Septembre 2019 - 230919

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Kendy : Salut à toi, bienvenue à la Session questions-réponses pour les sprinteurs. Aujourd’hui, on est le lundi 23 septembre. Ce qu’on va faire, c’est qu’on va pouvoir débuter cette session. Pour t’expliquer un peu le principe, le principe est très simple, c’est que tu vas pouvoir poser ta question dans la ChatBox et puis après, moi je vais pouvoir te donner la parole pour que toi, tu puisses poser ta question directement en live.

Alors, est-ce que tu peux me dire si tu m’entends bien ? Est-ce que tu peux mettre un message dans la ChatBox au niveau de la boîte à questions là ? Est-ce que tu peux me dire que tu m’entends bien, comme ça, je saurais que tout est OK.

Ce que je vais faire, je vais te donner la parole, Giovanni. Tu vas pouvoir me dire un petit peu où est-ce que tu en es ? Salut à toi.

Giovanni : Ça va ?

Kendy : Ah c’est Giovanni, tu vas bien ?

Giovanni : Oui, ça va, ça va. En plus, on est en train de tester là sur la TV pour voir si ça passe.

Kendy : Ah vous êtes sur la télé là ? 

Giovanni : Oui, on est sur la télé. Tu m’entends mal ?

Kendy : Je t’entends un peu loin, mais je t’entends. 

Giovanni : Non, en fait, on s’est connecté aussi aujourd’hui là, parce que comme ça nous a embêtés de ne pas pouvoir participer à ton séminaire duo, on voulait entendre d’autres personnes pour savoir comment s’est passé, ce que vous avez partagé.

Kendy : Je t’avoue, moi j’ai beaucoup aimé, en tout cas de mon côté, j’ai beaucoup aimé, c’était l’occasion aussi de rencontre les sprinteurs, je les avais eu qu’au téléphone, quoi. C’était une bonne occasion. Et puis, ouais, ce qui était cool aussi, c’est que certains sprinteurs ont présenté un peu leur projet. Donc franchement, en tout cas, de mon point de vue, j’ai beaucoup aimé. Mais bon après, c’est dommage que vous n’ayez pas pu être là. Franchement, j’ai bien apprécié. Ce sera pour la prochaine fois.

Giovanni : Exactement, la prochaine fois. De notre côté à nous, toujours dans l’attente. Normalement, cette semaine, j’espère que ça va être décisif. Normalement, on a une réponse fin de semaine. Donc on attend. Et pas plus tard que cette après-midi, j’étais encore au téléphone avec un autre courtier, qui même s’il a vu que le délai est réduit là, il va mettre le paquet pour nous dès demain pour pouvoir espérer le plus quoi. 

Kendy : OK, je vois. Non mais c’est cool, c’est ce qu’il faut faire pour avancer. Alors, c’est vrai que pendant la session, on a eu une grosse discussion dessus parce qu’il y a beaucoup de personnes effectivement qui avaient des difficultés au niveau du financement. Et je dis : ça se joue des fois à rien, une fois un contact ou à une personne. Mais il y en a effectivement que ça paraît très simple, et après il y en a pour qui, mais comment ils font, c’est super simple. Là, je pense notamment à Johnny qui là encore, il parlait d’un futur projet. Pour certains ça paraît vraiment easy et il y en a d’autres, c’est un peu plus complexe. Mais en tout cas, il faut pas lâcher.

Giovanni : On ne lâche pas, donc… Bon je suis légèrement un peu stressé de la réponse (Rire.) Mais sinon, on est toujours motivé et on attend la réponse cette semaine. Et pourquoi pas des autres courtiers qu’on a en contact maintenant, on attend leurs réponses aussi. Mais dans l’attente quoi. 

Kendy : OK je vois. Non, c’est ce qu’il faut faire et puis il ne faut rien lâcher en tout cas. 

Giovanni : Non non non, jamais, jamais. Et on va écouter aussi… appeler l’autre, qu’est-ce qu’il en est et voilà.

Kendy : Bon, j’espère qu’il y en a beaucoup qui vont se connecter puisque comme ils étaient tous en week-end, je sais pas on sera beaucoup ce soir, mais bon. Laure m’a dit qu’elle devait venir normalement. Ouais, de toute façon je donnerai la parole et on verra bien ceux qui vont arriver. Mais l’idée, c’est qu’on puisse avancer quoi.

Giovanni : D’accord. Kendy, dernière question. Au total, vous étiez à combien de sprinteurs à peu près ? 

Kendy : Là on était 40 au total. 

Giovanni : Ah ouais, quand même, c’est bien ça.

Kendy : Staff compris, donc c’est-à-dire on était quatre du staff, c’est-à-dire moi, le photographe et les deux mecs, on était 42, ouais donc ça veut dire 38 membres du programme au total. Non, franchement c’était cool. 

Giovanni : Franchement, je suis allé travailler, mais j’avais travaillé embêté parce que j’ai dit : Ah ouais, le travail là, ça commence à me gonfler.

Kendy : Ouais, j’imagine mais même il y en a deux qui devaient venir et qui ne sont pas venus au final parce qu’il y avait le boulot et tout. Mais franchement je te dis ouais, c’était lourd. Moi, j’ai beaucoup apprécié et puis ça m’a fait plaisir de voir les sprinteurs en live. Après, je les avais eus qu’au téléphone et du coup, et même je me suis amusé à me dire : OK, donc j’essaie de deviner le prénom quoi, parce que moi, il y en a plein que je n’ai jamais vu. Non, c’était drôle, c’était vraiment sympa en tout cas, de mon point de vue. Mais bon de toute façon, je vois qu’il y a d’autres personnes qui étaient là du coup, je donnerais la parole à d’autres sprinteurs, comme ça ils pourront te donner un petit peu leur retour.

Giovanni : Voilà, c’est ça aussi, je voulais entendre ce soir leur point de vue. Comment ça s’est passé et tout. Mais comme je t’ai dit, moi de notre côté toujours en attente, normalement cette semaine, c’est censé être une semaine cruciale on va dire, donc on verra bien.

Kendy : Bon, ça marche. En tout cas, dès que tu as du nouveau, tu me tiens au courant. En parlant, tiens, il y a un sprinteur qui m’a dit qu’il va signer là mercredi, je sais même pas… 

Giovanni : Ah ouais. À chaque fois que tu dis ça, j’ai l’impression que je perds 10 ans, à chaque fois.

