Septembre 2019 - 260919

.

.

.

Kendy : Salut à toi, bienvenue à la session questions-réponses pour les sprinteurs et les sprinteuses. Aujourd’hui, on est le jeudi 26 septembre 2019. Et aujourd’hui, c’est moi, Kendy Polestin et Céline, qui ferons cette session. Alors, Céline n’est pas encore en ligne, mais elle ne devrait tarder.

Ce qu’on va faire, pour t’expliquer un peu le principe. Le principe est simple, c’est-à-dire que tu vas pouvoir poser tes questions dans la Chatbox. Et puis après, moi je te donnerai la parole en live pour que tu puisses poser tes questions. Et puis, à partir de ce moment-là, je pourrais te répondre et puis voilà.

En tout cas, est-ce que tu peux me dire si tu m’entends bien dans la Chatbox ? Tu as une Chatbox normalement qui te permet d’écrire si tu m’entends bien. Si tu peux me dire si le son est OK de ton côté. Parfait, parfait. All right. On va pouvoir commencer.

Ecoute, Johan, j’ai bien eu ton 5 sur 5. Je vais te donner la parole du coup, comme ça tu vas pouvoir me dire où est-ce que tu en es sur ton projet. Attends, juste là, je crois que je n’ai pas partagé mon écran du coup. Attends, je vais te partager déjà mon écran. Voilà, c’est beaucoup mieux comme ça. Donc du coup, ce qu’on va faire c’est que je vais te donner la parole, Johan, attends. OK.

Johan : Salut Kendy !

Kendy : Salut Johan, comment vas-tu ?

Johan : Ça va, ça va.

Kendy : Parfait. Alors, comment ça avance de ton côté là du coup ?

Johan : Les recherches continuent. Donc… bah je ne te refais pas forcément le topo, je pense que tu es assez au courant. Donc autre stratégie, comme on s’est dit. Donc là, passer par les gestionnaires de patrimoine et éventuellement les directeurs et de voir où se situe le bien, donc le secteur. Pas en région parisienne, mais plutôt en Bourgogne et tout ça, Bourgogne Franche-Comté. Et du coup, donc j’avais repéré 12 banques. Il y en a beaucoup où je n’ai pas eue de réponse. Il y en a quelques unes, il y en a quatre qui m’ont répondu. Deux où ils allaient passer l’info côté gestionnaire du patrimoine. Donc là, je n’ai pas eu de nouvelles, donc demain il faut que je les rappelle. Et deux retours par deux mails. Donc j’ai envoyé des mails. Et là pour l’instant, je n’ai pas eu de retours. Donc voilà, c’est en cours.

Ah si, il y en a une sur les deux où ils devaient passer l’info au gestionnaire de patrimoine. Donc c’est passé au gestionnaire de patrimoine qui en a parlé avec son directeur. Et du coup, donc on parle du Crédit Agricole Centre Val-de-Loire. Ils ne sont pas trop chauds pour me suivre, ne serait-ce parce que je ne suis pas au Crédit Agricole. Et en fait, je ne suis pas au Crédit Agricole dans leur région. Donc ils n’ont pas d’historique sur moi, tout ça. Et après, deuxième raison aussi, le fait que je suis en intérim.

Kendy : OK. D’accord, OK. Après, il faut essayer de voir les autres ce qu’ils vont te donner comme retour et puis tu pourras voir comment tu lances la machine. On verra. Je me dis, ça commence à faire un peu long là, ça commence à être un peu fatiguant.

Johan : Fatiguant, enfin pardonne-moi l’expression, c’est carrément pète-couilles ! 

Kendy : C’est exactement ça !

Johan : J’ai une situation meilleure que certains et pourtant, bref…

Kendy : Ouais, j’avoue, c’est une science qui est un peu…

Johan : Ouais, ce n’est pas une science exacte. Et moi, tu me connais, en tant qu’ingénieur, moi c’est plutôt science exacte, donc je ne comprends pas trop, ça a tendance à me saouler un peu !

Kendy : Je t’avoue, tu n’es pas le seul. Mais bon, après, on doit faire avec les règles du jeu, du coup on fait comme on peut.

Johan : Ouais, d’accord. Mais du coup, aussi… Ah oui, ça je l’ai pas dit. Ouais, du coup je me suis pris une petite pression. Enfin, ce n’est pas une pression, c’est genre… comment dire, ils me demandaient : « oui, alors le financement, comment ça avance ? ». Voilà, je lui ai dit ce qu’on s’est dit : « ouais, j’ai besoin d’un peu plus de temps… sûrement deux ou trois semaines ». Du coup, je joue la montre, mais je ne sais pas si… Il faut vraiment que ça marche en fait. Je ne sais pas si ça pourra attendre le fait que j’ai un CDI, tout ça, blabla. Enfin, c’est mon ressenti, mais je pense que l’agent…

Kendy : Mais c’est normal. L’agent, pour lui, il avait peut-être mis ça dans ses prévisions de vente, tu vois ? Pour lui, c’est de l’argent qui n’est pas encore rentré. Donc lui de toute façon, il fera toujours en sorte de mettre la pression pour que la vente se fasse. Lui il a plutôt intérêt à ce que la vente se fait au plus tôt pour qu’il puisse toucher sa com. Il n’a pas forcément envie effectivement que ça…

Johan : Que ça traine.

Kendy : Exactement. Il veut être à la position mais normale. Mais de toute façon, comme je te dis, c’est toi qui es en position de force là. Tant que tu ne lâches pas les vannes, on est tous bloqué. Donc pour l’instant, ils peuvent juste simplement te demander de finaliser la vente mais c’est tout. Il n’y a pas de problématique par rapport à ça. OK ?

Johan : OK.

Kendy : On continue, on ne lâche rien et puis, si vraiment on n’arrive pas, il faudra que tu utilises ton joker mais ça, ce sera à toi de voir comment tu t’organises mais bon, tu verras bien.

Johan : Ouais. Maintenant, après, il faudra voir mais… je me dis, pourquoi ne pas mettre de « l’ordre » dans la situation sachant que…

Kendy : Franchement, après je te dis c’est toi qui vois, c’est toi qui peux gérer le truc.

