0:41:55*.

Il est chaud, le Johnny (Rire.)

Il est super, Johnny. Non il est super ce Johnny ! Il met la barre haute. Il m’en met plein les yeux celui-là. Donc plus sérieusement, alors on s’était quitté, tu sais, j’avais un rendez-vous aujourd’hui avec la notaire déjà pour rendre l’avenant au compromis. Parce que là aujourd’hui en fait si tu veux la technique, enfin ce que préfère faire le notaire, c’est que c’est moi qui signe le compromis mais du coup on ajoute un avenant à ce compromis pour rajouter, pour faire une demi-substitution où là on rajoute Madame en fait. Ça, c’est bon, c’est OK. Donc ça, c’est bon c’est fait. Et j’ai discuté aussi au niveau patrimoine du coup. Le mieux à faire c’est qu’on va se pacser. On va se pacser et donc comme ça si je décède enfin si l’un décède, l’autre reçoit sans devoir payer d’impôt, donc il reçoit directement les 50 % du bien sans payer d’impôt, donc ça, c’est nickel et en plus on va faire un testament. On va faire un testament pour dire voilà, juste sur ce bien, le testament dira que : « ma pacsée récupère les 50 % sans que ma famille puisse dire quoi que ce soit ». Ça concerne juste ce bien. Je ne vais pas déshériter complètement ma famille puisqu’il y en aura d’autres derrière. On va suivre les traces de Johnny, il y en aura d’autres. Mais sur ce bien, sur ce bien seul, vu qu’on est deux, je n'ai pas envie qu’elle soit embêtée, elle récupère tout sans que ma famille puisse dire quoi que ce soit. Elle ne sera pas embêtée là-dessus. Non mais c’est ça, c’est le testament.

Non mais c’est cool. OK, Johan.

Johan : Non mais c’est ça, c’est le testament. Donc ça, c’est réglé. Donc le PACS, on va faire ça. Il n’y a pas d’urgence, on n’est pas obligé de faire ça avant la vente, avant la signature mais bon on va faire ça au plus vite, on ne va pas le laisser trainer. Donc PACS *0:43:44* et testament. Donc ça, c’est la prochaine étape, j’ai déjà les documents, j’ai déjà demandé les papiers nécessaires, je m’en occupe. En fait ce que je compte faire, tu sais le PACS et le testament, ça peut être fait chez un notaire où je vais tout d’un coup préparer en amont et le jour même de l’acte authentique je vais signer le PACS, le testament et l’acte authentique.

Ah oui ! OK.

Johan : Bah, oui parce que le truc, c’est à deux heures de route, je vais tout préparer en amont et je signe tout le jour J, comme ça tout est réglé.

Ouais je vois, non mais tu as raison.

Johnny : Ça, c’est une chose. Et autre chose, je t'avais dit aussi à côté que j’allais voir l’artisan avec qui j’avais un bon feeling et sur lequel j’ai eu de bons retours, notamment de la part de l’agent. Mais comment dire ? Je te la fais très rapidement. Le Monsieur donc il a subi un accident il y a quelques mois de ça. Ça va, il a quelques problèmes de santé et il a été arrêté. Mais cet été, il a perdu son père. Et là aujourd’hui alors ce qu’il me dit c’est que sa mère avait des problèmes pour les démarches pour les obsèques du père, et donc il n’a pas pu faire les visites de chantier avec moi. Donc bon moi je peux comprendre, enfin c’est normal mais du coup ce que je vais faire c’est que je n’ai pas pu faire les visites de chantier. Donc là je vais revoir un deuxième que j’avais vu et en fait, c’est peut-être méchant de ma part, mais je vais faire jouer les deux. Je vais voir les deux, fixer une date et faire des visites de chantier pour les deux. Je n’étais parti que sur lui mais là…

Bah oui mais il ne s’agit pas d’être méchant ou pas. Là toi, tu dois faire ta propre affaire, mon gars donc non le mec… Et c’est pour ça que je te dis que même si aujourd’hui tu as un pote ou un copain ou un frère ou un cousin qui travaille dans ce milieu-là, si tu sens qu’il peut te mettre en difficulté, nexte. Je préfère même que tu ne parles pas de ça parce qu’il ne faut pas mélanger business et puis pote, parce que demain c’est celui qui te ramène le plus que tu dois voir.