Kendy : Mais lui, je ne savais même pas qu’il était aussi avancé. Parce que lui, il ne vient pas trop aux Sessions questions-réponses et tu vois, il pose une question, il dit : Oui, la CASDEN m’a suivi et tout. Et on lui demande…

Giovanni : Oui, mais la CASDEN, je connais ça en plus hein. C’est parce qu’il m’envoie ça dans mon travail en plus, cette banque-là.

Kendy : Franchement, mais il faut que tu les contactes. Mais je savais pas que tu étais à la CASDEN, c’est vrai mais toi, tu es fonctionnaire. Franchement…

Giovanni : Non, je suis fonctionnaire et ils m’ont proposé cette banque-là mais moi, j’avais refusé au début.

Kendy : Putain, mon gars (Rire.)

Giovanni : Ah non, ah ouais, non non mais j’avais mon Assedic là.

Kendy : Parce qu’avec la CASDEN, tous ceux qui sont fonctionnaires et tout, ils ont des taux de malades mentaux avec la CASDEN. Ouais, mon gars, là il faut que tu les appelles. Dès demain, tu vas à la CASDEN mon gars.

Giovanni : Bah ouais, je vais regarder ça alors, je vais regarder ça.

Kendy : Si si, mais c’est vrai que je ne pensais pas que tu étais assimilé fonctionnaire, mais ouais, si tu es assigné fonctionnaire, mon gars, il faut que tu y ailles.

Giovanni : Ah ouais, je vais regarder ça, j’irai peut-être à *00:08:44* mais je vais regarder ça dès demain.

Kendy : Ouais, parce que justement Johnny, il disait que le problème avec la CASDEN c’est qu’ils ne proposent pas un gros différé. Mais par exemple Morgan, il a réussi à avoir 12 mois de différés, alors ce n’est pas excellent, mais c’est déjà très bien quoi. Si déjà les mecs qui te suivent et que tu as un différé, moi je te dis on y va quoi. Et là Morgan, il signe mercredi. Je pense que j’irais le voir peut-être fin de semaine prochaine ou début de semaine prochaine, deux semaines d’après et puis on mettra sûrement sa petite présentation dans le groupe.

Giovanni : D’accord, non, mais je veux regarder ça parce qu’effectivement, il y a deux banques, il y a CASDEN et il y a une autre banque aussi, mais je pense que c’est la Société Générale qui est derrière ça, BFM. BFM mais c’est la Société Générale qui est derrière.

Kendy : D’accord, OK. BFM je ne connais pas, mais CASDEN c’est rattaché normalement à la Banque Populaire. Ouais, mais ça, c’est la CASDEN. La CASDEN, c’est rattaché à la Banque Populaire et c’est la CASDEN qui te fait le prêt mais c’est sur le compte Banque Populaire que tu auras tes prélèvements et tout ça, quoi en fait.

Giovanni : D’accord. C’est bon à savoir.

Kendy : Ouais, il faut que tu les contactes. Ouais, il faut que tu regardes ça. Et puis si ça se trouve, tu auras peut-être deux-trois accords donc, ce sera déjà une bonne chose pour pouvoir avancer quoi.

Giovanni : Effectivement. Bah OK.

Kendy : Oui ça marche. Et tu me tiens au courant.

Giovanni : OK, Kendy. À tout à l’heure.

Kendy : OK, à tout à l’heure. En tout cas si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonne la parole.

Giovanni : Il n’y a pas de souci, OK.

Kendy : Ça marche.

Giovanni : Ça marche.

Kendy: All right. OK.

Je vois qu’il y a notre ami Johan. Johan, je te donne la parole du coup. Je sais que tu étais à la session, mais au moins comme ça tu va pouvoir donner un petit peu ton retour d’expériences de ce week-end. Comme il y a Giovanni qui était là, tu vois qu’il n’était pas là du moins. Tu nous apportes ton retour.

Ça va ? Tu m’entends bien ?

Johan : Ça va, nickel. Parfait.

Bah écoute, déjà mon retour pour le week-end. Ouais, donc moi j’étais très satisfait, en fait. Le truc c’est que… donc là je parle pour Giovanni ou même pour d’autres qui n’étaient pas là éventuellement. Non non, déjà l’atmosphère, l’ambiance, on est entouré de sprinteurs donc on est tous dans le même, je ne sais pas, le même délire, enfin on va tous dans la même direction, ça, c’est plutôt cool. Et puis tu as des gens plutôt avancés, tu as des mecs qui envoient du lourd comme Johnny, comme Malik, comme Selim, comme Stevens qui sont passés et qui vont vraiment envoyer du lourd, quoi. Ils ont présenté le projet et voilà quoi. Donc ça, c’était super. Quoi d’autre ? La bouffe était bonne, la bouffe était très bonne, franchement. L’hôtel, le lieu, c’était frais. Boulogne, tout ça et voilà.

En fait, moi, j’étais vraiment venu parce que moi je suis un peu comme toi Giovanni. Je parle à Giovanni, mais ça concerne d’autres personnes. Je suis un peu comme toi, moi je galère grave sur le financement donc essayer des solutions, on va dire, concrètes. Stevens et Malik aussi, ils m’ont dit ça, mais Kendy aussi a confirmé. Le truc, c’est que moi, je ne suis pas fan des courtiers et je galère un peu. Donc là, ce que je vais faire, c’est aller dans la ville où j’investis et du coup, contacter les banques directement. Et en fait le truc, c’est de ne pas passer par le courtier forcément, mais de passer directement par la banque et de demander le gestionnaire de patrimoine ou le directeur directement. Sur ce genre de projet, voilà, t’essaies d’avoir une personne qualifiée parce que le risque, c’est de tomber sur un conseiller qui ne s’y connaît pas et qui ne va pas bien te conseiller ou qui ne va pas bien comprendre ton projet, qui va éventuellement mal défendre ton projet. Je ne sais pas si ça fait un peu le truc.

Kendy : Ouais, non mais c’est bien joué. C’est bien expliqué, c’est clair, c’est net, c’est précis donc ça, c’est cool.

Johan : Du coup là-dessus, moi, donc action directe du coup. Moi ce que j’ai fait derrière, c’est que bon, on peut dire les noms, moi c’est *Nevele* un peu qui m’intéresse. J’ai tapé Banque *Nevele*, là j’ai fait une liste, je n’en ai que 12, mais bon, j’ai fait une liste et du coup j’ai appelé, j’ai appelé, j’ai appelé. Il y en avait beaucoup qui était fermé aujourd’hui, mais j’ai pu en avoir une, HSBC. Du coup, j’ai pu avoir quelqu’un qui va me mettre en relation directement avec le pôle immobilier compétent, donc a priori les gestionnaires, tout ça. Après, j’en ai d’autres mais bon, il y en a qui étaient fermés le lundi, il y en a où c’est un numéro payant bizarre, mais voilà j’ai pu en contacter une.

