Octobre 2019 - 031019

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Kendy : Salut à toi, bienvenue à la session questions-réponses pour les sprinteurs et les sprinteuses. Aujourd’hui c’est Kendy POLESTIN, moi-même, qui va animer cette cession.

Donc, pour t’expliquer le principe, aujourd’hui, pour pouvoir participer, il suffit que tu poses ta question dans la chatbox, il suffit de noter ta question et que moi, je te donne déjà la parole, et puis ensuite, tu pourras effectivement, partager ton expérience et puis partager ta question, et moi je pourrai répondre pour que tout le monde puisse participer, OK ?

Alors, est-ce que tu peux me dire si tu m’entends bien dans la chatbox, tu as une chatbox qui est à ta disposition dans laquelle tu peux me dire si tu m’entends bien.

Écoute, on va pouvoir démarrer tout de suite, je vais donner la parole à une sprinteuse, bon, honneur aux dames, messieurs.

Alors, Laura, je vais te donner la parole, tu vas pouvoir me dire un petit peu où tu en es sur ton projet.

Coucou.

Laura : Salut à tous, salut Kendy.

Kendy : Comment vas-tu Laura ?

Laura : Ça va, fraîchement, et toi ?

Kendy : Bah, ça va nickel. Alors, je ne sais pas si ça passe bien, parce que je suis à l’hôtel, je ne sais pas si la connexion est tip-top.

Laura : Moi, je t’entends, je ne sais pas pour les autres.

Kendy : Bon, bah, c’est parfait si tu m’entends bien.

Laura : En tout cas, moi je t’entends, alors peut-être ouais peut-être checker dans la chat-box, si jamais certains n’entendent pas, peut-être qu’ils le diront, je ne sais pas mais en tout cas, pour moi, c’est bon.

Où est-ce que j’en suis ? Bah, pas plus avancée que la semaine dernière (Rire.)

Kendy : Alors tu devais normalement contacter le notaire, je crois. Je sais plus si tu n’attendais que mon retour, mais il y avait un truc qu’on devait faire, je crois ?

Laura : En fait, là, le notaire du vendeur qui a envoyé la semaine dernière les documents à mon notaire.

Ah oui, en début de semaine, pardon. Et puis après, voilà, je ne sais pas si mon notaire a reçu, j’ai prévu de l’appeler demain pour savoir, oui, juste venir aux nouvelles. Voilà, je sais que vous êtes sensé recevoir les documents, est-ce que ça a été reçu ? est-ce que tout est OK, tout va bien ? Là il faut juste que je vienne aux nouvelles.

Et puis sinon, samedi comme je t’ai dit, je vais revoir le bien avec les artisans, donc j’ai fait mes rendez-vous à 14 h, à 15 h et à 16 h, il y en a un que j’essaie de placer à 13 heures, comme ça, ça me fait quatre. En fait, je demande au mec, tu sais une maison des travaux, de repasser cette fois-ci pour qu’on puisse vraiment discuter de ce qu’il va pouvoir faire concrètement. Enfin, pouvoir faire demander à faire, voilà, qu’il me ponde un peu des devis. Et puis comme ça, je vais pouvoir faire une comparaison.

Et puis à côté de ça, mon dossier de financement que je boucle, j’attends juste de recevoir deux documents, tu sais, mon bulletin de salaire, etc. parce qu’étant donné que là, on est en début de mois octobre, c’est un nouveau mois, il vaut mieux que je donne octobre-septembre-août plutôt que septembre-août et juillet. Je donne les derniers et puis après c’est tout, c’est bon. Bon là, je suis en attente, il n’y a pas grand-chose. J’aimerai qu’il y ait plus, mais pour l’instant, non.

Kendy : Bon, bah, c’est parfait.

En tout cas, déjà, si tu as pu faire organiser tes visites, c’est cool.

Ah oui, tu me poses la question, tu t’organisais comment du coup avec l’agent immobilier pour ne pas avoir l’après-midi ?

Laure : Du coup, je lui ai dit : « est-ce que c’est possible que je passe l’après-midi avec les artisans ? » Elle ne m’a pas proposé spontanément, je lui ai dit : « alors après, je ne sais pas si vous fonctionnez comme ça, mais certains agents, il y a ceux qui fonctionnent comme ça où ils laissent les clefs ». Alors, j’ai dit : « deux solutions soit vous me laissez les clefs ou sinon vous m’ouvrez à partir de telle heure, et puis moi je vous attends pour la fermeture ».

Kendy : Ouais et elle t’a dit OK.

Laure : Elle m’a dit donc qu’elle va essayer de se libérer et si jamais elle a un imprévu, ouais, elle me laissera les clefs. Je me suis dit : « bah, OK ».

Kendy : Non, mais c’est parfait. En tout cas, au moins, tu peux organiser tes… Et puis comme ça, on va avancer sur ton dossier quoi. Non, c’est très bien.

Laure : Ouais exact. Bon bah plus qu’à attendre. Normalement, lundi, j’aurai peut-être un peu plus de news.

Kendy : Non mais ça marche. En tout cas, lundi, tu me diras un peu où tu en es quoi. En fait, tu auras vu les mecs le samedi, du coup.

Laure : Ouais, c’est ça, donc il y aura plus de matières.

Kendy : Non, mais ça marche. Bon, en tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonne la parole.

Laure : OK, merci Kendy.

Kendy : À tout à l’heure ouais.

Laure : À toute.

Kendy : Alors, je vois qu’il y a notre ami Matthieu. Matthieu, ça fait un moment que je ne t’ai pas vu, toi. Attends, je vais te donner la parole, Matthieu. Salut, Matthieu, comment vas-tu ?

Matthieu : Bah, ça va très bien, c’est top.

Kendy : Alors, là, je ne t’entends pas très bien moi, par contre.

Alors, Matthieu, on ne t’entend pas bien, Matthieu. Alors, je crois que ce n’est pas que moi, en fait, je pensais que ce n’était que moi mais on ne t’entend pas bien. Tu m’entends, toi ?

Alors, est-ce que tu peux te déconnecter et te reconnecter, Matthieu, histoire de voir si ce n’est pas de ton côté, puisque moi je ne t’entends pas du tout là maintenant, en plus.

Alors, Laura qui dit : « je t’entends en tout cas ». Ah oui, bah effectivement il s’est déconnecté, je pense qu’il va se reconnecter.

En entendant que Matthieu revienne, je vais donner la parole à notre ami Johan. Johan, il est là, il ne lâche rien, mon gars, c’est ça. Salut Johan.

Johan : Salut Kendy.

Kendy : Comment vas-tu ?

Johan : Ouais, on ne lâche rien, on essaie. Donc là, aujourd’hui, pas forcément beaucoup plus de nouvelles que la dernière fois. J’ai eu un retour après d’une autre banque qui ne souhaite pas forcément me suivre. J’ai un peu épuisé la liste que j’avais faite, du coup, il faut que j’en refasse une nouvelle avec d’autres banques que je n’ai pas encore contactées, toujours sur Nevers, toujours en contact avec les directeurs de banque, gestionnaires de patrimoine.

Après, là où j’ai plus de nouvelles, je t’avais dit, j’étais sur deux axes. Donc l’axe un point on va dire là, je passe des entretiens, je touche du bois, mais on va dire, ça avance pas mal. On va dire que j’ai peut-être un CDI, voilà. Après je me dis, le prochain problème, ce sera peut-être la période d’essai, mais au moins, ce sera toujours *bon casse-cou*, je pense, que l’intérim. Je me dis : « bon, ça va changer en peu de temps ».

Kendy : C’est sûr que l’intérim, ça peut passer, mais c’est vrai que les banques sont frileuses, vraiment quand il n’y a pas d’historique. Un peu, les banques considèrent l’intérim un peu comme quelqu’un qui est entrepreneur, je ne sais pas, ou même en profession libérale et quand il y a moins de trois ans, c’est tendu pour les banques. Il faut vraiment avoir ce recul ou en tout cas un peu d’historiques pour que ce soit…

Mais bon, le truc qui se passe qu’en même temps, plus tu avances, plus toi tu te rapproches de la condition qu’il faut. Mais bon, après il faut que tu avances sur les deux axes, et il ne faut pas que tu lâches. De toute façon, si tu peux avoir le CDI, tu pourras toujours dire : « vous voyez, je me suis mis justement en CDI pour ce projet-là ». Après, il faudra penser avec des pincettes quand même parce que il y en a qui vont dire : « oui, mais ça veut dire que tu n’es pas super stable si tu peux basculer rapidement, tu *0:09:11* en t’écoutant, à dire : « mais non, c’est justement parce que je veux de la stabilité que je m’établis de cette façon ».