Johan : C’est ça.

Moi, quand il s’agit de business moi c’est… tu vois déjà je ne mélange pas ces trucs-là mais moi c’est celui qui m’apporte le meilleur truc que j’irais voir.

Johnny : Ouais. D’accord.

Tu vois si tu en as d’autres que tu peux voir, tu les vois et puis tu avances. OK ?

Johan : Donc voilà je vais faire comme ça, et donc ça c’est pour une chose. Ensuite, tu sais je t'avais dit que voilà j’avais trouvé un banquier, on va dire, qu’il m’a fait une offre intéressante, j’attendais un retour de sa part aujourd’hui pour savoir la suite si c’était vraiment vraiment bon. Tu sais je me dis : « on n’est pas à l’abri d’une fausse joie », donc bon il ne m’a pas encore contacté aujourd’hui. Moi je le recontacte demain. Voilà je le laisse respirer un peu mais bon, il ne m’a pas rappelé donc je le recontacte demain pour lui dire : « est-ce que c’est bon ? Est-ce que tu confirmes ? ». Parce que bon, il ne s’agit pas de me faire une fausse joie et c’est quoi la suite quoi ? Quel document je dois envoyer ? Qu’est-ce qu’on fait ? Quand est-ce que c’est bon ? Comme ça derrière moi je peux fixer une date pour l’acte authentique.

OK. Non mais c’est parfait. Bah essaye de le relancer comme je le disais tout à l’heure à Laura bah tu vois, tu relances toujours gentiment : « bonjour, je vous appelle parce que... ouais, pour avoir des nouvelles ». Donc tu fais ça et puis tu avances.

Johan : Bien sûr, donc voilà. C’était un peu pour le rapport. Ça avance bien. Ça commence à se décanter. Et du coup à côté de ça j’avais une petite question-là, rien à avoir. Tu sais j’ai… on va dire j’ai avancé sur les démarches et tout et je me suis dit que je vais mettre ça de côté mais tu sais la taxe foncière sur ce bien, elle est à 5 064 € ! Elle est énorme !

Oui, là j’avoue.

Johan : Et tu sais sur Capital où c’était passé à la télévision, tu vois il n’y a pas longtemps, il y avait un moyen de contester la taxe foncière que tu payais, mais que c’était un peu la roulette russe, que ça pouvait augmenter, tu vois ce que je veux dire ? Que si tu joues à essayer de recalculer ça, tu peux payer encore plus. Est-ce que tu as déjà fait ça ?

Non, je n’ai jamais fait ça. En plus pendant que tu me dis ça ce matin, j’ai reçu un truc et je me dis : « putain, ils m’ont envoyé le document qui dit oui je dois payer », en gros c’était comme si j’étais en retard. Et je devais payer le *0:48:23*. Mais en fait le truc ils avaient déjà pris l’argent sur mon compte et je n’ai même pas fait gaffe. Mais du coup ce qu’il faut te dire, c’est que c’est des choses que tu vas pouvoir déduire. Donc ça il ne faut pas que tu te prennes trop la tête.

Johan : Ah bon ?

Mais non ! Ça, c’est des trucs que tu déduis. Donc tout ce qui va être taux, des frais d’intérêts, taxe foncière et tout ça, il ne faut pas que tu te prennes la tête avec ça mon gars. Tu vois c’est les trucs que tu vas juste donner à ton comptable. Et puis lui, il paie ça en impôt et tu *0:48:51* donc tu *0:48:53*.

Johan : Oh, putain ! Et mais ça me… Désolé.

En fait *0:48:57* si c’est ta résidence principale, oui ça pique tu vois, mais alors c’est sûr que ça pique parce que tu vas devoir sortir les fonds. Mais de toute façon, ça veut dire que tu ne vas pas avoir à donner à l’État quoi, donc tu t'en moques.