Là, ce que je vais faire ce soir, c’est envoyer des mails et demain, je fais une deuxième couche et je rebondis éventuellement sur les mails. Ce soir je balance au moins dix mails et voilà quoi.

Kendy : Mais c’est cool mon gars, c’est ce qu’il faut faire, avancer et puis envoyer du volume et puis comme ça au moins…

Mais c’est vrai que c’est facile de contacter les directeurs, c’est vraiment top. Moi, justement quand j’avais fait, je crois que c’était mon troisième projet, j’étais avec un conseiller, mais le mec il ne comprenait rien à mon dossier. Et puis après, le directeur il m’a dit : bah écoutez Monsieur Polestin. Parce que je lui dis clairement, il me demandait des documents, je n’ai pas envoyé et tout et puis il me dit : Ouais, mais Monsieur Polestin… Du coup c’est leur directeur qui m’a écrit quoi, je dis : ouais, mais moi, vous m’avez mis quelqu’un… du moins, ce n’est pas de sitôt quoi. Il me dit : Ah bon, mais vous voulez quoi ? Vous voulez que je vous prenne en direct ?  Je dis : bah ouais, mais parce que là, ça ne va pas. J’envoie un mail, le mec il me répond une semaine après. En plus il n’était pas réactif et il ne comprenait rien, du coup… Ouais, on a travaillé en direct avec le directeur et ça, c’est beaucoup plus simple. Alors moi, j’ai des directeurs dans mes contacts, mais en général, eux, ils ne dépassent pas leur région, leur ville. C’est genre tu es à Douai, le mec, ce sera à Douai et les alentours. Si tu vas ne serait-ce qu’à Arras, ce n’est déjà plus dans son jalon. C’est pour ça qu’aller directement dans la ville où tu investis, c’est plus laborieux, c’est vraiment plus laborieux parce que ça demande vraiment de se casser les dents et d’aller voir des gens, mais bon après, c’est une solution aussi quoi.

Johan : Bah tu sais Kendy, moi, ça ne me fait pas peur s’il le rejette là, donc ça ne me fait pas peur, moi je m’en fous moi, c’est le résultat qui compte. Bon, là j’avais pas tellement de nouvelles à t’annoncer, juste que voilà, là on va faire action directe. Le truc, tu me diras *je l’ai appris ce* samedi, donc là je le mets en application et puis on verra. Mais je pense pouvoir peut-être déjà faire un retour jeudi pour savoir s’il y en a un au moins qui m’a répondu et pour savoir s’il y en a qui me suivent quoi, donc voilà.

Kendy : *Il faut choisir une banque en tout cas* et puis on avance quoi, c’est ce qu’il faut faire. Non mais ça marche.

En tout cas, merci pour ton retour et puis si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonne la parole alors Johan.

Johan : Yes, merci Kendy ! 

Kendy : Allez, je t’en prie Johan, à tout à l’heure. All right.

Du coup, je vais donner la parole à une sprinteuse. Je vais te donner la parole Laura, comme ça tu pourras donner un petit peu ton retour d’expériences puisqu’il y a Giovanni qui n’était pas là, du coup, qui voulait avoir un retour d’expériences de ceux qui étaient présents. Comme tu étais là, tu pourras dire un petit peu comment tu as vécu le truc. Et puis après, si tu as une autre question, tu pourras la poser, comme ça je pourrais la traiter. Attends, je vais te donner la parole, hop !

Salut Laura ! Tu m’entends ?

Laura : Ouais, c’est bon, je t’entends. Salut à tous, salut Kendy !

Alors pour ce qui est du retour de la rencontre des sprinteurs, franchement top. Alors nourriture, j’ai pris en cours, je ne sais pas qui l’avait dit, mais la nourriture, c’était vraiment très bon. Bah le lieu, voilà, tout était sympa. Après ce qui était pas mal, c’est qu’on a pu en dehors même des vidéos que tu as pu poster, en dehors même des présentations des sprinteurs qui ont déjà leur projet, on a pu discuter, poser un peu plus de questions, approfondir certains sujets et même par moment, ceux qui ont déjà leur projet ont pu aussi nous faire leur REX, enfin nous donner des conseils par rapport à leur REX. REX, c’est pour ceux qui ne savent pas, retour d’expériences. C’était vraiment du partage de bonnes pratiques, d’astuces, de l’échange. Donc c’était top, vraiment côté humain, côté sprinteur avec des personnes qui ont le même mindset que nous. Ouais, c’est très enrichissant, en fait, c’est moteur, quoi. Donc c’est tout.

Kendy : Alors je ne sais pas si tu avais des questions, toi, du coup par rapport à ton projet ?

Laura : Des questions, non. Après, où est-ce que j’en suis ? Toujours au même point. Pour ceux qui n’étaient peut-être pas là ou avec lesquels je n’en ai pas parlé samedi. Bon bah du coup, j’ai fait deux propositions d’achat, je suis en attente. Il y a une proposition, il y a une histoire de tutelle. Et l’autre proposition, bah je verrais. Donc, mes offres n’ont pas été refusées aujourd’hui. Donc à voir, sachant qu’entre les deux, il y a un que je préfère le plus. Demain, je vais peut-être passer un coup de fil à l’agent immobilière pour juste lui dire : Pour information, j’ai fait une autre proposition que je devrai une réponse assez rapidement donc, à vous de voir. Enfin, juste pour lui faire comprendre (Rire.) Autant il bluffe aussi, même si bon, ce n’est pas… voilà, moi, j’ai envie que le gars *compte*. Parce qu’en fait, la deuxième proposition, pour l’historique, pour ceux qui ne savent pas, la deuxième proposition, en gros, c’est une double maison à 170 K. J’ai fait une proposition à 80, ça n’a pas été refusé, donc c’est déjà un premier pas. Mais l’agent immobilière m’avait dit qu’il y a un an, quelqu’un avait proposé 85, le mec avait refusé, etc. Bon, juste un petit coup de pression gentil pour se dire : Bon, les gars, je n’ai pas que vous, votre bien m’intéresse, mais je n’ai pas que vous. Si jamais vous ne répondez pas *à votre charge*.

Kendy : Alors pour le prix, tu as dit le prix du bien affiché au départ, c’était combien ?