Johan : C’est ça, t’as tout compris, c’est comme ça que je vais le vendre un peu. Je continue à essayer comme ça, je sens que le CDI n’est pas loin mais bon, je touche du bois. Et puis quitte à refaire une passe avec ceux que j’avais déjà contactés, donc ça fait un bon paquet de mondes, pour dire : « écoutez, c’est bon, j’ai un CDI, bon OK, période d’essai. Mais vous imaginez bien qu’avec un tel projet, je ne vais pas aller faire le con et perdre le CDI quoi » (Rire.)

Kendy : C’est ça. Non, mais franchement, c’est plaisant, mec. Franchement, moi, j’ai hâte qu’on finisse ton projet parce que ce sera une belle histoire ça, franchement. Et je sais qu’elle sera belle. On ne va rien lâcher, t’inquiètes mon gars, on ne lâche rien, on continue.

Johan : C’est ce que je me dis, l’histoire va être belle, si je passe ça là, ah non, là, c’est champion ++, c’est sprinteur, tu m’appelles Bold.

Kendy : C’est ça. Non, franchement, c’est très bien. De toute façon, il faut que tu continues d’avancer comme tu as dit là, et puis c’est cool quoi. OK ?

Johan : Yes.

Donc voilà, pas beaucoup de news, enfin, si, voilà un peu de news, mais on bosse, on fait du volume.

Kendy : On continue comme ça, on ne lâche rien Johan. Et si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonne la parole alors.

Johan : Yes, merci Kendy.

Kendy : À tout à l’heure Johan. All right.

Matthieu qui me dit « I’m back ». Yes, Matthieu, je vais te redonner la parole. Allo, Matthieu.

Matthieu : Voilà, ma connexion internet a sauté, c’est bon, c’est revenu. Non, non, ça venait de moi, ouais.

Kendy : Ouais, OK. Parfait. Alors, du coup, on en est où Matthieu, parce que je ne t’ai pas vu cette semaine, toi. Qu’est-ce que ça a donné ? T’en es où ?

Matthieu : Alors, donc j’ai fait une offre hier.

Kendy : Ah, c’est bon, ça.

Matthieu : Donc en fait, ce qui s’est passé, c’est que j’ai vu un bien intéressant vendredi dernier. Une maison facilement divisible, 180 m², possibilité de 8 ou 9 appartements. Elle était à 147 000 €. Et je me suis dit : « voilà, ça, c’est intéressant, il ne faut pas le laisser passer ». Donc j’ai fait une offre hier, j’ai appelé le gars, et je lui ai fait une offre à 105 500 € alors que le bien venait d’être descendu de 180 à 140 000 € quoi.

Kendy : Et alors, il t’a dit quoi ?

Matthieu : Ah bah, il a failli mourir sur place quand je lui ai dit le prix (Rire.)

Kendy : J’imagine. Non mais, franchement, je te dis il ne faut pas avoir de culot, il faut juste bien présenter le truc parce que tu vois quand même Laura qui est là ce soir, elle a fait une super offre aussi et tu vois, c’est passé. Donc il ne faut surtout pas avoir de culot, il faut vraiment rester sur tes calculs, si tes calculs te disent que c’est ça que tu dois faire, tu suis tes calculs, mon gars, et puis voilà, quoi.

Matthieu : En fait, les calculs sont à 114, je me dis que pour arriver à 114, il faut que je démarre un peu plus bas.

Kendy : C’est ça, c’est exactement ce qu’il faut faire. Donc, c’est bon. Et du coup, tu as fait l’offre aujourd’hui, donc là normalement, tu devrais avoir un retour peut-être d’ici semaine prochaine, quoi, je pense.

Matthieu : Ouais, alors ce qu’il m’a expliqué, c’est une succession et ils sont trois, donc il m’a dit : « bon, je ne pourrai pas vous rappeler demain, il faut que je joigne les trois ». Il faut qu’ils s’appellent, etc. Il m’a dit que normalement début de semaine prochaine, il devrait avoir des nouvelles.

Mais bon, il m’a fait le coup « ah ouais, j’ai peur qu’ils trouvent que vous manquez de respect et tout ça ». J’ai dit « bah écoutez… ».

Kendy : Ouais bon, ça, c’est le refrain habituel, mais de toute façon, maintenant, tu connais, donc ça ne te fait plus…

Matthieu : Ouais ça, je n’ai pas été surpris, je n’ai pas été surpris qu’il me dise ça, voilà. Après, les vendeurs, eux, ils ne sont pas commodes d’après ce qu’il m’a dit. L’agent immobilier me dit qu’il ne s’entendait pas très bien avec eux. Et puis il me dit : « et puis en plus, vous savez, ils sont pressés de vendre ». J’ai dit : « bah écoutez, ça tombe bien ».

Kendy : Bah ouais, c’est ça. En plus, je pense que ça peut passer. Comme ils sont trois, bah tu vois, le choc, la charge entre guillemets est supportée par le trois quoi, tu vois ? À part s’il y en a un qui veut casser les pieds et dire : « non, moi, je ne veux pas, je veux plus, je veux plus ». Mais comme c’est une succession, le mec, c’est du pain béni. Genre, ce n’est pas comme s’il avait bossé pour obtenir ça, genre on lui dit : « c’est bon, quoi, tu ne veux pas casser les pieds pour un truc que t’as pas bossé. Genre c’est un cadeau qu’on t’offre limite. Donc, je pense que ça peut passer.

Surtout, il ne faut pas que tu tombes dans le piège aussi où on te dit : « ouais, essaie de remonter un peu plus ». Si tu augmentes, si tu fais une contre-offre, il faut vraiment que tu ne dépasses pas ton budget, de ce que tu t’es dit. Mais moi, je pense que comme c’est une succession, ça peut éventuellement passer. Le truc qui peut faire des fois que ça ne passe pas, pour une succession, c’est quand il y a un des membres, là, qui est sous tutelle ou un truc du genre, et que le tuteur estime que ce n’est pas dans l’avantage de celui qui est sous tutelle. Donc du coup, là, ça peut retarder le truc.

Je ne sais plus si c’était Laure qui avait eu ce cas-là, où ça avait retardé un peu la vente. Mais sinon, ça passe, quoi.

Johan : Donc, ça, c’est pour ce bien-là. Pour le bien, tu sais, j’ai fait passer la maison des travaux en début de semaine dernière. Je vais avoir l’estimation demain, donc je ferai une autre offre demain sur ce bien-là.

Kendy : OK, je vois. Donc là, tu as trois offres alors qui sont en cours, du coup.

Johan : Et demain, je vais faire estimer, tu sais, le bien de 300 m², là.

Et je vais te poser une question, du coup. L’agent immobilier m’a dit que le proprio voulait une vente acte en main, qu’est-ce que t’en penses ?

Kendy : Bah, pour moi, ce n’est pas problématique. Si lui, même en plus, il veut le vendre comme ça, pour moi, ce n’est pas problématique, au contraire.

Il y a beaucoup de personnes qui parlent d’acte en main, histoire de ne pas payer de frais de notaire et tout, moi je dis, des fois, effectivement, c’est intéressant, mais des fois, ça peut soulever des soupçons, quoi. Comme c’est un gros projet, bon, on peut se dire : « OK, on comprend pourquoi tu fais ça », mais quand ce sont des petits projets et que tu essaies de dire : « oui, tu fais acte en main », on se dit : « mais pourquoi tu fais un truc compliqué alors que tu peux faire simple, quoi ». Du coup, ça va éveiller les soupçons, les mecs, des fois, ils ne comprennent pas ce que tu veux faire. Mais s’ils comprennent et tout, moi, je te dis : « ouais, pourquoi pas ». Et en plus, comme ça, toi tu pourras présenter le projet sans frais de notaire, entre guillemets « pas de frais de notaire avancé quoi ». Ça peut être intéressant.