Johan : Ouais, tu as raison. C’est de mon côté.

Kendy : C’est toi qui vois, la balle est dans ton camp. C’est toi qui vois si tu la mets en lucarne ou si tu le mets au ras de poteau

Johan : Ouais, ça ne dépend pas que de moi, on va dire.

Kendy : Non, mais après, moi je pense qu’il ne faut pas lâcher, là il faut continuer. Et puis, de toute façon, tu es en position de force. Donc c’est toi qui peux savoir comment tu positionnes le truc. On continue, on ne lâche rien et puis, de toute façon, tu as d’autres taux qui doivent arriver donc tu peux voir comment ça se passe. OK ?

Johan : Wep wep !

Kendy : ça marche. On se dit à tout à l’heure, Johan. Si tu as d’autres questions, n’hésites pas, je te redonne la parole.

Johan : OK, OK, merci Kendy.

Kendy : Je t’en prie, ça marche. OK. Je vois que Céline est là. Attends Céline, je vais te donner la parole, tu feras un petit coucou aux Sprinteurs. Céline c’est la personne qui m’aide justement à faire en sorte que tout se passe bien. Coucou Céline !

Céline : Salut ! Je ne savais pas que tu faisais la police avec le micro.

Kendy : C’est moi.

Céline : ça ne marche pas.

Kendy : Non mais en fait, je donne la parole parce que sinon ce serait un brouhaha si on parle tous en même temps. Du coup, voilà, maintenant vous avez entendu la voix de Céline. C’est Céline qui gère les factures et tout ça. Oui, c’est toi qui gères aussi la partie transcription et toute la partie mise en place de la plateforme. Donc en tout cas, c’est Céline qui m’aide en plus de Julien qui lui gère autre chose. Maintenant, vous avez un petit peu entendu la voix des membres de l’équipe. En tout cas Céline, si tu as des questions ou des remarques, n’hésites pas, tu peux écrire et moi je te donne la parole pour que tu puisses intervenir. Ça marche ?

Céline : OK.

Kendy : A tout à l’heure. All right. On est quand même pas mal aujourd’hui. Salut Mathieu. Attends, je vais te donner la parole, Mathieu. Yes, Mathieu, comment vas-tu ?

Mathieu : Salut Kendy ! Ça va bien ?

Kendy : ça va nickel et toi ?

Mathieu : Ouais, très bien. Je suis remonté à bloc, j’ai passé la journée en visite, là.

Kendy : Ah c’est bon ça, mon gars, c’est bon. Alors, ça a donné quoi du coup ?

Mathieu : J’ai vu un bien intéressant sur ceux que j’ai vus aujourd’hui. J’en ai vu quatre. A chaque fois, les autres c’était trop petit, on ne pouvait faire que trois apparts dans une maison de 80m2 ou bien il y avait toute la dalle qui était fissurée dans un des biens. Donc je les ai nexté assez rapidement. Mais par contre, il y en avait un qui était super intéressant. C’est une maison de 180m2 avec par contre un très grand garage de 40m2 qui peut être transformé en appartement. Donc ça fait 220m2 et la maison elle n’est pas chère, elle est à 146.000 euros.

Kendy : Et tu peux en faire combien au total ?

Mathieu : Des apparts on peut en fait huit ou neuf dedans.

Kendy : Ah ouais, quand même. OK.

Mathieu : ça me tente bien ce truc-là. Il n’y a pas de huisserie, c’est-à-dire que toutes les fenêtres sont en PVC, elles sont nickels, elles ne sont pas à changer. Et la maison est saine en plus donc voilà.

Kendy : OK, OK. Effectivement, il faudrait que tu vois un peu au terme de travaux, combien ça pourrait te coûter. Et faire un budget et voir si tu peux te positionner rapidement. L’idée, maintenant, tu as compris comment ça fonctionne, c’est il faut bombarder maintenant en offre. Justement en parlant d’offre, je crois qu’il y a Laura qui a eue une offre qui est passée là. Justement elle en parlera tout à l’heure. Donc bombarder des offres, voilà pour que tu puisses avoir des retours et qu’on puisse avancer.

Mathieu : Là, je viens de rentrer. Pour te dire, je suis en train de manger devant mon PC là. Je n’ai pas eu le temps de faire le dossier encore mais dès demain, je vais faire les chiffres et tout. Et puis, on va essayer de faire une offre là-dessus parce qu’elle est vraiment bien. Donc le seul point noir et je pense que c’est pour ça que le bien est moins cher que les autres, ce n’est pas le meilleur quartier de la ville où je suis. J’ai un peu demandé à priori, il n’y a pas de vacance locative à cet endroit-là.

Kendy : Moi j’ai un de mes biens qui est situé dans un quartier qui était réputé soi-disant, pas cassos mais genre il y avait un peu de racailles et tout. Ça, c’est les dires. Ou alors peut-être il y a des quartiers qui ont eu une réputation et qui ne sont plus du tout comme ça. Et moi le quartier en question c’était une réputation, je pense. Donc moi j’ai investi là. Moi en même temps je n’y vis pas. Et les gens qui viennent, ils sont là quelque temps, quelques jours ? Ça ne devient pas problématique. A part si vraiment quand toi tu y vas des mecs qui trainent en-dessous de l’immeuble et tout, genre qui font un peu… drogués et tout. Là, peut-être ? Mais clairement si c’est juste des dires et tout, moi quand c’est des dires des gens, moi je ne me fie pas à ça. Je regarde simplement la localisation géographique du bien, est-ce que effectivement il est facile d’accès. Et s’il y a des nuisances comme je l’avais dit, genre des nuisances sonores, au niveau des vibrations et tout ça, OK, là next. Mais si c’est juste des suppositions de personnes qui disent « dans le temps, effectivement, c’était un quartier un peu chaud » moi, ça ne me fait ni chaud ni froid ça.