Laura : 170, c’est une double maison, ces deux maisons sont collées. 170 pour les deux. Et moi, je propose 80 frais d’agence inclus, 170 frais d’agence inclus et moi, je propose 80 frais d’agence inclus.

Kendy : Donc 90 000 en moins alors.

Laura : Euh bah ouais (Rire.) Écoute, moi, ils m’ont pas refusé. Le gars aurait pu me dire : Bon bah tu es bien mignonne mais ciao quoi. Il n’a pas dit ciao, il veut prendre le temps de la réflexion. Et en même temps, d’un côté, l’agent immobilière me dit : Ouais, peut-être que proposer 100, ce serait bien. Et d’un autre côté, elle me dit : Oui, quelqu’un avait proposé 85. Bon, moi je propose 80 parce que peut-être qu’on va négocier et puis après, je vais monter un chouia mais pas trop non plus. Si je l’ai, je l’ai ; si je ne l’ai pas, next, on passe à autre chose. Et à côté de ça, je regarde les biens. Je vais à partir de… là aujourd’hui, je n’ai pas eu le temps, mais demain, j’appelle pour pouvoir fixer des rendez-vous et puis continuer à visiter hein.

Kendy : Ouais. Non, tu as raison.

Laura : C’est au plus rapide, au plus rapide et puis voilà. Si le gars, il ne veut pas lâcher son truc à 80 ou peut-être je n’en sais rien, 80 ou 90 je n’en sais rien, bah il va le garder encore un an ou deux, je n’en sais rien. On est parti pour deux ans et plus et puis basta hein.

Kendy : Et il se débrouille, quoi. Non, t’as raison. 

Laura : Bah oui, voilà.

Kendy : Tu as raison, non ça, c’est cool.

Laura : Voilà où j’en suis.

Kendy : Non, c’est cool.

Laura : Et puis l’autre bien, c’est prix affiché 75… non 81 frais d’agence inclus, je crois. Ouais un truc comme ça, entre 75-80 et j’ai proposé 40. L’agent immobilier m’a dit : Ouais, quelqu’un a proposé 70. Ça me paraît un peu louche hein, mais bon. Je lui dis : OK, merci pour l’info  et puis c’est tout, je m’arrête là. Si ça passe, ça passe, si ça ne passe pas, tant mieux pour celui qui a proposé 70 s’il existe vraiment.

Kendy : Non, tu as raison, c’est ce qu’il faut faire.

Laura : Ouais, donc du coup je n’ai pas de question.

Kendy : Tu auras un retour cette semaine, je pense, donc après tu verras bien.

Laura : Oui, j’ai mis vendredi minuit, donc ils ont jusqu’à jeudi 23 heures 59 pour pouvoir me répondre par courrier hein.

Kendy : Ils vont te répondre.

Laura : Peut-être que j’aurai une bonne nouvelle, peut-être pas, à voir.

Kendy : Non mais on verra bien. De toute façon il faut envoyer et puis après tu verras. Et puis malgré ça, il ne faut pas que tu arrêtes tes recherches, il faut quand même que tu continues d’aller monter. Parce que si fin de semaine là, tu te retrouves avec une réponse, je ne sais pas, peut-être négative, que tu te ne retrouves pas perdue. Il faut que tu puisses te dire : OK, même si c’est négatif, j’ai déjà quelque chose dans les tuyaux qui me permettent de pouvoir justement pallier à ça et puis avancer quand même sur ton projet.

Laura : Oui, c’est ça. J’ai déjà alimenté le tableau là, il me reste juste à appeler les agences pour fixer les rendez-vous et puis next hein, vraiment enfin je continue quoi, je trouverais bien un truc à un moment.

Kendy : Ouais, c’est ça. Non mais c’est ce qu’il faut faire et puis on continue. Bien c’est parfait.

En tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésite pas, moi je te redonne la parole et puis comme ça on va avancer du coup. À tout l’heure.

Laura : Ouais, ça marche. OK ça marche. À toute ! 

Kendy : All right. Salut Mathieu ! Je vais te donner la parole Mathieu, tu vas pouvoir nous dire un petit peu ton retour d’expériences et puis poser ta question si tu en as une. Attends, juste que je te donne la parole. Yes.

Mathieu : Salut, salut Kendy, ça va ?

Kendy : Ça va et toi-même Mathieu ?

Mathieu : Ça va depuis samedi ?

Kendy : Ça va nickel et toi ?

Mathieu : Ouais, écoute, ça va très bien, c’était top, c’était top samedi. Moi ce que j’ai surtout aimé, c’était rencontrer les autres, quoi. Ça, c’était vraiment chouette. Comme Laura l’a dit là, c’est galvanisant et puis tu as des retours d’expériences. Voilà, on s’est échangé le numéro de téléphone avec Loïc puisqu’on s’est rendu compte qu’on…  

Kendy : Vous êtes sur le même secteur. Ouais, c’est ça, c’est ce que je te disais effectivement, vous êtes sur le même secteur, ouais.

Mathieu : ça nous a fait bien marrer. On connaissait les biens et tout ça, alors à table on se dit : ouais, tu vois cet immeuble-là et tout. Ouais enfin, c’est pas mal (Rire.)

Kendy : Ah ouais, je ne savais même pas que vous aviez eu des biens en commun, en fait. Je sais que vous êtes dans le même secteur parce que quand on était au téléphone, je lui avais dit : j’ai un membre sur ce secteur-là. C’est cool, c’est drôle, ouais.

Mathieu : Donc voilà, les rencontres avec des gens trop sympas. Enfin Selim, il est marrant et tout, j’ai bien rigolé, c’était cool. Et puis en plus, les intervenants étaient vraiment scotchant : Johnny, Malik, ouais tous et puis zut ! j’ai oublié son prénom, celui qui est passé en dernier, qui a quasiment fini.

Kendy : Ah, Boris ?

Mathieu : Ouais, Boris. Puis il est trop gentil en plus, Boris, c’était super sympa. Et puis il y en a un qui m’a scotché, alors c’est Stevens, hallucinant. Le mec, il est banquier, il est fiscaliste, il est ingénieur en travaux, il a une connaissance du cout, il est incroyable (Rire.)