Johan : Et du coup, quel est l’intérêt du vendeur, parce que c’est le vendeur qui le demande du coup, là ?

Kendy : Bah, franchement, je ne sais même pas pourquoi il le demande, parce que normalement, tout l’intérêt, il est pour toi. Au contraire, l’acte en main, c’est moins intéressant pour le vendeur. Alors il faudrait essayer de réfléchir pourquoi il a demandé ça, parce que maintenant que tu dis ça, c’est vrai que je ne comprends même pas pourquoi ce soit lui qui ai demandé ça. J’essaie de comprendre c’est quoi son intérêt.

Johan : Alors, l’agent immobilier, il m’a dit que en fait, ce bien de 300 m² là, c’est deux immeubles de 300 m², qui sont reliés à l’intérieur, et il va devoir murer le truc. Et il dit qu’il en a pour 30 000 € de travaux, et du coup, il a demandé un acte en main. Voilà ce que m’a expliqué l’agent immobilier.

Kendy : Alors, va-s-y, reprends la phrase.

Johan : C’est deux immeubles de 300 m² qui sont reliés. Donc il vend les deux séparément et il est obligé de murer en fait les immeubles pour les séparer. Il est obligé de refaire le cadastre et tout ça parce que c’est un lot pour le transformer en deux lots. L’agent immobilier m’a dit : « du coup, le vendeur demande acte en main », voilà, les seules infos que j’ai.

Kendy : Cette raison-là, pour moi, elle n’est pas valable, non. Parce que s’il veut séparer, il sera obligé effectivement, de faire passer le géomètre pour pouvoir retracer le cadastre et tout. Ça, c’est vrai, mais du coup, le fait de faire un acte en main. Alors, que je comprenne bien, ce sera un lot qui sera vendu ou c’est deux lots qui seront vendus ?

Johan : Non, c’est un seul lot qui va être divisé en deux lots, et il vend les deux lots séparément. Et moi je suis sur un des deux lots qui fait 300 m², mais le bien en tout, fait 600 m².

Kendy : Et lui, il va vendre un seul des deux biens ? Un seul des deux lots ?

Johan : Non non, il essaie de vendre les deux.

Kendy Donc toi, tu vas acheter les 600 m² du coup ?

Johan : Non, non, je vais acheter une des deux séparations, quoi.

Kendy : Franchement, je pense que lui-même, il ne sait pas ce qu’il fait parce que de toute façon, s’il veut vendre les deux lots séparément, il est obligé de séparer correctement au niveau du cadastre.

Parce que quand ton notaire va te poser la question, est-ce que c’est bien séparé, limite, toi-même, tu seras obligé de dire que c’est fait ou ce n’est pas fait. Lui-même, il fait ça, mais je pense, qu’en tout cas, pas pour les bonnes raisons quoi.

Johan : Bah, en tout cas, ce qui se passe c’est qu’il n’arrive pas à vendre son 600 m² et depuis qu’il a mis des annonces pour 2 fois 300 m², il a plus de visites, d’après ce que j’ai compris.

Kendy : Bah après, c’est sûr que bon il y a plus de personnes qui peuvent acheter un 300 m², que de personnes qui peuvent acheter un 600 m², en plus en fonction de l’endroit. Si c’est à Paris, t’as des mecs qui sont « chauds » et qui peuvent te sortir ce budget-là. Mais il va pouvoir vendre par exemple plus de petits studios et tout facilement que s’il voulait vendre le tout à une seule personne ?

Johan : Ah oui, je comprends.

Kendy : Mais pour pouvoir vendre séparément et tout, il y a des démarches à faire, tu ne peux pas vendre séparément. Si c’est un seul lot et qu’il essaie de vendre deux lots, il est obligé de faire la séparation et en plus, il est obligé de faire passer le géomètre et tout. L’histoire de murer machin, etc., ça, c’est du flan. Je pense que lui-même, il ne sait pas pourquoi il fait ça.

Johan : Bah, en tout cas, c’est ce que m’a dit l’agent immobilier, il va faire passer...

Kendy : Ouais, mais même l’agent immobilier, je t’ai dit, l’histoire d’acte en main, les mecs, ce n’est pas un truc qu’ils maîtrisent forcément ? Pour moi, je ne vois même pas, je ne comprends pas l’intérêt qu’il a, parce que l’acte en main, c’est simplement…

De toute façon, le montant restera le même. Ce n’est pas comme si parce que tu fais acte en main que c’est moins cher, c’est exactement la même chose, c’est simplement au niveau du dossier. Ah ! Attends si, là, il a un petit contact avec son notaire. Avec son notaire, ils ont un truc peut-être ? C’est le seul truc que je peux voir, genre avec son notaire ils peuvent s’arranger pour passer des frais en moins, et même ça. Parce que je pense qu’il serait con de vouloir essayer de faire un truc un peu genre sous la table puisque, toi t’auras ton propre notaire ? Donc ce n’est même pas comme s’ils allaient pouvoir…

Franchement, je ne sais pas, je ne vois pas trop c’est quoi son intérêt. Mais en tout cas, s’il se dit que c’est pour ne pas avoir à payer les frais pour la séparation, il se met le doigt dans l’œil.

Johan : Ah ouais, bah, écoute, je ne sais pas. Voilà. Et tu sais quoi, je vais demander à l’agent immobilier demain, je vais lui demander pourquoi il préfère acte en main et puis, on verra ce qu’il dit.

Kendy : Ouais, pose-lui la question, et puis dis-lui : « mais je ne comprends pas s’il veut vendre deux lots, au niveau du cadastre, il ne peut pas genre vendre ça à part s’il vend une copropriété ? Donc là, s’il vend ça en copropriété, c’est une autre histoire. Et même s’il veut faire une copro, il sera obligé de faire passer le géomètre pour dire : « bah là, ce lot-là, c’est tant de tantièmes, ce lot-là c’est tant de tantièmes », il ne peut pas juste faire ça comme ça à la va-vite, quoi.

Johan : Non, mais il va faire passer un géomètre, j’en suis sûr, l’agent immobilier me l’a dit en tout cas.

Kendy : De toute façon, du coup, qu’il fasse passer un géomètre, il va toujours payer, quoi.

Johan : J’aurai plus de renseignements demain de toute façon.

Kendy : Franchement, je te dis, on va éviter de faire des plans sous la couette, pose la question clairement, mais pour moi, je pense que le mec, soit il ne sait pas pourquoi il fait ça, soit il le sait et c’est un peu chelou. Et puis même, tu pourras en parler aussi avec ton notaire que tu ne comprends pas, parce que c’est peut-être un truc que lui, il va pouvoir te dire, ça va peut-être lui mettre un peu la puce à l’oreille. Mais pour moi, en tout cas, les raisons qu’il donne là, ce n’est pas un truc que je comprends ?

Johan : Bon, bah, écoute, je lui demanderai et puis voilà, après, l’agent immobilier m’a dit : « ouais, comme il y en a pour 30 000 € pour séparer les deux immeubles, du coup la négociation, ça va être difficile », je vais lui dire : « bah écoute, tu vas me faire pleurer quoi, arrêtes » (Rire.)

Kendy : Ouais. Non mais franchement, je n’arrive pas à comprendre c’est quoi son délire, le mec, je ne sais pas. Parce que tu vois, il y a des mecs qui vont de dire : « écoute »… Bon, je ne pense pas que vous aurez ça mais, moi, il y a des mecs qui m’ont déjà fait des trucs du genre : « bon, écoute mec, tu me files genre 100 sous la table et nous, on présente le projet, au lieu de payer genre 200 000 chez le notaire, bah tu me donne 100 000 et puis nous on présente 70 000 » ?

Et c’est pour ça que quand tu vas chez le notaire, il te demande clairement : « est-ce-que c’est bien le prix qui a été défini » ? Parce qu’il y a des gens qui peuvent te dire : « bah écoute, j’ai un peu de cash, je te file le reste en cash et puis on y va ? » Et puis ça évite de payer des frais de notaire dessus. Mais le notaire, il n’est pas con, il connaît les prix des surfaces. Donc si tu lui présentes un truc qui fait 300 m² et que le prix au mètre carré sur ton secteur c’est, je ne sais pas, allez, disons que c’est 1 000 €, et que tu dis : « bon bah là, le mec, il va vendre ça pour 200 € du mètre carré », il te dit : « me prends pas pour un con ».