Mathieu : Alors, non, ce n’est pas du tout le problème. Le quartier il est hyper calme, c’est dans une rue où tu n’as que des pavillons. Donc non, ce n’est pas du tout le problème. Le problème c’est peut-être la partie de la ville qui est un peu moins accessible que l’autre. C’est-à-dire il y a un peu moins de ligne de luxe à cet endroit-là, grosso modo.

Kendy : Ouais, je vois. Le truc, ce n’est pas la peine d’être sur un boulevard non plus. Il faut juste que le bien soit accessible et si c’est possible qu’il y ait des endroits pour que les gens puissent se garer à proximité. Moi je dis, tant que le bien il est accessible, ça va. Il ne faut juste pas que genre le mec pour accéder à ton bien, il doit prendre genre cinq lignes de bus et ensuite marcher 30 minutes. Tu vois ? Et après, en plus, s’il est à pieds, il doit marcher genre 30-40 minutes à pieds puisque c’est vraiment au fin fond d’un village quoi. Si tu respectes déjà le critère, c’est dans une ville qui a un certain potentiel, tu auras forcément des infrastructures. Ce qui fait que normalement, tu devrais avoir des transports à côté du bien.

Mathieu : Le bus il est à cinq minutes là.

Kendy : Ouais, si franchement tu as le bus pas très loin, moi je te dis ça va. Et puis, les gens qui viendront en bus, si tu fais de la location courte durée, pour moi, en fonction du quartier ça va être une faible population. Parce qu’en général, les gens qui se déplacent, ça dépend des endroits, ça dépend des villes. Mais pour moi, la majorité de ma clientèle c’est des gens qui viennent en voiture.

Mathieu : Je pense aussi. C’est un endroit où les gens se déplacent plutôt en bagnole.

Kendy : Donc du coup, c’est plus judicieux même de voir, de valider le fait qu’il y ait un parking et tout à proximité pour que les gens puissent se garer, que la ligne de bus est juste devant l’appart.

Mathieu : Je peux même faire trois places de parking devant la maison, en plus.

Kendy : Franchement, si tu as ça, moi je te dis nickel, on peut y aller quoi. Mais déjà vérifies au niveau de ta rentabilité si tu es OK, si tes chiffres sont bons, on y va.

Mathieu : Non, la rentabilité elle est hyper bonne. Au contraire, c’est la première fois que je vois un truc aussi valable.

Kendy : Parce que là, il faut qu’on y aille, Mathieu. Là, ça fait un moment-là, du coup, il faut qu’on y aille. Donc maintenant, si tu vois que les chiffres sont bons, let’s go, on y va.

Mathieu : Sinon j’ai la Maison des travaux qui est passée sur un autre bien mardi matin, là.

Kendy : D’accord.

Mathieu : Putain, je vais avoir du mal à ne pas travailler avec eux. Le mec il est nickel. Nickel chrome.

Kendy : Ah ouais ? Tu vois, il y a des exceptions. Donc si tu as un bon feeling avec lui, je te dis OK c’est tout. Moi, l’essentiel, ce qui m’intéresse c’est le résultat. Tant que ton job il est fait et que du moins tu restes dans tes chiffres, pour moi, tu peux travailler avec qui tu veux. Moi la seule chose qui m’importe c’est qu’à la fin tu aies tes résultats et qu’il y ait ton système qui fonctionne.

Mathieu : Donc bon, le mec m’a dit qu’il faisait le planning des artisans et tout. Donc j’ai dit « c’est cool ».

Kendy : Du moins après, il y a des pincettes quand même parce que le mec qui avait suivi les travaux de Boris aussi il était censé faire le planning, machin et tout. A la fin, c’est Boris qui fait son chantier ? Donc je ne dis pas que c’est forcément mensonger ce qu’il dit, mais je dis juste que c’est à prendre avec des pincettes. Tu vois ? Et vois, effectivement, si c’est vraiment comme ça qu’il bosse avec ses autres clients quitte à voir d’autres personnes avec qui il a bossé. Moi, en tout cas, l’expérience que j’en ai eue jusqu’à maintenant, ce n’était pas forcément comme ça. Mais bon s’il te dit que lui va le faire, je te dis « à vérifier si c’est vraiment comme ça qu’il bosse » mais je dis « go » tu vois ? Mais ça n’empêche que tu seras quand même emmené, toi, à valider ton projet. Moi je veux que tu sois vraiment un chef d’orchestre et que ce soit toi qui maitrises ton projet. C’est-à-dire que quand moi je viendrai te voir, que tu puisses me dire « ouais, là j’ai mis ça parce qu’il y a ça, parce que il y a ça… » En fait, je ne sais pas c’est le mec de Maison des travaux qui sait ?

Mathieu : Non, justement le mec de Maison des travaux il a suivi tout ce que j’ai dit. Il a dit que trois trucs sur la cinquantaine de trucs que je lui ai dits. Effectivement, c’était des remarques pertinentes parce qu’il a l’habitude. Non, sur tout le reste il m’a complètement suivi.

Kendy : OK, c’est parfait. Ecoutes, moi je te dis « on y va ». T’as juste à, maintenant, faire tes calculs. Et puis poses le nouveau et l’ancien, tu… mais il faut qu’on avance, il faut que tu bombardes les offres pour que tu puisses avoir de la matière pour qu’on puisse avancer. Il faut qu’on passe déjà à l’étape suivante. Tu vois ?

Mathieu : Du coup, normalement, il y a deux offres qui partent la semaine prochaine si on a le projet.

Kendy : On attend ton retour pour que tu nous dises comment ça s’est passé pour les offres. Justement, je ne sais pas si elle est là Laura, qu’elle nous dise un peu comment ça s’est passé.

Mathieu : Félicitations Laura, c’est bien, bravo.

Kendy : Ouais, c’est cool. En tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésites pas, Mathieu, je te redonne la parole et puis, on va pouvoir avancer. Ça marche ?

Mathieu : OK. Je finis de manger tranquillement.

Kendy : Bon appétit, à tout à l’heure, Mathieu. OK. Alors, je vais voir si Laura est présente. Yes, Laura est là. Laura, je vais te donner la parole, tu vas pouvoir nous dire un petit peu comment ça s’est passé pour l’offre que tu as faite. Coucou Laura !