Kendy : Mais après le truc c’est qu’une fois que tu es passé par là, mais tu te retrouves vraiment dans le bain, quoi. Et c’est ce qui va vous arriver tous, c’est-à-dire que moi aujourd’hui, quand on me pose des questions, c’est comme si on me demandait de me présenter parce que je suis passé par là, j’ai vu tout le truc donc je n’ai même pas à réfléchir, j’ai juste à raconter ce que j’ai vu. C’est comme si on te disait : qu’est-ce que tu as vu dans le film, quoi. Mais moi, je l’ai vu plusieurs fois le film du coup, je vais te raconter toute l’histoire. Et c’est un peu ça qui va vous arriver aussi, c’est-à-dire que dès que tu auras fait une opération ou deux opérations en fait, ouais, tu seras mordu de l’immobilier et ouais, le truc sera clair comme de l’eau de roche. Donc c’est cool.

C’est ce qui est bien, c’est que plus tu vas côtoyer des gens comme ça, plus tu vas avoir de connaissances et puis après, je te dis ce sera un roule ma poule quoi, donc c’est cool. Ça, c’est bien, ça me fait plaisir que vous ayez pu échanger et puis que ça vous ait donné un peu plus de connaissance sur chacun des aspects, quoi.

Mathieu : Non non, c’était super. C’était à refaire et on a passé une super journée, c’est passé super vite, c’était très très bien.

Kendy : Non, mais c’est cool. En tout cas, j’espère pouvoir refaire ça. C’est comme les Sessions questions-réponses, je me suis dit : je teste et puis si ça vous aide, je les garde. Et puis là, la rencontre, je me suis dit : on teste, on voit ce que ça donne et puis si ça vous intéresse, du coup on gardera. Mais je pense que c’est un concept, moi, j’ai beaucoup apprécié. Moi au début, je ne pensais même pas parler autant parce que j’avais plus envie que les sprinteurs parlent et tout, et puis je n’avais jamais fait ça non plus. Fanchement, c’était enrichissant sur tous les points, moi ça m’a fait plaisir. Et surtout vous rencontrer parce que je ne vous connaissais pas, en tout cas de visage quoi, donc c’était cool.

Mathieu : Non, c’était très bien, ça a été très bien.

Kendy : Ouais du coup, l’année prochaine, là il faudrait que tu te débrouilles pour que tu présentes des trucs hein Mathieu.

Mathieu : J’espère, j’espère comme Johnny l’année prochaine.

Kendy : C’est ça, exactement, tu dis : bon, je parle du quatrième immeuble ou pas ? Ah bon ? Et le cinquième, j’en parle ou pas ? (Rire.) Non c’est cool. Franchement, c’est ce qu’il faut faire, il faut qu’on envoie du très lourd et puis que l’an prochain qu’on puisse présenter aussi des nouveaux projets et tout. Ça va être top. Ouais ça marche.

Et du coup, tu en es où, toi, par rapport à ton projet là. Est-ce que tu avances un petit peu ? Je sais que tu y étais le week-end, mais bon.

Mathieu : Alors pour moi, pour rappel, j’étais sur un projet assez grand quand même, un immeuble de 300 m². J’ai fait venir quelqu’un jeudi, il y a quasiment 15 jours, là maintenant. Et malheureusement, j’ai plus de son, plus d’image, il ne répond pas aux mails. Donc je suis un peu méfiant, je trouve que ça part mal.

Kendy : Ouais, vas-y.

Mathieu : Ce que j’ai fait, c’est Laura qui donnait le conseil ou Célia, je ne sais plus, l’une des deux, d’appeler la maison des travaux locale. C’est ce que j’ai fait et là, le jour et la nuit, quoi. Le mec, en tout cas, le courtier qui est sur mon secteur, il a l’air hyper professionnel, il m’a posé plein de questions. Il m’a dit : j’en ai pour une heure et demie pour faire une estimation du bien et l’autre, il est resté genre un quart d’heure. J’ai rendez-vous avec lui demain.

Kendy : Ouais, c’est ça. Non mais comme c’est ce que je disais à Laura aussi, la maison des travaux, pour avoir des devis, c’est leur métier quoi. Donc le mec, il fera toujours *au pire*. En gros, c’est juste qu’on lui demande de faire les devis, donc en fait, il faut qu’il le fasse bien. Le simple truc c’est que bon, moi je trouve qu’à la fin, on leur donne beaucoup d’argent pour pas grand-chose, mais ça peut toujours être bien pour avoir déjà prix et estimation.

Mais après, pour moi, il faudra quand même que tu voies d’autres artisans quoi, parce que la maison des travaux, elle, son métier c’est trouver des artisans, ce n’est pas de faire les travaux. Même s’il vient, non mais je veux qu’il vienne quand même avec d’autres artisans pour être plus précis, quoi. Il ne pourra pas te faire un devis très précis. Alors peut-être qu’il a l’habitude de travailler avec les artisans donc, il aura une fourchette mais bon, ce ne sera jamais le devis final, mais au moins ça te permettra d’avoir une estimation assez rapidement. Et après, l’idée c’est quand même de voir avec d’autres artisans pour avoir justement d’autres devis et pouvoir comparer ce qui a été fait ou ce qui doit être fait.

Mathieu : OK, d’accord. C’est quoi leur mode de paiement du coup ?  

Kendy : Alors c’est un peu comme tous les courtiers, c’est-à-dire qu’eux en fait, ils sont payés comme étant des apporteurs d’affaires. Par exemple l’artisan, si c’est un projet à 100 000, lui, il va prendre peut-être 7 % sur le projet à 100 000 et du coup, l’artisan va lui verser 7 000 balles.

Mathieu : Ouais, je comprends, OK.

Kendy : Et du coup c’est pour ça que lui, il va toujours faire le devis. Après il fera venir des artisans mais lui, plus il y aura de travaux, plus il fera de l’argent. C’est pour ça qu’il sera intéressé pour venir faire des devis sur des projets comme le tien parce qu’il sera intéressé. Une salle de bains à 3 000 balles, pour lui, c’est vite pas très intéressant quoi, même s’il gagnait 10 % sur 3 000 balles, ça fait 300 €. Ce n’est pas intéressant pour lui. Par contre, s’il a des bons artisans et tout, ouais, ça peut être beaucoup plus *calme*.

Mathieu : D’accord, OK. Là, demain, je ne le vois pas pour l’immeuble, c’est pour une maison. Et puis je vais essayer de le faire revenir pour l’immeuble aussi parce que l’autre, il a complètement arrêté de se manifester, ça je n’aime pas ça. Puis je tiendrais au courant sur les estimations qu’il a donné.

Kendy : OK tu me diras et puis en tout cas, ça te permettrait à toi de savoir si tu peux avancer ou pas sur ce projet-là. Mais c’est déjà une bonne chose d’avoir une autre estimation plus précise de ce que toi, tu peux faire n’étant pas dans le milieu quoi.