En tout cas, ils vont venir te contrôler, il va tirer la sonnette. Il dira : « là, il y a un truc chelou », 300 m² pour 20 000 €, c’est un truc chelou. Ou même 30 000 € ou 50 000 €, il va voir que c’est louche. Donc c’est le seul truc que j’aurai pu comprendre et même ça, ce n’est pas un cas de figure, du coup, je ne sais pas.

Donc, pose la question et puis du coup, tu me diras un peu lundi ce qu’il t’a…

Johan : Ouais je te dirai lundi ce qu’il en est du coup, OK.

Kendy : Non mais ça marche.

Je ne sais pas si t’avais d’autres questions Matthieu ?

Johan : Non, c’est bon, parfait.

Kendy : En tout cas, essaie de voir ça demain et puis on en reparle lundi à la prochaine session, quoi ? Ça marche ?

Johan : Ça marche, Kendy.

Kendy : On fait ça, OK. Alright.

Du coup, ce que je vais faire, je vais donner la parole à notre ami Jimmy. Yes Jimmy !

Jimmy : Ouais, bonsoir l’équipe, ça va les sprinteurs ?

Kendy : Ça va nickel, et toi-même ?

Jimmy : Ouais, ça va, tranquille. *Alors j’ai eu mon premier truc en cours là*, j’ai entendu Matthieu rapidement, mais je viens de me connecter là. Alors moi de mon côté, si tu veux, j’ai là deux rendez-vous pour ce week-end.

J’ai fait quelques recherches et les deux derniers jours, je ne me suis pas trop mis dedans. J’ai quand même eu le temps d’aller voir un courtier rapidement par rapport aux deux biens que je vais aller voir ce qui pouvait se faire et est-ce qu’éventuellement il y a des moyens pour me suivre. Du coup, j’ai parlé un peu de travaux parce que le montant approximatif des travaux que j’ai eus, en parlant avec les agents, ça s’élève à quasiment 80 % du prix du bien.

Et du coup, donc j’ai parlé avec le courtier, il m’a dit que sur son enveloppe de banque, il en aurait peut-être trois qui seraient prêts à suivre. Mais trois, ce n’est pas beaucoup par rapport à tous les contacts qu’il a, mais qu’en gros, dès qu’il y a beaucoup de travaux comme ça, c’est difficile d’avoir les banques qui suivent comme seul projet quoi.

Kendy : Ouais, après, c’est sûr que les projets qu’on va lancer ne sont pas forcément simples, donc ça, on le comprend. Mais bon, ça ne veut pas dire que ce n’est pas possible. Prenez l’exemple de Stevens, alors c’est sûr il a galéré, le pauvre, il a galéré comme un malade. Mais il a quand même fini par financer son projet, son bien coûtait 50 000, il en a eu pour près de 100 000 € de travaux.

Jimmy : Ah ouais. Moi, je parle de 80 %, ah ouais, lui, c’est 150 voire près de 200.

Kendy : Tu vois ce que je veux dire ? 200 % même, parce que c’est deux fois le prix du bien, c’est ça.

Il faut se dire que c’est possible, ce n’est pas simple, mais c’est possible.

Encore tout à l’heure, j’étais en contact avec un courtier, il me disait : « ouais, il y a des dossiers qui sont un peu plus complexes et tout ». Justement, je te filerai son contact, tu pourras l’appeler pour voir un peu au niveau de ton dossier. T’es en région parisienne ou pas ? Je ne sais plus.

Jimmy : Ouais, carrément.

Kendy : OK, parce que lui, il ne travaille qu’avec des personnes en région parisienne. Du coup, on verra son contact et puis comme ça tu pourras voir un peu. Mais franchement, je te dis, tant que ton projet est viable, c’est-à-dire que t’as fait tes calculs et que tu es dans ton code 127, je te dis on y va, quoi. Mais il faut juste que tu respectes tes chiffres, si tes chiffres sont bons, moi je te dis : « on y va ».

Jimmy : Let’s go. Ouais. Et du coup là, en parlant avec le courtier, parce que il m’a dit : « est-ce que t’as déjà vu quelque chose avec ta banque » ? Je lui ai dit : « je les ai appelés, ils sont censés me rappeler ». Il me dit : « mais stoppe tout là parce que sinon tu vas me fermer les portes ».

Kendy : Ouais. En fait, c’est vrai qu’on n’avait pas encore vu ça avec vous. Alors ceux qui ont suivi les autres sessions ont peut-être déjà été en contact, du moins, ont déjà entendu ce que je vais dire. Mais en gros, les courtiers, comment ils fonctionnent. C’est-à-dire que quand tu fais appel à un courtier, lui, il va voir une banque. Et en fait lui, son job c’est d’apporter une affaire à la banque. Donc la banque va le rémunérer parce qu’il a apporté un nouveau client à la banque. Mais si, par exemple, il va apporter une affaire et que la banque lui dit : « ouais, mais le mec que tu veux me présenter là, je le connais déjà », donc tu ne sers plus à rien quoi.

Jimmy : Mais il m’a expliqué ça.

Jimmy : Bah il dit enfin, la banque, comment elle va réagir avec zéro courtier, pourquoi je vais payer alors que le gars vient de lui-même gratuitement.

Kendy : Exactement, c’est ça. Mais après, si tu es déjà avec ta banque, c’est tout, ce n’est pas grave. Mais s’il ne t’a pas encore vu, effectivement, tu peux le laisser voir avec eux parce que lui, il va pouvoir te négocier des taux beaucoup plus intéressants et des conditions plus intéressantes que si t’y vas tout seul. Bon, ça, ce sont des cas de figure. Après, des fois, ce n’est pas tout le temps vrai ce que je suis en train de dire, comme je dis, ce n’est pas une science exacte. Mais des fois, tu peux avoir ton banquier mais parce que tu étais passé par le courtier, il te fait des meilleures conditions.

Le truc que tu dois te dire c’est que toi, ce que tu veux, c’est avoir ton financement. Donc après, il faudra absolument que tu multiplies tes contacts, essaie de ne pas avoir les courtiers dans la même ville. Peut-être dans la même ville, mais essaie de voir en gros s’ils ne travaillent pas avec les mêmes banques parce que si ton courtier va voir la banque, une première banque, on lui dit : « ouais, mais je connais déjà ce client-là ». Il va voir une deuxième banque, on lui dit : « mais on le connait déjà ce lient-là », il va dire : « mais arrêtez, mon gars, tu te fous de ma gueule ou quoi ? Tu me dis que je suis tout seul et puis je vois que ton dossier, il est partout ».

Jimmy : Il faut dire qu’on n’a vu qu’un seul courtier (Rire.) Si tu lui dis que j’ai déjà vu un, bah il veut pas travailler avec toi.

Kendy : Il ne faut pas mentir en disant : « ouais, je n’ai vu qu’un seul courtier », mais tu ne vas pas lui dire : « ouais, mais mec, je vais voir plusieurs courtiers ». Mais ton but, *tu t’exposes* *0:31:18* au moins deux-trois et que tu sais que s’il y en a un qui n’a pas réussi à financer, il va trouver. Parce que de toute façon, le courtier ne peut pas être en contact avec toutes les banques. Les gens pensent qu’il n’y a qu’un seul Crédit Agricole, non, en fait, tu peux avoir des décisions qui vont se prendre en région, après tu vas avoir des décisions qui vont se prendre en ville, et même en département. Et même dans le département des fois, dans la même ville, tu peux avoir deux agences qui sont complètement indépendantes. Dans des grosses villes, tu peux avoir genre le Crédit Agricole de la rue *Frébot* et le Crédit Agricole de la « Passe d’armes », elles prennent des décisions en interne, à un certain niveau quand même, mais elles ne communiquent pas.

Donc, du coup, peut-être que ton courtier, il a un pote au Crédit Agricole de la rue *Frébot*, mais il n’a pas de contact dans l’autre Crédit Agricole. Ou alors, peut-être qu’il a un contact mais ce n’est pas son pote, tandis que quand c’est son pote, il va entre guillemets opérer avec lui le plus souvent. Il faut se dire que le courtier, son but c’est de faire du business le plus facilement possible donc, lui, il doit avoir 20 % de ses contacts qui vont traiter 80 % de ses dossiers. Il ne faut juste pas que les courtiers, que tu vas contacter, aient les mêmes contacts parce que sinon, ils ne vont pas être contents.