Laura : Salut, salut ! Salut à tous.

Kendy : Comment tu vas ?

Laura : Ça va, ça va. Ouais, ça va bien.

Kendy : Félicitations !

Laura : Merci, c’est trop cool. Je suis trop contente, donc j’ai toujours le sourire depuis hier, c’était hier que j’ai eu la réponse ? Ouais, c’est ça. J’en ai parlé un petit peu avec certains Sprinteurs. Il y avait une offre sous tutelle sur laquelle j’avais proposé 40.000 avec un prix initial de 75.000. Et une autre offre où j’avais proposé 80.000, frais d’agence inclus avec un prix initial de 170.000. Et c’est celle avec les 80.000 qui est passée. Je n’ai même pas eu à négocier, c’est passé. Donc le propriétaire a accepté mon offre d’achat. Donc ouais, c’est un bon point. Franchement, je suis super contente. C’est une première étape. Ce n’est pas une première étape par rapport à tout le parcours mais ça, c’est une étape décisive, vraiment très décisive. Et donc je suis contente quand même. Donc là ce qui va se passer, j’ai déjà appelé, je crois, trois artisans que j’avais déjà contactés. Ils ne sont pas disponibles, ils passent samedi 5 octobre. Donc du coup je verrais avec eux s’ils peuvent me proposer. D’ailleurs, j’ai une question par rapport à ça. Je les fais venir tous en même temps ? Parce que je sais que parfois, ils n’aiment pas trop ça.

Kendy : Ouais, ce n’est pas tiptop parce que c’est comme si tu allais en rencart avec plusieurs mecs en même temps. Tu vois, ils ne vont pas kiffer. Il faut quand même qu’ils aient l’impression qu’ils ont quand même une chance. Donc tu peux les faire venir le même jour mais pas à la même heure ? Là, c’est genre il y en a un qui va te proposer d’une façon, l’autre qui va dire « non » machin ? Donc c’est quand même plus juste de les faire venir. Mais même s’ils se voient, même s’ils se croisent, ça ce n’est pas un problème.

Laura : Ouais, mais en même temps… OK. Je vais essayer de voir si l’agent immobilière elle peut m’ouvrir la maison pendant, je ne sais pas, trois heures à peu près. Comment ?

Kendy : Ça, ce n’est pas un problème.

Laura : Mais je pense que il n’y a pas que mon bien, tu sais, dans son pipe il y a d’autres choses, donc peut-être qu’elle a d’autres choses à faire, d’autres chats à fouetter, donc je vais voir avec elle.

Kendy : Il y en a qui… c’est tout à fait possible, par exemple, je ne sais plus qui a fait ça récemment mais des fois, l’agent immobilier peut… même de laisser sur le bien, lui il va faire ses visites et puis, il revient te trouver quand il a fini. Non, ça, ce n’est pas un problème. Si vraiment elle ne te le propose pas, tu le proposes. Tu dis « mais sinon, si vous avez des trucs à faire, vous nous ouvrez et puis vous partez. Franchement, je ne vais pas vous prendre du temps ». L’idée c’est vraiment que les gens ils puissent venir et qu’ils fassent les devis.

Laura : ça marche.

Kendy : Au moins son job, c’est comme si elle était à plusieurs endroits en même temps ?

Laura : Mais après bon, pour l’instant, on s’entend bien. Elle est super adorable, super gentille, super tout. Donc je verrais avec elle. Donc j’ai trois artisans déjà qui vont passer le samedi 5. J’essaie de tous les concentrer en même temps, la même journée comme ça, je n’ai pas à faire 20 allers-retours. A côté de ça, j’ai essayé de trouver un notaire. J’ai trouvé. J’ai appelé un premier mec. Le truc c’est que j’ai appelé un premier mec et je n’en ai appelé qu’un seul, je t’explique pourquoi. Donc je lui ai expliqué ce qui se passe « on a accepté mon offre d’achat… ». Direct, il me dit « oui mais ça va être fait par le notaire du vendeur. Il n’y aura pas de coût supplémentaire pour moi. Au pire, qu’il me laisse avancer avec l’agence et puis après que je le recontacte, etc. » Je me suis dit bon. Et puis, après il m’a demandé nom, prénom de l’agent immobilière, etc. numéro de téléphone. Il me dit « vous voulez que je l’appelle ? » et tout de suite, je dis « non, je l’appelle avant déjà parce que je ne l’ai pas encore eue au téléphone. J’ai juste eu son message vocal et j’ai essayé de l’appeler, je n’ai pas réussi à l’avoir. J’essaie de l’avoir avant, je vois avec elle comment elle fonctionne et je vous rappelle ». Le gars a visiblement appelé l’agent immobilier.

Kendy : Ce n’est pas gênant ça.

Laura : Je ne sais pas, mais il est bizarre non ? Je ne sais pas, tu n’appelles pas comme ça. Sachant que je n’ai même pas encore vu. Au moins qu’on se voit lui et moi, qu’il m’explique un peu comment ça peut fonctionner. Je ne sais pas. Peut-être que je suis vieux-jeu.

Kendy : Ce n’est pas nécessaire que tu ailles le rencontrer. Moi, par exemple, mon notaire, je l’ai rencontré pilepoil le jour de la signature. Avant, tout ce qui s’était produit, j’étais en contact avec la clerc de notaire. Lui il est juste là pour défendre ton dossier, simplement toi, ce que tu dois faire, c’est qu’il a bien regardé ton projet avant que tu trouves quoi que ce soit.

Laura : J’espère. C’est pour ça que je me disais, ouais, j’aurais peut-être voulu… je ne sais pas, se voir.

Kendy : Même si tu le vois, ça ne va rien changer. Tu vois ? Lui il aura l’impression de perdre du temps et toi, pareil. Quand il va te voir, tu vas lui dire quoi ?

Laura : Il m’explique comment ça se passe, je ne l’ai jamais fait. C’est ma première fois, il m’explique, je ne sais pas.