Mathieu : OK, d’accord.

Kendy : Non, mais ça va. En tout cas, tu essayes d’avoir un retour rapidement et puis ouais, comme ça toi jeudi, tu me tiendras au courant. Et même entretemps, tu peux continuer de chercher d’autres artisans, il ne faut pas que tu t’arrêtes juste à ça, ça ne t’empêche pas de voir d’autres artisans. Plus tu vas voir des gens, mieux ce sera, plus tu auras des retours.

Parce que tu vois par exemple Selim, il a expliqué ça aussi. Au départ, Selim, il me disait : Les mecs qui avaient dit des devis à 200 €. Il y en a même qui lui avait dit un truc genre 250 000 €. Je lui ai dit : Mais Selim, ça, c’est mort. Le mec, il est arrivé, il a regardé, il a fait 5-10 minutes, il dit : 250 000 €. Bien sûr, le gars même, s’il se trompe, ce n’est pas grave, même s’il se trompe de 10 000 € ou 20 000 €, ce n’est pas grave parce qu’il a chiffré tellement qu’il a énormément de marge. Donc pour éviter de tomber dans ces travers-là, il faut effectivement avoir plusieurs devis et puis comme ça, tu peux voir vraiment celui qui sort complètement du lot et là, tu dis : Bon OK, lui, il était vraiment à côté de la plaque.

Mathieu : D’accord, OK. Donc je vais continuer à chercher alors, OK.

Kendy : Ouais, fais ça et puis tu me tiendras au courant fin de semaine là pour savoir comment ça s’est passé quoi, OK ?

Mathieu : OK Kendy.

Kendy : Ça marche. Si tu as d’autres questions, n’hésite pas Mathieu, je te redonne la parole.

Mathieu : Ça marche. A plus !

Kendy : OK, ça marche, à tout à l’heure. All right.

Alors Laura qui pose une question : Si on passe par un artisan… Alors, attends. Sachant que les courtiers de la maison des travaux prennent un billet de 6 à 10 000, ce qui est déductible si on passe par un artisan. Alors, il peut déjà *retrouver* les artisans pour le moment ou il aura un retour positif tout de suite à son offre d’achat ?

Alors la maison des travaux, c’est vraiment comme un courtier, donc ils travaillent rarement au forfait, ils vont toujours travailler normalement, la majorité du temps, ils travaillent au pourcentage. Si le chantier c’est 100 000, comme je disais, je ne sais plus c’est quoi exactement leur pourcentage, mais ils vont prendre, je ne sais pas, 6-7 % sur le chantier. Et du coup, l’artisan, lui, l’avantage qu’il a de travailler avec la maison des travaux, c’est que le courtier a déjà plus ou moins mâché le boulot pour lui. C’est-à-dire qu’il sait que quand il va se déplacer, ce n’est pas pour enfiler des paires parce qu’en gros, les gens des fois, les artisans, les problématiques qu’ils rencontrent. Alors ça, c’est quand tu discutes avec des artisans que tu apprends ça, ils te disent : Ouais, en gros, les gens, ils m’appellent pour monter un meuble à 50 balles. Moi j’ai pas le temps pour ça. Le mec il a des charges, donc clairement s’il se déplace, c’est pour un chantier. Et des fois, il y a des gens qui les contactent en leur disant, pour avoir une idée, pour avoir des conseils : Moi je vous ai appelé pour avoir des conseils. Ouais mais Madame, moi, le devis, je le paye. Pour venir là, je paye. Surtout quand tu passes par les trois devis, ce genre de chose, le contact, l’artisan il le paye. Pour éviter de perdre du temps et puis de l’argent avec des gens qui ont des projets inutiles, c’est beaucoup plus avantageux pour l’artisan de passer par un courtier même si ça lui coûte de l’argent des fois, parce que ça lui permet de remplir son calendrier sans trop bosser. Mais l’idéal pour toi en tant qu’investisseur, c’est d’être en contact direct avec cet artisan-là puisque s’il est efficace, s’il est en direct avec toi, tout le monde est content dans l’histoire, tout le monde est gagnant. Toi, tu es gagnant parce que tu n’as pas payé — du moins tu n’as pas payé la maison des travaux — et puis lui, il est content aussi.

L’idéal, c’est quand même de passer en direct parce que même si la maison des travaux te dit : Oui, on va suivre le chantier, ça c’est du gros flan parce que de toute façon, moi je préfère que ce soit toi qui suives ton chantier et que tu sois maître de ton projet.

Attend Laura, je te donne la parole, comme ça tu vas pouvoir poser ta question, je n’ai pas bien compris ce que tu veux dire. Attends. Yes Laura.

Laura : Oui. En fait, ce n’était pas une question, je réagissais juste à ce qu’ils disaient. » est qu’en fait, moi de ce que j’ai vu, les artisans, ils veulent avoir du concret donc, ils passent par des courtiers en travaux tels que la maison des travaux. Et en plus, faire le devis, ça leur demande du temps, de l’investissement donc en fait, ils se retrouvent par moment à faire des devis pour des gens qui n’ont rien derrière, après. Bon, c’est du temps perdu.

Kendy : Exact.

Laura : En fait ce que je voulais dire, c’est qu’il peut dans un premier temps passer, je pense, par la maison des travaux pour avoir une estimation globale et après, comme tu dis, une fois qu’il a la réponse positive à son offre d’achat, là, il passe par des artisans. Parce que de toutes les façons la maison des travaux, ils prennent un pourcentage mais bon, enfin en général ça peut faire peut-être 6 à 10 K et même plus, alors que ces 6 à 10 K, il peut les mettre dans ses travaux avec son artisan, directement plutôt que de payer deux personnes.

Kendy : Exactement.

Laura : C’est ça en fait, c’est juste ce que je voulais dire.

Kendy : Ouais, tu as raison, c’est exactement ça. Et puis Mathieu dit merci pour le conseil Laura.

Laura : OK, de rien.

Kendy : Donc voilà. Mais en tout cas, merci pour ton intervention Laura.

Laura : De rien !

Kendy : Ça marche. All right!

Je vois qu’il y a une autre sprinteuse qui est là. Bah écoute Esther, je ne sais pas si tu es dans le train ou pas. Je vais te donner la parole, comme ça tu pourras donner un petit peu ton retour d’expériences de ce week-end et puis me dire un petit peu où est-ce que tu en es dans ton projet pour qu’on sache où est-ce que tu en es. Alors je vais te donner la parole. Attends, boum !