Jimmy : Par rapport à mon projet, toujours comme j’ai présenté deux cas, il m’a dit qu’il aurait quelques banques. Et j’ai parlé aussi du différé, donc total il m’a dit : « ouais, à mon avis, il ne faut pas trop rêver ». Par contre pour du partiel, alors déjà, il m’a parlé de six mois, je lui ai dit : « non, il faut voir 24 ». Il m’a dit : « bon, peut-être un an je vais trouver, mais par contre, si j’arrive à te trouver un an, je vais pas… »

(Interruption.)

Allo ?

Kendy : Ouais.

Jimmy : Et du coup, il me disait que par contre, il faudrait voir plus sur 15 ans, parce que 25 ans et du différé, ça va être compliqué.

Kendy : Non, 25 ans, c’est sûr que c’est chaud. 25 ans, en général, c’est plus genre résidence principale et tout. Parce qu’il faut se dire que 25 ans, en plus avec du différé, gentil, tu mets du 25 ans avec du 36 mois différés, mec, t’en a presque pour 30 ans, là c’est chaud.

Ce qu’on va plus facilement pouvoir choper, c’est du 20 ans avec du différé.
En fait, c’est comme si t’as du 25 en déguisé. Bah t’as 30 ans et puis tu prends peut-être 24 mois-36 mois de différé, et puis tu auras peut-être du 23 ans, au total.

Jimmy : Mais il m’a dit qu’un an c’est déjà beaucoup.

Kendy : Franchement, un an, c’est bien, ce n’est pas beaucoup, c’est bien, c’est correct. Mais il faut vraiment essayer d’aller choper le maximum possible. Je ne sais pas, regarde déjà, même dans le groupe là, on a des 36 mois, des 24 mois. En fonction des banques, comme du gendre CASDEN et tout ça, bon là eux, c’est plus chaud d’avoir du gros différé avec eux, mais ils financent plus facilement. Donc des fois c’est un bien pour un mal, mais en gros l’idéal, pour toi c’est d’avoir au minimum un an de différé, et au minimum 20 ans.

Jimmy : 20 ans ? Ouais parce qu’il me parlait de 15 ans, il m’a dit : « t’auras du différé plus facilement si tu tapes sur 15 ans ». Et 15 ans, je trouve ça raide là.

Kendy : Ouais, c’est chaud. En termes de mensualité, tu vas vite *bouillir*, non il faut avoir du 20 ans, essaie d’avoir le différé max possible.

Mais écoute, de toute façon, ça, c’est un courtier que t’as vu, essaie d’en voir d’autres, je t’enverrai un contact là si tu veux. Je t’enverrai aussi à toit Laura, parce que j’ai vu ton message, je vous l’enverrai à tous les deux et puis comme ça, vous contacterez. Je t’enverrai celui de Monsieur Geoffroi et puis il y en a même qui a * 0:35:53*. Il faut vraiment que tu multiplies tes chances.

Jimmy : D’accord, OK. Et pour revenir sur ce que disait Matthieu, comme j’étais en cours, j’ai cru comprendre qu’il voyait pour financer plusieurs biens en même temps ?

Kendy : Non, en fait le vendeur veut vendre un bien qui fait 600 m², mais il va le séparer en deux et donc Matthieu, lui va acheter un seul bien. Mais après, Matthieu a fait plusieurs visites et il va prendre celui qui passe.

Mais c’est ce que je te disais, ce n’est parce que t’as fait une offre que tu dois t’arrêter. C’est-à-dire que tu dois vraiment alimenter ton *0:36:39*, c’est-à-dire qu’il faut que tu remplisses ta fiche d’analyse et que tu fasses des visites, que tu aies toujours des biens sur le feu. Si demain, le mec te dit : « ouais, finalement, je ne veux plus vendre », tu ne te retrouves pas à devoir recommencer de zéro.

Donc il faut toujours que la machine, elle soit en marche, et que ça ne s’arrête jamais. C’est un peu comme un moulin, le jour où tu l’arrêtes, pour le remettre en route, c’est chiant, ça prend du temps. Alors que si le système il tourne tout le temps, bah si elle est là et du coup, ça avance.

Jimmy : Pas de soucis. Bah, je te remercie.

Kendy : Je sais pas si t’avais d’autres questions Jimmy ?

Jimmy : Non, je verrai, sinon, je poserai les questions par la suite.

Kendy : OK, ça marche, on fait comme ça alors, Jimmy.

Jimmy : Yes, merci beaucoup Kendy.

Kendy : Du coup, je vois qu’on a une sprinteuse qui est là. Ah, je te donne la parole Laure. Tu vas me dire un petit peu où est-ce que ça en est pour tes travaux du coup. Coucou Laure.

Laure : Allo Kendy, bonjour les sprinteurs.

Kendy : Comment vas-tu ?

Laure : Ça va bien, merci, et toi.

Kendy : Bah, ça va nickel. Alors, qu’est-ce que ça dit là, pour les travaux ? Tu devais appeler pour savoir pourquoi ils ne sont pas encore commencés là.

Laure : Oui, effectivement, je l’ai appelé mardi matin et donc il m’a dit qu’ils vont enfin commencer à préparer le chantier. C’est-à-dire qu’ils ont démoli tout ce qu’il y avait à remplacer, par exemple le dernier étage, ils ont enlevé toute l’isolation parce qu’ils doivent tout refaire. Là, effectivement, il dit qu’ils ont préparé le chantier, ils ont tout donc ils attendent la livraison pour après commencer, livraison qui devrait arriver normalement semaine 41, c’est semaine prochaine, il me semble.

Kendy : Mais Laure, la discussion qu’on avait eue la semaine dernière, c’était que tu comprennes de quelle livraison ils parlent, parce qu’il est en train de démolir, je ne comprends pas quelle livraison il parle.

Laure : Alors les fenêtres, les cloisons, il me disait tout ce qui est les ouvrants : fenêtres, cloisons, portes, et il me semble que c’est tout. Mais samedi je dois aller sur place, je le vois samedi. Samedi, on a rendez-vous sur place.

Kendy : Parce que pour moi, si on doit changer les fenêtres, de toute façon, on n’a pas besoin d’attendre que les fenêtres viennent pour casser ce qu’il y a à casser à l’intérieur.

Laure : Bah, c’est ce qu’ils ont fait déjà.

Kendy : Ah, ils ont cassé à l’intérieur ?

Laure : Ah bah oui.

Kendy : Parce que tu m’avais dit qu’il y avait des traits par terre et tout ça.

Laure : Ah oui, ils avaient fait les traits quand j’y étais allé samedi, mais quand je l’ai appelé mardi, mardi matin, il m’a dit : « ça y est, ils ont tout cassé, ils ont même eu le temps de le faire un lundi. Ils ont fait ça le lundi et mardi. *Et quand je suis allé* sur place, ils ont cassé effectivement, parce que samedi j’avais vu juste les traits. Donc là, quand je l’ai eu mardi matin, il m’a dit effectivement qu’ils ont cassé, ils sont allés lundi, qu’ils ont préparé le chantier, ils ont tout cassé. Et puis là, dès qu’ils ont la livraison, ils attaquent, quoi.

Kendy : D’accord, ça me va, parfait. Non, mais dans ce cas-là, c’est top. Du coup, toi, ce qu’il faut que tu fasses c’est que t’ailles visiter ton chantier là, *c’est obligé*, c’est bon quoi.

Laure : Tout à fait ouais. Donc samedi, je pense aller sur place, je vais essayer. Et puis à partir de la semaine prochaine, j’aurai plus de temps, donc je peux y aller plus régulièrement, enfin au moins le vendredi en semaine, vendredi après-midi ou samedi à partir de la semaine prochaine, j’aurai plus de temps.

Kendy : D’accord, c’est parfait. Dans ce cas-là, tu me tiendras au courant lundi, ce qui a été fait.