Kendy : Non, mais t’inquiètes, t’inquiètes. Le seul truc que tu dois te dire là c’est que prenez une date pour signer le compromis et après, avant de signer le compromis là, tu vas pouvoir valider avec lui tout le projet, donc avec les différents points que toi tu lui mets dans le compromis.

Laura : Les travaux, tout ça.

Kendy : Ouais, notamment les conditions suspensives et tout ça. Une fois que c’est OK, toi tu peux continuer. Mais c’est surtout une question de feeling que tu dois avoir avec ton notaire. Si le feeling passe bien, après ça va tout seul, vous n’avez pas forcément besoin de vous rencontrer et tout ça. En tout cas, pas avant le compromis. Ce n’est pas une obligation selon moi.

Laura : OK. Ça marche. Du coup, ma question par rapport à ça c’est… le notaire du vendeur, ça c’est le vendeur qui se débrouille avec lui, qui le paie. Moi, le notaire, il va falloir que je le paie. Il va prendre 8% aussi, non ?

Kendy : Les frais de notaire sont divisés entre… c’est-à-dire que c’est les notaires qui vont se séparer les honoraires entre eux. En fait, le notaire du vendeur, il est tout seul. Tu vois, parce que lui comme il est tout seul, il prend tout. Ici ils sont deux, du coup, ton notaire il prend la moitié et puis, son notaire à lui prend la moitié.

Laura : D’accord. Et pour faire entrer les frais de notaire, je demande à ce que ce soit acte en main ?

Kendy : Non, non, non. Ne te prends pas avec ces histoires d’acte en main.

Laura : Par exemple, je n’ai pas envie de débourser de ma poche, je fais comment ?

Kendy : Au moment où tu vas mettre ton compromis, il y aura de toute façon le montant des frais de notaire. Et ça c’est avec la banque que tu les compte.

Laura : Ah OK. Je pensais qu’il y avait une astuce.

Kendy : Moi je te dis, effectivement, l’histoire d’acte en main, je crois que j’en ai parlé mais vite fait dans le programme, pour moi, ça m’a plus ralenti qu’autre chose dans mon projet ? Tout le monde ne comprend pas ce que c’est, du coup les gens ils se posent des questions. Moi je te dis les mecs ils étaient obligés regarder sur Google parce qu’ils ne savaient pas ce que c’était. Donc franchement, je te dis, par moment c’est plus simple de faire les choses simplement. Comme j’ai dit dans le programme, donc c’est-à-dire tu… mais les différentes conditions suspensives, notamment concernant le montant des travaux et après d’aller valider ça sur le compromis. Mais la seule chose que tu dois absolument valider sur ton compromis c’est que le montant des travaux soit bien noté sur ton compromis. C’est vraiment le truc le plus important. Donc si tu valides un projet avec son montant des travaux qui inférieur à… juste avec le montant du bien sans les travaux, si tu as un accord de prêt, tu…

Laura : Ouais, ils vont juste me financer genre 80.000 si c’est juste 80, ils vont dire « Non, c’est 80 sur le compromis, on ne va pas vous en donner plus ».

Kendy : C’est ça. Après, tu peux quand même demander plus. Mais si tu demandes plus et que tu es en refus, ce sera quand même engagé dans la banque parce que sur le compromis ce n’est pas ce qui était noté au départ.

Laura : Attends, je n’ai pas compris. Si je demande plus que ce qui est sur le compromis… Oui, oui, donc moi je dois bien réfléchir à ce que je veux. Par exemple, si c’est 80.000 plus je ne sais plus, 135.000… 230.000. On va dire que le total me fait 230.000, je demande à la banque 250.000. Si la banque me refuse, c’est mon problème.

Kendy : C’est ça.

Laura : Mais sur le compromis, il y a marqué 230. Donc il vaut mieux que je mette 250 sur le compromis, je gonfle avec les travaux et une autre facture que l’artisan m’avait donnée comme ça, moi, je sais que mon projet, en réalité, il fait 230.000 s’il n’y a pas de surprise et comme ça, ça passe. Je peux tout payer.

Kendy : Exactement.

Laura : OK, ça marche. J’avais compris ça. Voilà où j’en suis... donc notaire c’est en route, artisan c’est en route. Là, je dois en plus envoyer ma pièce d’identité pour le notaire du vendeur, qu’il puisse faire ça. Donc c’est en route. Quoi d’autre ? Et puis bon après, là je commence à faire mon dossier pour la banque. Et puis, c’est tout.

Kendy : C’est parfait. En tout cas, rentre sur ça et puis dès que c’est bon, lance la machine.

Laura : Oui. Et du coup, juste pour finir, ça me fait penser à une conversation que j’avais avec les frères Levy. Je ne sais pas s’ils sont là ce soir mais c’est valable aussi pour tout le monde. En fait, là, je me dis avec mon exemple, je pense que certains n’auraient peut-être pas osé négocier plus. Après, moi j’ai eu des éléments complexes. Donc je pense que c’est bien de, par exemple, savoir aussi lors de la visite du bien, est-ce qu’il y a eu d’autres propositions avant ? A combien elles étaient ? Après, est-ce que l’agent immobilier veut y répondre ou pas, ça c’est autre chose, mais au moins savoir ça comme ça, ça peut donner une idée sur : il y a combien de temps qu’il y a eue une proposition ? A combien c’était ? Dans ce cas-là, moi qu’est-ce que je peux mettre ? Ça permet d’aiguiller un peu plus de poser des questions et puis, après, ne pas avoir peur de proposer. On peut toujours contre proposer derrière. Après, c’est sûr que si le bien est à 170.000, il ne faut pas demander 30.000. Il ne faut pas prendre les gens pour des imbéciles mais enfin, voilà, c’est juste ce que je voulais dire. Ne pas hésiter.

Kendy : Non, en tout cas merci pour ton intervention, Laura.

Laura : De rien.

Kendy : ça marche, à tout à l’heure, Laura.

Laura : A tout !

Kendy : All right. Alors je vois qu’il y a notre ami Anthony. Anthony, je te donne la parole, tu vas nous dire un petit peu où est-ce que tu en es toi, du coup si tu as des questions. Si tu as des questions, tu vas pouvoir les poser. Salut Anthony !