Johan : OK ! C’est bon ça ! C’est bon ! OK parce que tu sais 5 000 € ça me faisait… divisé par douze, ça me fait 400 € ! Je croyais que ça allait me diminuer mon casse-croûte de 400 € par mois ! Je pétais un plomb moi !

Ah non ! En fait *0:49:25*. Du moins c’est directement si, parce que tu vas quand même devoir sentir la tréso, tu vois. Soit tu le paies en une fois ou alors tu paies de façon mensuelle, mais ça va quand même t’impacter, mais après tu vas les récupérer, tes impôts que tu devais payer. C’est chiant mais ce n’est pas le truc le plus important.

Johan : Mais tant que je les récupère moi, je m’en fous. Tant que je peux déduire, je récupère, ça me va. OK.

C’est ça. Oui, ça, tu vas pouvoir le récupérer donc tu n’as pas d’inquiétude à te faire par rapport à ça. Par contre, c’est vrai que ça fait cher. Parce que moi on est à peu près pour 5 000 € mais pour tout je crois, pour tous mes biens, du coup tu vois que ça fait cher. Il y a combien de surface là-bas ?

Johan : Je suis à 270 m².

Ouais, c’est vrai qu’il y a de la surface quand même. Ouais, ça fait quand même un peu cher, mais je pense qu’il doit être bien situé aussi parce qu’en fait ça dépend de plusieurs choses la taxe foncière. Ça dépend de la taille du bien. Ça dépend aussi d'où il est situé par rapport à la ville. Parce que tu vois moi pour la même surface, j’ai un bien où je paie deux fois le prix. Genre je paie 2 000 € et quelques alors qu’en fait je suis juste à côté de la mairie, donc là ça douille. Et des fois c’est à la rue près, genre t’as une rue où là tu douilles et il y a une rue où c’est un peu plus calme. Mais bon, j'ai envie de te dire ne te prends pas la tête, c’est des trucs que tu vas pouvoir déduire, donc tant que tu peux générer ton cash, tu génères.

Il y a un autre sprinteur, c’était Johnny, je crois, qui me faisait rigoler parce que Johnny disait : « purée Kendy ! Je vais devoir payer des impôts ! » « Hey mon gars ! Oui tu vas payer des impôts ! Tu gagnes de l’argent ! », tu vois ? (Rire.) Après, c’est sûr, c’est des problèmes de riches mais à un moment on va devoir y passer. On ne peut pas gagner de l’argent indéfiniment, à part de faire des trucs illégaux, mais à un moment on devra passer à la caisse. Et même le fait aussi d’embaucher du monde, des fois ça te fait peur. Je te dis quand j’ai embauché mes premiers salariés, je me dis : « mais purée ! ». Tu vois, tu prends tout de l’autre côté à faire une fiche de paie et tout, et tu te dis : « oh purée, c’est chaud ! ». Mais à un moment comme dirait ma mère, tu dois accepter ta position mec. Tu es investisseur, tu es un mec qui fait de la thune, bah tu dois accepter ça. Tu ne peux pas… ouais ! Tu dois l’accepter. C’est tout, c’est comme ça. Et puis il faut te mettre déjà dans l’état d’esprit de « ouais mec c’est normal, je suis un nouvel investisseur, bah ouais je dois dépenser de l’argent dans ces trucs-là » et puis voilà. Donc t'inquiète mec, tu es investisseur, donc tu devras payer de la taxe foncière.

Moi ce matin, quand j’ai vu qu’ils avaient prélevé l’argent sur mon compte, j’étais content parce que je me suis dit : « ah, ouf ! Moi je ne vais pas le sortir encore ». Mais c’est des trucs que… en plus tu vois c’est ça qui est drôle parce que tu vois ils m’ont prélevé genre… je crois qu’ils m’ont prélevé 1 000 € ou un truc du genre pour un des biens et je n’avais même pas fait gaffe. Et c’est là que tu te dis : « ah ouais en fait, quand ils prélèvent le *0:52:55*.

Johan : Ouais 1 000 € et puis ça *0:52:55* ah ouais.

Tu ne l’as pas senti. Tu te dis : « ah ouais, ouais, bon en fait ça va quoi ». Mais c’est ça que je veux te dire c’est que tu dois juste mettre en place tes projets pour que ça crache des euros et que tu ne sois même pas perturbé par ça.