Pense à prendre des vidéos, Laure, parce que ça va changer très rapidement, pense à prendre des vidéos et des photos parce qu’après, tu ne vas plus te rappeler à quoi ça ressemblait.

Laure : Oui, j’ai déjà les vidéos de la visite, enfin de quand tu es venu. Donc effectivement samedi, si j’y vais, je vais prendre des photos, des vidéos, un maximum d’images, enfin, des choses pour garder un peu un historique et voir l’évolution.

Kendy : Exactement, parce que je te dis, après, ça évolue tellement vite que quand tu viendras la fois d’après, tu te diras : « ah ouais mince, tout a déjà changé ». Donc si tu peux avoir des trucs, bon c’est émotionnel, mais ça fait plaisir, c’est de ton bébé grandir (Rire.)

Laure : Ouais, je suis d’accord. Et puis, je vais aussi recommencer à regarder pour la déclaration semaine 5, je regarde dans les vidéos encore sur semaine 5, et commencer à préparer toute la documentation, toutes les déclarations qu’il faut.

Kendy : Ouais, bah, fais ça. Après, de toute façon ce n’est pas le truc méga urgent, mais si tu peux le faire, quand tu auras le temps, cette semaine qui vient, quand tu auras ton temps de libre, tu pourras en profiter pour faire ça peut-être.

Laure : Voilà, oui.

Kendy : Non, mais c’est bien. Ça fait plaisir de voir que ça avance, donc c’est cool.

Laure : Ouais, je suis contente, c’est vrai que quand je l’ai eu mardi, il m’a dit que lundi il avait démoli. J’étais quand même plus rassurée sur le fait qu’ils sont quand même allés sur place, par rapport à samedi où il y avait juste un marquage. Et lundi je vais aller confirmer tout ça.

Kendy : Ouais, c’est cool. Bah écoute, tu me tiens au courant lundi de l’évolution.

Laure : Oui, exact, oui, sans problèmes.

Kendy : Ça marche. Je ne sais pas si t’avais d’autres questions, Laure, du coup ?

Laure : Non, pas dans l’immédiat. Mais s’il y a quoi que ce soit, je te l’écris.

Kendy : OK, ça marche, on fait comme ça alors. À tout à l’heure.

Laure : OK, merci, à plus tard. Ciao ciao.

Kendy : Qui est présent ? Je vois qu’il y a une autre sprinteuse. Ah tiens, elle est hors ligne.
Alors, je vois qu’il y a notre ami Kousseïda. Kousseïda, je vais essayer de te donner la parole, mais je vois que ton micro s’est désactivé, je ne sais pas si c’est normal. Il faut que tu cliques en haut à droite pour activer ton micro.

Kousseïda : Allo ?

Kendy : Yes, comment vas-tu ?

Kousseïda : Oui, bonsoir tout le monde. Très bien, et toi ?

Kendy : Ça va nickel. Alors, où en est-tu là sur les recherches là, est-ce que t’as fait d’autres recherches ? T’as contacté des gens ? Qu’est-ce que t’as dit là ?

Kousseïda : Ouais, j’ai fait d’autres recherches, j’ai fait trois parties enfin, je suis pas tombé sur l’agent là qui s’occupe du bien. On m’a dit qu’il allait me rappeler aujourd’hui ou demain matin, je ne l’ai pas eu aujourd’hui, peut-être je vais l’avoir demain matin. Du coup, on n’a pas trop avancé sur ce gars-là.

J’ai appelé l’autre agence aussi, pareil, j’ai pas réussi à avoir la bonne personne, elle ne m’a pas rappelé.

Kendy : Alors, je ne sais pas si les autres t’entendent bien, moi je t’entends de façon hachurée, moi. Ouais, tu m’entends, toi ? J’ai l’impression que tu passes dans un tunnel ou un truc du genre. Yes, ce coup si, il est là. Je crois que c’est au niveau de chez toi qui ne doit pas avoir de connexion. Tu m’entends ou pas ?

Bah si tu m’entends, je t’invite à te déconnecter et à te reconnecter et puis comme ça, je te redonnerai la parole. Il y a Laura qui me dit : « on ne l’entend pas non plus ». Bon, bah c’est vraiment chez toi là, il faudrait que tu te reconnectes.

En attendant que Kousseïda revienne, ce que je vais faire, je vais donner la parole à Cindy. Alors, Cindy, je vais activer ton micro. En tout cas, si tu peux écrire, Cindy, je te redonnerai la parole, et puis comme ça, tu vas pouvoir me dire où est-ce que tu en es.

Alors, Kousseïda, je vois que t’es revenu, je te redonne la parole. Yes.

Kousseïda : Oui, désolé, ça s’est coupé.

Kendy : Ouais, je t’entendais comme si t’étais dans un tunnel, en fait. Je ne sais pas ce qui s’est passé.

Kousseïda : Non, en fait, je me suis arrêté. Maintenant je te disais pas forcément bien avancé, en fait, mais voilà des recherches, j’attends le retour de l’agent et voilà sur le coup.

Kendy : OK, ça marche. Mais surtout, c’est ce que je disais tout à l’heure à Jimmy, on n’attend pas une personne, il faut vraiment que la machine, on l’alimente. Vraiment, c’est la partie la plus difficile du projet, c’est vraiment toute la partie recherche jusqu’au financement. À partir du moment où t’as le financement, je te dis, c’est de la descente, il faut juste faire gaffe à ne pas tomber mais la descente c’est beaucoup plus cool. Mais tout le début là, il faut vraiment cravacher, pour que la machine avance. Parce que si tu lâches, tu dégringoles, tu fais marche arrière, il faut vraiment que tu continues d’appuyer, d’avancer, donc faire des recherches, alimenter ta fiche d’analyse de biens et puis appeler des gens, prendre ton téléphone. Je ne dis pas qu’il faut éviter les mails, mais tant que tu peux appeler, avoir les gens au téléphone, ça a beaucoup plus d’impact. Les voix en physique genre t’as été visité un bien, bah tu passes voir l’agence : « OK, est-ce que vous avez d’autres biens à me présenter ? » C’est ça qui va développer ton réseau et à la fin, tu vas te retrouver avec des gens qui t’appellent, ils diront : « ce coup ici, là on a un bien. On a des biens ». À la fin, il y en aura trop, mais avant que ça arrive, il faut cravacher.

Kousseïda : Ah oui mais effectivement, moi je suis sur le coup, ouais.

Kendy : Bon bah en tout cas je compte sur toi, d’ici lundi, tu me dis un petit peu où est-ce que tu en es. On lâche rien, on avance, on continue d’avancer pour que d’ici la semaine prochaine que t’aies déjà vu quelques biens et que tu puisses au moins faire quelques offres. Ça marche ?

Kousseïda : Ça marche, OK.

Kendy : En tout cas, si t’as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonne la parole alors Kousseïda.

Kousseïda : Merci, salut.

Kendy : Je vois qu’il y a notre ami Wilfried qui est là. Alors, Wilfried, je vais te donner la parole, je sais que t’as pas forcément beaucoup de questions, mais au moins tu vas pouvoir voir si ça fonctionne. Alors, tu m’entends ou pas ?

Wilfried : Oui, c’est bon, je t’entends.

Kendy : Bon, parfait. Je dis que tu n’as peut-être pas de question, mais peut-être que tu en as et je ne sais pas si tu as des questions.

Wilfried : Bah, ouais, j’ai entendu tout à l’heure, je crois que c’est Matthieu qui expliquait qu’il a fait plusieurs offres. Ça, je ne savais pas qu’on pouvait faire plusieurs offres, parce ce qu’en fait j’avais une question par rapport à ça. Si je fais plusieurs offres et que par exemple, j’en ai deux qui sont acceptés, après ça se passe comment ?

Kendy : Alors ceux qui font des trucs de voyous, les deux, ils essaient de passer les deux en même temps (Rire.) Non ne va pas faire les deux en même temps, on va déjà prendre celui le plus rentable, celui qui te plaît. Mais en fait, il faut te laisser le choix, il y a rien qui t’interdit de faire des offres, parce que ça reste des offres. Et après, si elles sont acceptées, c’est à toi de voir si tu signes le compromis ou pas. Mais en tout cas, les offres, tu peux en faire, c’est comme si tu demandais à une demoiselle si elle veut sortir avec toi, si elle dit oui bah OK. Après, ce n’est pas parce qu’elle a dit oui que tu vas te marier.