Anthony : Salut salut ! Tu m’entends ?

Kendy : Comment tu vas Anthony ?

Anthony : ça va, ça va. Là, je complète le dossier, aujourd’hui. Là, je suis venu justement à la petite rencontre, c’était pour pouvoir écouter un peu l’avancée des autres. Et là, sur le coup, je suis sur le dossier à remplir, les paperasses de préfecture, j’ai déjà fait le tour de ce que j’avais rajouté. Je suis en train d’élargir un peu la zone en fait.

Kendy : OK. Continues, fais du volume. Et puis comme ça, effectivement, tu vas pouvoir avoir de la matière pour pouvoir aller sur le terrain, OK ? Je ne sais pas si tu avais des questions en particulier par rapport à, justement, ton évolution actuelle.

Anthony : Non, c’est bon.

Kendy : OK. Si tu as des questions juste après, n’hésites pas, je te le redonnerai. OK ?

Anthony : OK.

Kendy : ça marche, à tout à l’heure.

Anthony : Nickel, à tout !

Kendy : All right ! Je vois qu’il y a Armand qui est là également. Armand, je te donne la parole. Je sais que tu n’as pas forcément beaucoup à annoncer mais tu vas pouvoir nous dire où est-ce que tu en es. Donc tu as un bouton à droite pour activer ton micro, Armand.

Armand : Oui, Allô ?

Kendy : Yes, Armand, comment vas-tu ?

Armand : Oui, ça va. Désolé, en fait, je suis dans les transports, ça va être coupé parce que j’ai un petit *0:33:20* de boulot. Moi je voulais juste savoir, du coup comme j’ai commencé hier, je voulais savoir par rapport à quand tu mentionnes le code 127. A un moment, j’ai commencé à regarder la vidéo et tu dis que c’est le loyer fois 12 fois sept sur l’année. Et je voulais savoir en fait ce calcul c’est le capital que je dois investir au max dans le bien ?

Kendy : En fait, ce calcul-là te permet de savoir quel est le coût de ton projet max pour que tu sois dans une rentabilité de 8-9%. Si tu respectes ce calcul-là, tu sais que tu as ton budget max. Si tu dépasses ce budget-là, tu sais que tu ne serais pas à 15%. Par contre, si tu respectes ce quota-là, max tu sais que tu auras au moins 15% de rentabilité.

Armand : Quand tu dis 15%, c’est 15% de mes revenus ?

Kendy : Donc 15% de rentabilité sur les revenus que vont te générer l’investissement que tu vas faire.

Armand : OK. OK, OK. Donc 15% annuel ou mensuel ?

Kendy : Non, c’est forcément annuel. Le pourcentage de rentabilité c’est forcément annuel. Parce que tu vois, c’est multiplié par 12, c’est forcément annuel.

Armand : OK, OK. Mais du coup, aussi tu parlais d’immeuble de rapport mais moi je ne m’y connais pas trop. Mais quand je regarde un peu les recherches et je vois, ça fait des millions, c’est du centre-ville ce n’est pas quelque chose que la banque va accepter pour me donner.

Kendy : Ouais. Alors, je pense que tu devrais regarder encore les vidéos, mais l’idée c’est de te dire que… un immeuble de rapport, c’est juste un ensemble de bien. C’est sûr que toi, tu dois juste respecter les critères qui sont *dans les vidéos*. Tu dois juste respecter les critères que je te donne. C’est-à-dire la surface minimale qui est de 80m2. Et toi, en gros, aujourd’hui par rapport à ta situation, il faudrait déjà que tu calcules ton budget et à partir de ça, tu sauras quel est le budget max que tu peux taper. Mais concrètement, pour moi, tu peux viser les projets autour des 100 – 150.000 max en travaux. Et puis, comme ça, tu permettras de pouvoir faire un projet. Pour moi, on pourrait viser des projets à 200.000 par rapport à ta situation. 200.000 tout fini, tout propre et pas plus. OK ? Je te redonne la parole si tu as peut-être une autre question. Attends puisqu’il y a du bruit… Il faut que tu réactives ton micro là du coup.

Armand : Là, tu m’entends ?

Kendy : Ouais, je t’entends.

Armand : D’accord, OK. On peut trouver des immobiliers de rapport à 200-204 000 ?

Kendy : En fait, là, il y a Laura qui vient de me dire tout à l’heure justement que… je ne sais plus combien était le bien, à 170.000, elle a fait une offre à 80.000 un truc genre et c’est passé. Là, t’as Laure également qui a fait un projet à moins de 200.000 pour *0.37.22*. Il y a beaucoup de bruit derrière toi, je ne vais pas pouvoir continuer, mais il y a beaucoup de bruit derrière toi en fait.

Armand : OK. *0.37.34*.

Kendy : Ça marche. En tout cas, si tu as des questions, tu peux les écrire et puis, moi, je répondrai directement à l’oral. Ça marche ?

Armand : OK, super, merci beaucoup.

Kendy : Allez, salut, ciao, ciao. All right, OK. Alors, je vois qu’il y a notre ami Koceïla. Alors, Koceïla je te donne la parole. Il faut que tu actives ton micro, Koceïla. Yes, comment vas-tu ?

Koceïla : Ça va, ça va. Bonjour Kendy.

Kendy : Alors, tu es là depuis hier ?

Koceïla : Oui, effectivement, depuis hier, j’ai commencé à regarder un petit peu les premières vidéos, effectivement. Je me suis posé, effectivement, la même question que notre ami qui vient de passer par rapport au code 127. J’ai juste une petite question par rapport au fait que c’est divisé sur 7, ça veut dire quoi le chiffre 7 en fait ?

Kendy : Laurie va te poser la même question. En fait, le chiffre 7 c’est, en gros, c’est l’année, en fait. Quand tu as sur sept ans, quand tu rembourses bien sur sept ans et tu as les 15% de rentabilité. C’est en fait un calcul que j’ai mis juste pour éviter de faire des trucs compliqués. Tu vois, en faisant ton code 127, c’est très simple. Tu sais c’est quoi ton budget max à ne pas dépasser. Et puis, comme ça, tu peux en tout cas te fixer un budget rapidement. Tu sais tout de suite si ça vaut le coup d’y aller ou pas. Si tu vois que c’est complètement au-dessus de ton code 127 sans même avoir fait les travaux, tu sais que soit la négociation va être rude soit ça va être chaud pour pouvoir financer ce projet-là.