Eunice : Oui, bonjour ! »

Kendy : Coucou !

Esther : Bonsoir plutôt. C’est Eunice pas Esther. J’ai parlé sur le même compte, en fait, je pensais que c’était que son nom qui pouvait être validé.

Kendy : Non, OK. Il n’y a pas de souci. Alors comment vas -tu Eunice.

Eunice : Ça va, merci, ça va bien.

Kendy : Bon tu es revenue maintenant, c’est bon ?

Eunice : Oui. Je suis revenue le samedi là, ça m’a bien motivé, c’était vraiment super. J’ai vraiment apprécié le moment. L’organisation était au top, le repas pareil. Franchement c’était vraiment bien, de discuter avec d’autres investisseurs, c’était reboostant. Génial, merci beaucoup pour ça.

Kendy : Je t’en prie. Alors du coup, j’espère que ça t’a remis sur le terrain, maintenant, tu vas aller nous chercher des projets là alors.

Eunice : Oui oui oui. Bah déjà j’ai contacté l’artisan que tu m’as proposé là. Il doit visiter mon bien le 04 parce qu’il est peu surbooké donc, le 04 il doit visiter, on prendra rendez-vous par la suite.

Kendy : D’accord, OK, c’est une bonne chose, au moins comme ça, ça te permet d’avancer un peu sur ça, parce qu’il ne faut vraiment pas que tu lâches quoi. Là c’est le moment où… c’est la période de flottement et tout. C’est peut-être un peu chiant. Et crois-moi qu’il y a encore des trucs plus chiants qui arrivent plus tard, tu poseras la question à Giovanni ou à Johan, ils savent de quoi je parle. Et si tu n’as pas compris, je parle des financements.

Eunice : Ah oui.

Kendy : Donc crois-moi qu’il y a des parties vraiment plus chiantes encore qui arrivent. Ce n’est vraiment pas maintenant qu’il faut lâcher. Parce que je te dis une fois que tu arrives bien à ce stade-là, après c’est vraiment que de la descente. Il faut imaginer que tu gravis la colline là et puis une fois que tu es arrivé au sommet, tu dois redescendre. Je ne dis pas que c’est de tout repos, mais en tout cas, c’est beaucoup plus simple de descendre et puis te dire : OK, il y a l’effort, le plus gros est passé et là, il faut juste assurer, faire en sorte de ne pas tomber quoi. Voilà, c’est ça qu’il faut se dire après, ça va tout seul.

Eunice : D’accord, OK. Je suis remotivée.

Kendy : Ouais, tu avances. Alors du coup, je ne sais plus, toi, tu es à quel stade par rapport à la signature là toi ?

Eunice : Non, je n’ai encore rien signé pour le moment. Ils ont juste accepté mon offre.

Kendy : OK, donc tu as même pas encore pris de rendez-vous pour le compromis alors ?

Eunice : Pas du tout, non, j’attends vraiment devis travaux.

Kendy : OK, je vois. Dans ce cas-là, tu vas pouvoir aussi… Parce qu’en plus, je crois qu’il y a un sprinteur qui m’a présenté ton bien, je me suis dit hop !

Eunice : Ah oui ?  

Kendy : Ouais, il y en a un qui m’a présenté ton projet. Ça, je l’ai déjà vu (Rire.)  

Eunice : Ah oui, dis-lui que c’est bon, c’est pris-là, c’est bon.

Kendy : Je me suis dit : ah ça, j’ai déjà vu, il y a une sprinteuse qui est dessus. Mais bon, après c’est toi.

Eunice : Ouais.

Kendy : À vous de porter une gamme, comme on dit chez nous.

Eunice : OK, exact.

Kendy : C’est ça, non mais en tout cas, essaie d’avoir un retour rapidement. Alors, attends, maintenant que je viens juste de réfléchir à ce que tu me dis là, l’information vient juste d’arriver à mon cerveau, tu m’as dit le 4 octobre, il va te faire un devis ?

Eunice :  Oui.

Kendy : Ça fait loin quand même hein.

Eunice : Ouais, il m’a dit toute cette semaine il est surbooké et donc du coup, à partir de la semaine prochaine, il a pris rendez-vous avec l’agence le 04 à 10 h.

Kendy : OK. Non, en fait le 04 c’est la semaine prochaine, c’est vendredi de la semaine prochaine, OK.

Eunice : C’est ça, ouais.

Kendy : OK. Ça va encore, ça va. Je pensais que c’était beaucoup plus loin. OK, non mais ça marche. En tout cas dès que tu as du nouveau, tu me dis et puis comme ça, on voit comment tu avances, mais il ne faut surtout pas laisser trop traîner le truc quoi, OK ?

Eunice : D’accord. OK, pas de problème.

Kendy : En tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonnerais la parole, quoi.

Eunice : D’accord, je te remercie.

Kendy : Je t’en prie, à tout à l’heure.

Eunice : Ciao !  

Kendy: All right. Je vais donner la parole à un sprinteur. Écoute Anthony, je vais te donner la parole, tu vas pouvoir nous donner ton retour d’expériences pour Giovanni qui n’était pas là et puis après, tu pourras poser ta question si tu en as une par rapport justement à ton projet. Alors, attends, normalement, hop ! Ça devrait être OK. Tu m’entends ?

Anthony : Salut ! Tu m’entends ?  

Kendy : Salut, Anthony, comment vas-tu ?

Anthony : Ça va et toi ?  

Kendy : Ça va nickel depuis samedi.

Anthony : Ça va. Là, il y a Kevin qui passe à la maison vite fait, là on était en train de regarder quelques biens.

Kedny : OK.

Anthony : Et puis voilà quoi.

Kendy : Ça marche et du coup, où en es-tu là sur ta liste de…

Anthony : Ce midi, j’ai rajouté quelques points dans mes favoris, ils ne sont pas mal. J’ai étendu aussi ma zone de recherche parce qu’elle est trop petite enfin, elle était très limitée même. Là je vois déjà les choses qui sont un peu mieux. Je le rajoute au fur et à mesure de mes analyses et je vais compléter ma liste au fur et à mesure.

Kendy : Mais c’est ce qu’il faut faire, après il faut bombarder en visite, y aller quoi, faire des visites, là des visites et après on y va quoi.

Anthony : J’essaie de voir des biens de qualité là pour aller en visite, mais je pense que pour la semaine prochaine, je peux commencer à voir les trucs très intéressants et me fixer sur des biens en fait.