Alors, peut-être que cette image n’est peut-être pas très bonne, mais enfin bref, tu as le droit de faire plusieurs offres. Et puis si elles sont acceptées, parce que ce n’est pas parce que t’as fait des offres qu’elles sont forcément acceptées aussi. Tu peux faire cinq offres et puis il n’y en a aucune qui sera acceptée et peut-être tu peux en faire trois, et puis les trois sont acceptées. Et après, c’est toi qui vois quelle offre tu veux.

Moi, je préfère que tu sois dans cette situation, tu te dis : « ah ouais, je ne sais pas quel bien choisir ». Ça, c’est des situations qui sont agréables, c’est ce que j’appelle des problèmes de riches. Tu ne sais pas quel bien choisir, ça, c’est intéressant. Mais si tu te retrouves avec un bien ou t’as fait une offre, le mec ne veut pas, bah comme je l’ai dit tout à l’heure, là, tu dois tout recommencer. Alors que quand tu en as plusieurs, tu n’as même plus d’attachement émotionnel, c’est-à-dire que tu ne te dis pas : « ah, mince, si je perds cette offre-là, je n’aurai plus rien ». Parce que les gens, souvent ce qui se passe c’est que comme ils ont un seul bien, un seul truc, mais du coup, même si le bien n’est pas rentable, peut-être à 100 000, ils ont fait une offre à 90 000 et comme le mec dit : « non, il faut que ce soit 100, non, 105 000 ou 110 000 », mais juste par émotion, ils vont accepter de proposer 110 000 alors que le bien n’est pas rentable. Alors, on peut dire oui, ce n’est pas beaucoup 10 000. Oui mais, tu pars déjà avec 10 000 de retard, après si tu as des surprises au niveau de tes travaux, si t’as d’autres trucs, finalement, à la fin, c’est un projet qui peut te couter très cher et qui ne sera pas rentable.

Donc il faut vraiment rester rationnel avec tes chiffres, ça passe, on y va, ça ne passe pas, next. Et pour pouvoir faire ça, il faut que tu aies de l’abondance, il ne faut pas que tu sois en mode restreint. Quand tu es en mode restreint, ouais, tu sais ce que j’appelle la mentalité pauvre, tu vois ? Genre quand tu es en mode : « ouais, il n’y a pas grand-chose à manger », tu essaies de ne pas manger. Alors que quand tu as de l’abondance, si tu ne veux pas manger, c’est parce que tu n’as pas envie, mais ce n’est pas parce que tu as la dalle et que tu ne manges pas. Je ne sais pas si cette image-là te parle, mais en tout cas, il faut que tu aies de l’abondance, il faut que tu fasses du volume, essaie de voir le maximum de biens, essaie de faire le maximum d’offres et comme ça, tu peux choisir à la fin, quoi.

Wilfried : Et du coup, j’ai une autre question. Quand je fais ma recherche, je ne sais pas, c’est peut-être une question bête, est-ce que je dois aller voir, par exemple, un banquier avant pour savoir, parce que je vois des biens à peu près à tous les prix, mais en fait aujourd’hui, je ne connais pas ma capacité d’emprunt, est-ce que je dois voir un banquier avant ?

Kendy : Alors, ça, tu le verras dans la première semaine. Dans la première semaine, il y a un module où je t’explique comment faire pour estimer déjà un peu ta capacité, tu auras une idée. Après, sinon, tu veux voir vraiment ta banque, tu peux la voir, elle va te donner une idée, mais bon c’est juste une idée qu’elle va te donner, c’est-à-dire qu’en fonction du taux, etc., ça va changer, ce ne sera jamais un montant précis. Et même si tu vas voir une autre banque, ce ne sera pas forcément le même montant, mais en tout cas, ce sera à peu près ça, genre si tu vois 200 000 par exemple sur le logiciel en question, tu ne vas pas pouvoir financer 500 000 €. Donc, c’est ce que tu dois te dire.

Ah oui, il y a Matthieu qui rebondit sur la question que tu dis. Il dit surtout que je fais des offres orales, donc aucune valeur juridique. Donc effectivement, tu as le droit de faire aussi des offres orales. Donc t’as juste dit : « ouais, ton bien m’intéresse, je veux bien proposer 100 000 ou 200 000 ». Mais tu ne t’es pas encore engagé, même si en parole d’homme tu t’es engagé. Bon tu ne t’es pas engagé, mais si tu dis 100 000, et qu’il te dit OK, normalement c’est validé. Mais comme il n’y a rien d’écrit, ça n’a pas de valeur juridique. Et c’est rare que les agences présentent une offre orale au vendeur. Tu peux faire des offres orales au vendeur directement, mais quand tu as passé par une agence, en général, ils te diront de faire une offre écrite parce qu’ils savent très bien que l’offre orale n’a pas de valeur.

Wilfried : OK et du coup, j’ai une deuxième question, c’est peut-être la troisième déjà. Pour rechercher, parce que je vous entends parler d’agence, du coup moi, je pensais qu’il fallait vraiment chercher directement du particulier, donc moi, je recherchais plus sur Le Bon Coin, mais est-ce que du coup, il faut que je passe par tout ce qui est agence immo ?

Kendy : Ah non, là, il faut que tu utilises tous les réseaux, c’est-à-dire que le plus important aujourd’hui, comme tu débutes, c’est de partir directement sur les annonces que tu as trouvées sur Le Bon Coin et tout ça. Mais après, quand tu vas aller sur le terrain, tu seras en contact avec un agent immobilier, c’est un mec qui est derrière, donc ce mec-là, tu vas pouvoir effectivement lui dire ce que tu recherches, si le bien en question te plait, on continue, mais si ce n’est pas celui-ci, tu vas pouvoir lui dire : « écoutez, moi, ce n’est pas vraiment ce que je recherche ». Et là, tu lui dis clairement : « moi, je recherche ça, ça, ça » et il va te dire : « ah, bah oui, j’ai peut-être une autre qui peut vous intéresser, venez, suivez-moi, on y va ». Et tu vas pouvoir trouver des bonnes affaires sur des visites que tu n’avais même pas prévues. Mais c’est parce que tu auras rencontré ce mec-là, que tu auras été en contact avec lui, que tu auras vu cette opportunité-là.

En fait, ce que tu dois faire, c’est te créer des opportunités et pour pouvoir faire ça, c’est regarder sur les annonces et ensuite, avoir des contacts, que ce soit des agents immobiliers, que ce soit des agences. Mais tu ne vas pas t’amuser à juste aller voir des agences, ça, c’est une perte de temps. Ce que tu vas déjà faire, c’est regarder des biens pour aller sur le terrain et quand t’es sur le terrain, là, tu optimises ton déplacement. Si tu dois aller voir quelques agences en passant bah tu le fais, mais c’est parce que tu auras déjà été en visite. Ce n’est pas genre tu prends ta voiture et tu vas voir des agences juste pour aller voir des agences.

OK ? Mais il faut que tu t’imprègnes de la première semaine là et puis une fois que ce sera validé, je te dis, tu seras sur le terrain et tu verras que toi-même tu vas développer ton réseau. Mais pour l’instant, tu commences par les annonces et après, tu iras sur le terrain voir des agences ou des agents. OK ?

Wilfried : OK et du coup, pour ma recherche, parce que moi je suis d’Ile-de-France et j’avais commencé déjà à regarder mais en dehors de l’Ile-de-France, parce que j’avais vu quelques… bah comme je t’ai dit au téléphone tout à l’heure, est-ce que c’est pertinent ou pas ?

Kendy : Bah, de toute façon, tu le verras, il faut que tu restes autour des deux heures autour de chez toi. Et de toute façon, comme tu vas avoir des critères, de toute façon, si tu cherches sur les Champs-Élysées, tu n’auras pas de projet rentable toi. Donc forcément, *t’es pas en mode* de t’éloigner, ouais.

Tu devras t’éloigner, mais tu vois c’est le piège à éviter, c’est-à-dire, tu dois t’éloigner, chercher des villes. Je ne sais plus qui j’ai eu tout à l’heure qui m’a présenté des trucs comme ça, c’était Anthony. Anthony m’a présenté des biens qui étaient super loin et des fois, il m’a présenté des biens qui étaient dans des villes paumées, quoi. Ça, il faut éviter, c’est-à-dire que tu peux t’éloigner, il ne faut pas aller trop loin, il faut que tu sois dans un rayon où tu peux aller visiter.