Koceïla : Effectivement, je trouve que c’est… voilà. D’avoir un indicateur qui permet d’avoir une donnée rapidement et d’avancer, de se positionner derrière par rapport à la rentabilité. Il y avait Laure ou Laura qui est passée là et qui a fait une offre. Du coup, le bien est à 170 je pense, si je me rappelle bien et elle a fait une offre de moitié, en fait. C’est quelque chose qui m’étonne, en fait. C’est quelque chose qui m’étonne en fait. Je ne comprends pas comment on peut, en fait, passer du simple à la moitié.

Kendy : Bah il faut oser simplement et tu verras, ça passe. Mais tu n’es pas encore arrivé à la partie négociation de la semaine deux mais la semaine prochaine quand ta semaine deux seras débloquée, j’explique aussi un peu comment moi, j’ai pu négocier genre, je crois que c’était 40.000 euros ou un truc du genre alors qu’il t’a fait une offre. Donc du coup, clairement, il faut juste oser quoi. Maintenant, t’es l’investisseur, donc il ne faut pas avoir peur de proposer quelque chose. Si le mec il veut, tant mieux, sil il ne veut pas, tant pis, ce n’est pas grave. Il y a quelqu’un d’autre qui voudra. Pour rendre l’investissement un peu comme de la drague. Tu vois, la demoiselle, tu lui proposes et elle ne veut pas tiptop, il y en aura une autre quoi. C’est un peu comme ça qu’il faut voir la chose. Ouais, il faut que tu sois sans culot c’est-à-dire tu proposes, si le mec il est OK, on y va. Il n’est pas d’accord, tant pis. Next !

Koceïla : C’est parfait oui. Après peut-être on peut passer à côté d’un bien ou enfin, on a peut-être misé trop bas et d’ailleurs, je ne suis pas sûr de faire une autre offre mais on se guérit un petit peu.

Kendy : Franchement, de toute façon, le mec qui vend, ce n’est pas comme si c’était un fournisseur avec lequel t’allais travailler toute ta vie quoi. Tu vois, j’ai fait des… je les ai vus une fois dans ma vie et peut-être que je les reverrais plus jamais ? Donc c’est pour ça qu’il ne faut pas avoir peur de proposer des choses. Certes, ça peut paraître un peu indécent mais c’est surtout la façon dont tu amènes la chose qui va faire que ça va passer ou pas quoi ? En fonction des questions que tu vas avoir et tout. Et toi-même, tu vas pouvoir sentir si tu peux taper dedans ou pas parce que si tu sens que le mec il est en galère financièrement et tu sens que tu es apte à poser les questions, le contexte, t’as compris pourquoi il vendait. Là, tu vas savoir pourquoi si tu peux. Mais si tu n’as pas d’information sur le contexte de la vente, du coup, c’est plus compliqué pour toi de… de faire une offre qui soit agressive parce que tu vas être gêné, tu auras peur de la poser ? Tandis que si tu avais compris le contexte de la vente, ça sera beaucoup, beaucoup plus simple.

Koceïla : Bon, d’accord. OK.

Kendy : Après, il ne faut pas avoir peur. Donc là, simplement avance sur ta partie de recherche de bien et puis une fois que t’en as trouvé, aller en visite, comprendre le contexte. Et plus tu feras d’offre, moins tu auras d’attache émotionnelle ? C’est toujours dans la forme de la drague quoi. Si t’as contacté plusieurs demoiselles, si il y en a une qui te dit non, t’es pas trop embêté. Tandis que s’il y en a qu’une seule avec laquelle tu es, en fait, ça va te perturber émotionnellement ? Donc c’est pour ça qu’il faut te dire, tu fais le maximum d’offres possible. Si il y en une qui passe, tant mieux et si elle ne passe pas, tant pis, mais simplement toi, c’est une juste une offre qu’il te faut, il y en a une. Tu vois, c’est comme Laura tout à l’heure, elle a peut-être fais plusieurs offres mais celle-ci, là, elle sait que par rapport à la surface, elle fait une super bonne affaire. Donc du coup, c’est vraiment comme ça tu dois voir la chose, c’est tu es là, le mec il est OK, de toute façon, il faut vraiment que tu te mettes dans la peau de celui qui vient l’aider quoi. Il faut vraiment que le mec qui soit en douleur tu le dis « ouais mon gars, t’inquiètes, je vais t’aider à sortir de cette situation mais malheureusement, je ne peux pas te faire le prix que tu as demandé mais je vais quand même pouvoir t’aider à sortir de cette galère dans laquelle tu es ». C’est vraiment comme ça que tu dois te voir et puis, ça sera beaucoup plus simple pour faire des offres agressives.

Koceïla : D’accord. J’ai une autre question. En fait, j’ai vu, enfin, j’ai repéré un bien qui est dans le sud, qui dépasse les deux heures de trajet même par train. Donc du coup, quand on n’a pas quelqu’un sur les lieux…

Kendy : Moi je te dis, du coup, oublies ça. Il y a tellement de biens dans ton secteur Koceïla, que ce n’est pas la peine de partir sur des trucs vraiment loin. A part Johnny qui a pris des biens un peu plus loin mais en plus, lui, c’était des projets où il n’y avait pas forcément beaucoup de travaux. Mais dès que tu vas avoir des travaux, pour moi, il faut vraiment que tu restes dans ce secteur-là parce que au début, ça va mais crois-moi qu’au bout de trois, quatre allers-retours, tu vas vite en avoir marre et du coup, tu vas délaisser ton chantier. Et du coup, c’est la fin. Il faut vraiment que tu restes dans ton secteur même si t’y vas une fois ou deux fois par semaine, que tu sois sûr de pouvoir y aller au moins une fois ou deux fois par semaine. Au début, en plus, du moins juste les visites, tu seras excité et tout mais après à un moment, si tu as, je ne sais pas, trois, quatre mois de chantier, au bout du deuxième et du troisième mois, tu commences à fatiguer. Donc si en plus le bien il est loin, ça va te casser les pieds. Et puis, de toute façon, dans ton rayon, il y a forcément de quoi faire. Donc fais simplement tes recherches au niveau des villes et puis tu vas forcément trouver des biens dans ton secteur.