Johan : OK, très bien. Bah écoute, merci Kendy. C’était ma seule question et bah voilà c’était pour donner un peu l’avancement. Et puis jeudi, j’aurai sûrement des news à donner, pas trop de questions surtout voilà de l’avancement. Je m’avance doucement mais sûrement.

OK. Non mais ça marche. En tout cas si tu as d’autres questions, n’hésite pas et puis comme ça moi, je te redonne la parole quand même. Ça marche ?

Johan : OK, ça marche. Merci Kendy.

Je t’en prie. À tout à l’heure Johan !

Johan : À tout à l’heure !

Alright ! OK. Alors j’ai perdu du monde en route là. Il y avait notre ami Pascal, je crois que j’ai perdu Pascal. J’ai également perdu Thiago. Je ne sais pas s’ils vont revenir. OK. Alors, attends. Écoute, je vais te donner la parole *0:54:10*. Tu vas me dire un petit peu si tu as d’autres questions du coup, vu qu’on s’est vu récemment. Tu vas pouvoir me dire si tu as d’autres questions par rapport à ce qui s’est dit aujourd’hui. Alors je t’ai activé ton micro, il faut juste que tu cliques sur le bouton pour prendre la parole. Je ne sais pas si tu m’entends *0:54:30*. Tu as un bouton pour activer ton micro en haut à droite ou je ne sais pas, à droite, normalement à droite. Tu peux activer ton micro. Je ne sais si *0:54:47* n’est pas là. Ah, oui en fait quand les gens ne sont pas là, j’ai un triangle. OK. Donc il n’est pas *0:54:53*, OK. Là j’ai perdu pas mal de monde en route. Je ne sais pas si toi tu as d’autres questions, n’hésite pas à les poser et puis comme ça je te redonnerai la parole et si tu n’as pas de question, en gros je vais te laisser y aller. Je vais attendre un petit peu. Bon, je n’ai pas de question mais je tiens quand même à te faire un petit retour.

J’ai encore eu un courtier aujourd’hui et moi j’ai eu deux potes courtiers aujourd’hui qui m’ont contacté, qui m’ont fait des retours suivants. Alors il y en a qui m’ont dit de faire gaffe parce qu’aujourd’hui il y avait les banquiers, tu vois comme c’est la fin d’année il y en a qui ont déjà atteint leurs objectifs. Du coup, des fois c’est un peu plus tendu donc il faudra vraiment faire du volume pour essayer vraiment de trouver ton financement. Deuxième chose aussi qu’ils m’ont dit, c’est de vraiment faire gaffe à tout ce qui était commission d’intervention sur ton compte. Tu vois vraiment là aujourd’hui comme les banques ont déjà atteint leurs objectifs, ils sont vraiment très sélectifs. Ils n’ont pas le temps pour prendre des dossiers compliqués maintenant. Donc vraiment l’idée, c’est de se dire OK faire gaffe aux commissions d’intervention, essaye de ne pas avoir de trucs négatifs sur ton compte et puis comme ça ce sera nickel. Mais si tu as des trucs négatifs, ça peut te jouer des tours parce que là les banques, la majorité ils ont atteint leurs objectifs et du coup comme ils ne gagnent pas forcément beaucoup d’argent grâce au financement, ça peut nous jouer des tours. OK ? Voilà. Bon en tout cas j’espère que c’était bien pour toi aujourd’hui, on a bien pu avancer. Donc là maintenant ce qui te reste à faire, c’est avancer sur ton projet en termes de financement. Si tu as un financement, en termes de recherche en essayant de voir un maximum de biens toujours. Et puis si tu recherches du financement, bah pareil, essaye de voir un maximum de courtiers, un maximum d’artisans si tu recherches toujours à faire ton devis, et puis voilà quoi. OK ?

Nous, on se revoit normalement jeudi soir à 19h00 et puis comme ça on va pouvoir avancer. Allez, je te souhaite une bonne semaine et puis on se dit à jeudi et je te souhaite également une bonne soirée. Je te dis ciao ciao !

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