Par exemple, Laure, tout à l’heure, ce week-end, elle va visiter son chantier. Donc si tu vas trop loin, tu auras énormément de mal à aller visiter ton chantier régulièrement. Il faut vraiment que tu restes dans un rayon, moi je dis 2 heures et demie, 3 heures grand max pour que ce soit simple pour toi d’aller visiter ton chantier, et pour que ce soit simple aussi d’aller en visite tout simplement.

Mais de toute façon, prends le temps d’assimiler la première semaine, et puis après, tu verras, ce sera beaucoup plus clair pour toi, et puis tu vas pouvoir avancer. Au moins une fois que t’auras assimilé ça, je te dis, ce sera beaucoup plus simple. Après, c’est sûr que ce ne sera pas clair comme de l’eau de roche tout de suite, il faudra que tu fasses quelques recherches, que tu te dises : « ah, ouais, OK, voilà, il y a tel truc que j’ai vu. Bon bah là effectivement, ce n’est pas bon », tu vois.

Tout à l’heure, comme je disais, j’étais avec Anthony, bah les premières recherches qu’on avait faites, c’était complètement à côté de la plaque. Là maintenant, le truc est beaucoup plus huilé, là, il comprend beaucoup plus facilement, et en plus, il est là. Tu vois, c’est beaucoup plus huilé et les biens qu’il trouve ressemblent de plus en plus aux critères qu’on se fixe.

Donc c’est pour ça qu’il faut que tu commences à assimiler les premiers critères et une fois que tu les as assimilés, tu vas peut-être faire quelques erreurs au début et après, tu seras opérationnel, et puis après, il n’y aura plus de secret pour toi. Mais il faut déjà assimiler le concept, et après, aller commencer à faire tes recherches pour que tu te fasses la main.

Wilfried : Ça marche.

OK ? Bon. En tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésite pas, tu les mets dans la chatbox, et puis je te redonnerai la parole. OK ?

Wilfried : OK, ça marche.

Kendy : Tiens, je vais donner la parole à une sprinteuse. Alors, Cindy, je ne sais pas si ça va marcher cette fois, je te redonne la parole, du coup. Tu dois juste activer ton micro quelque part, en haut à droite, je crois. Ah attends : « désolée je suis dans les transports ». Ah, OK. Tu ne peux pas trop capter, ça marche, je pensais que tu étais chez toi. Bon bah, en tout cas, si tu as des questions, même à l’écrit, tu peux les poser, moi, je répondrai.

Je vois qu’il y a notre ami Anthony qui est là. Yes Anthony, je vais te donner la parole, parce que comme ça, tu pourras me dire un peu comment ça s’est passé justement ta recherche là, au début, maintenant, comment tu te sens par rapport justement à te recherche. Et puis si t’as des questions, tu pourras aussi les poser.

Anthony : OK ? Tu m’entends, là ? C’est bon ?

Kendy : Ouais, je t’entends, ouais.

Anthony : Bah comme on a vu tout à l’heure, au tout début, j’étais vraiment à côté de la plaque. C’était plus sur coup de cœur, ce n’était pas trop vraiment l’emplacement et à la projection par rapport au projet. Et non maintenant, c’est beaucoup plus clair, que ce soit par rapport aux accès aux étages, que ce soit par rapport aux fenêtres, que ce soit par rapport aux différents points qui peuvent être bloquants. Et maintenant, ça commence à être de plus en plus clair en fait.

Kendy : C’est cool, donc maintenant, il faut que tu fasses du volume, mon gars, c’est ça qui manque là. Non mais tu vois, là, t’as un très bon exemple, là, tout à l’heure, je regardais la fiche d’analyse d’Anthony, il y avait plus d’une trentaine…

Anthony : On était à 70.

Kendy : 70, tu vois. Alors qu’il y en a qui me présentent des fiches, je vois il y a 20 biens. Je dis mec, fais du volume. Alors, tout n’est pas forcément bon, mais en tout cas, dans la masse là, il y aura forcément des trucs sympas. C’est pour ça qu’il faut faire du volume, le volume et il n’y a que ça de vrai. OK ? Donc je ne sais pas si t’as d’autres questions par rapport à ça Anthony ?

Anthony : Non, pour le moment, toutes les questions on les a vues tout à l’heure, donc pour moi, c’est bon.

Kendy : Bon, c’est parfait. En tout cas, si tu as d’autres questions après, je pourrai te redonner la parole et comme ça, on va pouvoir avancer, OK ?

Anthony : Pas de souci.

Kendy : Ça marche. À tout à l’heure.

Anthony : D’accord, à toute.

Kendy : Du coup, je ne sais pas si j’ai fait parler tout le monde ? Alors, en général, le jeudi, on n‘est pas beaucoup, je ne sais pas pourquoi, les gens, ils n’aiment pas venir le jeudi, tout le monde vient le lundi, mais le jeudi il n’y a pas grand monde. En même temps, c’est bien pour vous, parce que comme ça, vous pouvez poser plus de questions.

Je ne sais pas si tu as d’autres questions, si tu n’as pas parlé, tu peux me mettre dans la chatbox, parce que je ne sais plus si je t’ai oublié. Mais sinon, si t’as d’autres questions n’hésite pas à les poser, comme ça, on va pouvoir avancer.

Bon, apparemment, il n’y a pas d’autres questions, je pense qu’on a tout vu.

Donc alors, tu as sûrement déjà ta mission pour cette semaine. Donc là, tu le sais, si tu es en mode « Recherche » encore. De toute façon, à tous ceux qui sont là, je crois qu’aujourd’hui, vous êtes plus en mode « Recherche », que ce soit de biens ou de financement. Ah oui, il n’y a que Laure qui est en mode « Travaux » là, mais sinon les autres, ils ne viennent quasiment plus. Les mecs, j’espère vraiment que vous allez venir quand vous allez avoir vos biens aussi, parce que c’est quand même ingrat quoi (Rire.) Non, je rigole, c’est une petite blague.

Bon enfin, bref, en tout cas, tu as ta mission pour cette semaine. Donc là, si tu dois faire des recherches, continue d’alimenter ta fiche d’analyse, tu la remplis et après, on va pouvoir fixer des visites, tu vas pouvoir aller sur le terrain. Si on a déjà validé avec toi et que c’était OK, il faut que t’ailles sur le terrain, essaie de rencontrer du monde au maximum. Si tu es en mode recherche de financement, là, essaie de voir le maximum de courtiers et de banques pour pouvoir poursuivre.

Là, je pense à Johan, si tu dis bon effectivement, t’as les pistes pour la partie CDI, bah on avance, on ne lâche rien. Comme je dis souvent, c’est celui qui abandonne qui a perdu, celui qui tient, qui avance, il va forcément aboutir.

Du coup, on continue, on se voit normalement lundi soir, 19 heures-21 heures. Donc je te souhaite une bonne soirée et puis comme je dis, on continue, on ne lâche rien.

Et il y a Anthony qui rigole parce que je dis, ouais, les mecs qui sont ingrats. Bah ouais, parce ce que quand ils commencent à générer des sous, ils ne viennent plus. Johnny venait tout le temps avant, là, il ne vient plus (Rire.) Bon, il ne faut pas lui dire ça parce qu’il va écouter leur IP. Mais en tout cas, les gars, même si vous avez généré des euros, il faut continuer de venir parce que c’est important.

Matthieu qui dit : « moi, j’arrêterai de venir quand j’aurai 10 biens ».
OK, c’est ça Matthieu. En tout cas, Matthieu, t’as signé, là c’est écrit. Ça, ça a une valeur juridique, tu es obligé de venir maintenant.

Bon, en tout cas, on a bien rigolé, ça m’a fait plaisir de faire cette cession avec toi. On se dit à lundi 19 heures et puis si t’as d’autres questions, des trucs du genre, on pourra traiter tout ça lundi. OK ?

Alors, je te souhaite une bonne soirée, et je te dis à lundi et passe un bon week-end.

Salut, ciao ciao.

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