Koceïla : D’accord. OK, OK. Ça marche. Ça marche, merci.

Kendy : Si t’as de questions, n’hésitent pas, je te redonne la parole. OK ?

Koceïla : D’accord. Ça marche.

Kendy : A tout à l’heure.

Koceïla : A plus.

Kendy : OK. All right. Je vois qu’il y a un autre ami. Anthony, je ne sais pas si je t’ai déjà eu. Je crois que je t’ai déjà eu Anthony. Alors, ensuite je vois qu’il y a qui ? Tiens il y a Jessica. Je te fais un petit coucou Jessica. C’est vrai que tu n’as jamais parlé. Je te donne la parole. Coucou Jessica.

Jessica : Salut Kendy.

Kendy : Comment vas-tu ?

Jessica : ça va et toi ?

Kendy : Ça va, nickel, nickel. Du coup, t’en es où alors ?

Jessica : Moi, écoute, je ne sais pas s’il a déjà parlé.

Kendy : Si, il a déjà parlé. C’est bon, il a déjà parlé.

Jessica : Ecoute, je le suis et puis je commence à passer des appels aussi, de temps en temps.

Kendy : D’accord. Il faut que tu puisses l’aider à avancer sur la recherche. C’est bien.

Jessica : Ouais c’est ça. Du coup, je l’accompagne.

Kendy : Il sait ce qu’il faut faire. Continue comme ça et puis on ne lâche rien alors.

Jessica : Ouais, ouais.

Kendy : Ça marche. En tout cas si tu as des questions, n’hésites pas, tu peux poser des questions.

Jessica : Pas de souci.

Kendy : Ça marche. OK. A tout à l’heure.

Jessica : A toute !

Kendy : All right. Alors, là, je vois qu’on n’est pas forcément beaucoup aujourd’hui. Je dis, je ne sais pas pourquoi le jeudi, il y a pas forcément grand monde. Bon, sûrement que les gens, ils préfèrent venir le lundi. En tout cas, là, je vois qu’il y a plus forcément de monde alors, si tu as des questions, n’hésites pas, tu me les poses comme ça moi, je te redonne la parole. Je crois qu’on a fait le tour. Si tu n’as pas parlé, n’hésite pas à me faire un « Hello » comme ça, je te donnerai la parole. Et si tu as des questions, n’hésites pas et puis, si t’en as plus d’autres, du coup, je te laisserais… Mathieu qui dit c’est meilleur le jeudi. Ouais, c’est ça. Les meilleurs, ils viennent le jeudi, c’est ça. Ils sont motivés. Non mais c’est vrai. Il n’y en a pas beaucoup le jeudi. On dirait que si ils viennent, ils viennent que le lundi quoi et pourtant, il y a deux jours dans la semaine. En tout cas, si tu n’as pas d’autres questions, tu sais, en tout cas, c’est quoi ta mission pour cette semaine. Donc si tu es en mode recherche, il faut que tu continues d’alimenter ta fiche d’analyse. Si tu n’as pas encore rempli ta fiche d’analyse, que tu cherches déjà les villes autour de chez toi. Ensuite, ouais, que tu fasses tes recherches. Si tu es en mode financement, tu continues de contacter les différents courtiers, les différentes banques, etc. Si tu es en mode signature, là, tu dois contacter ton notaire, les agences, etc. Mais on ne lâche rien. On continue d’avancer et puis on y va. Alors, je ne sais pas si tu as levé la main Laura ou si c’est juste une erreur. OK. Attends. Je vais te donner la parole.

Laura : Oui. Je suis désolée. Allô ?

Kendy : Vas-y.

Laura : Juste une dernière petite question, les courtiers…

Kendy : Alors, question ou ?

Laura: Non, c’est une question mais une seule et puis après, je lâche tout le monde. Je vous laisse tranquille. Les courtiers, je peux déjà commencer à les contacter même si je ne sais pas encore combien d’affaires, combien font mes travaux ou vaut mieux attendre ?

Kendy : Non, il vaut mieux attendre parce que tu ne sauras pas quoi leurs dire.

Laura: D’accord. Ouais. OK.

Kendy : Tu peux simplement commencer à préparer ton dossier.

Laura: Le dossier, ouais.

Kendy : Prépares ton dossier avec tous les documents dans ta mallette et puis, une fois que tu auras avancé sur la partie effectivement compromis et tout, là, tu peux les contacter. Tu peux préparer le terrain habituel mais bon, là, aujourd’hui, tu leur feras juste perdre du temps. Il vaut mieux que tu te focalises sur ce qui est important, c’est-à-dire sur les dossiers.

Laura: OK.

Kendy : Et puis, après, tu vas pouvoir envoyer la sauce.

Laura: D’accord. Ça marche. C’est bon. J’avais dit une question, c’est une question. Merci.

Kendy : Ça marche.

Laura: Bonsoir à tous. A lundi.

Kendy : A lundi. OK. All right. En tout cas, s’il n’y a pas d’autres questions, aujourd’hui, c’était une séance assez courte mais en tout cas, nous on se retrouve à lundi 19h00. Donc si tu as des questions, tu pourras toujours me les poser lundi mais n’oublies pas, là, il faut faire le job, donc on y va, on va sur le terrain, on fait le boulot et puis on continue. On ne lâche rien et puis, comme ça, on va pouvoir avoir des résultats. Voilà. En tout cas, je te souhaite une excellente soirée.

Je te dis à lundi et puis je te souhaite également un bon week-end.

Allez, salut. Ciao, ciao.

Did this answer your question? Thanks for the feedback There was a problem submitting your feedback. Please try again later.