Kendy : C’est cool parce que je te dis, franchement cette phase-là, ça peut aller très vite quoi. Une fois que tu as finalisé ça, ouais ça peut aller vite. C’est-à-dire une fois que tu as trouvé le bien, on est OK sur le projet en termes de travaux et tout ça, après c’est financement, boum boum boum et puis c’est parti quoi. Après tu vois, on peut avoir quelques freins au niveau du financement, mais si tu tombes sur la bonne personne tout de suite, franchement je te dis… on peut franchement se dire pour début décembre ou décembre en gros, tu pourrais déjà avoir quelque chose de sympa quoi. Mais il faut y aller, il faut vraiment faire du volume le temps de trouver le bien, faire les estimations, chercher les financements et tout, tant que tu peux, tu peux mettre *en passe* quelque chose.

Anthony : OK.

Kendy : Mais par contre avant ça, il faudra faire du volume. OK ?

Anthony : OK.

Kendy : ça marche. Du coup, alors comme il y avait Giovanni qui n’était pas là pendant la session, je ne sais pas toi, ce que tu en as pensé toi de samedi. Est-ce que ça t’a aidé ou alors je ne sais pas s’il y a un truc qui t’a marqué ?

Anthony : Franchement, ça m’a beaucoup aidé, surtout de voir la façon dont les autres ils percevaient la chose et qu’ils avaient la vision de leur projet et la façon dont ils avançaient. Ça m’a un peu ouvert les yeux au fait sur ce qui m’attendait, la façon aussi dont il fallait s’y prendre. Mais non, franchement, c’était une bonne séance, à renouveler. Voilà quoi.

Kendy : OK, ça marche. J’espère que ça ne t’a pas trop fait peur parce que tu as surement vu des personnes qui étaient aussi en mode recherche de financement agressif (Rire.) 

Anthony : Non, je pense qu’ils me battront pas.

Kendy : Mais après tu sais que de toute façon, ça, ce n’est pas une surprise, tu sais qu’il y aura du boulot. Mais bon, en tout cas, tu as pu voir, normalement je pense que c’était possible donc ça t’as permis de garder la motivation et puis ouais, continuer à faire le job, quoi. Non mais c’est cool. En tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonnerai la parole et puis comme ça, je dois pouvoir répondre à ta question. Ça marche ?

Anthony : Pas de souci.

Kendy : OK à tout à l’heure Anthony. All right.

Je vois qu’il y a une sprinteuse. Écoute Célia, je vais te donner la parole, tu vas pouvoir nous donner ton retour d’expériences là de samedi et puis tu pourras nous poser ta question par rapport à ton projet, nous dire un petit peu où est-ce que tu en es et puis comme ça, je vais pouvoir t’aider à avancer quoi.

Coucou !

Célia : Allo !  

Kendy : Coucou, Célia, comment vas-tu ?  

Célia : Voilà, salut, ça va, tranquille, depuis samedi, ça va tranquille.

Kendy : Bon, parfait. Du coup, comme il y a Giovanni justement, il ne vient jamais Giovanni aux Sessions questions-réponses. Aujourd’hui, il a dit qu’il venait pour avoir un peu le retour d’expériences des sprinteurs qui étaient présents. Je ne sais pas toi, comment tu as vu un peu l’expérience.  

Célia : Ah enfin Giovanni écoute, tu n’étais pas là, mais tu as raté quelque chose hein. Ça, je peux te le dire parce que c’est vrai que c’était super sympathique en fait de se rencontrer tous parce qu’on était tous dans le même monde, dans la même vibes. Voilà, on était tous déterminés et en plus, c’est des gens super sympas et ça fait plaisir de pouvoir mettre aussi un visage sur une voix. Parce que c’est vrai qu’on entend souvent voilà sur le webinaire et tout, mais rencontrer les personnes en face et puis voir un petit peu chacun, où en est son projet, ça rebooste. Parce que moi, qui suis au niveau du financement et qui galère franchement, le fait d’avoir pu échanger avec de nombreux participants, ils te donnent un peu des contacts, ils te donnent un peu des départs plus ou moins où avec eux ça a marché. Donc du coup, c’est vrai que c’était pas mal, c’était vraiment un super moment. De toute façon je te dis, c’était vraiment super sympa, la journée a passé, on n’a même pas vu et non, ça s’est super bien passé.

Kendy : OK, non mais c’est cool. Et du coup toi, où en es-tu alors sur ton projet du coup ?  

Célia : Depuis samedi, de toute façon tu sais, les banques le lundi c’est mort. Donc là, j’avais quand même eu un contact de la part d’un des sprinteurs, une courtière que j’ai eu ce matin, mais finalement qui m’a dit : non, bon… En fait, elle m’a raconté que je n’ai pas ma résidence principale. En fait, c’est soit l’un, soit l’autre, c’est fatigant, on a l’impression de tourner en rond. En tant que locataire qui veut avoir un investissement locatif, ils ne comprennent pas toujours donc les banques sont un peu frileuses par rapport à ça.

Et après, j’ai rencontré pas mal de sprinteurs qui me disaient : Oui, il faut mettre peut-être là, en avant la carte, il faut des fois changer ton speech en disant c’est ta résidence principale, etc.  Mais je dis : oui mais bon, moi dans mon cas en tant qu’infirmière libérale, les gens ne sont pas bêtes, quoi tu vas partir tout plaquer (Rire.) Enfin je ne sais pas, quand tu dis résidence principale, il faut inventer la bonne histoire derrière aussi qui tienne la route. Donc si tu n’es pas très loin de ton truc, bon OK, tu es fonctionnaire, tu peux être muté, enfin voilà, il y a des situations qui sont plus simples que d’autres. Mais moi, dans ma situation, voilà, ils vont se dire : Comment ça, elle lâche son cabinet ici pour aller faire quoi ? En attendant d’aller à un autre système de fonctionnement là-bas, ça va. Est-ce qu’elle pourra assurer au niveau des mensualités ? Enfin bon, moi, je me pose la question.

Kendy : Mais tu vois, maintenant que tu dis ça, moi, alors je ne sais pas mais si je me mets à la place d’un banquier, une infirmière qui me dit qu’elle est infirmière libérale et qu’elle prévoit de changer de secteur, moi ça ne me choque pas du tout en fait.  

Célia : Le truc, moi tout à l’heure, au début je me suis dit ça, je me suis dit peut-être par rapport à mon domaine, ils se disent que la mobilité c’est tout à fait possible. Mais le truc que je me dis, c’est qu’ils n’ont aucune attestation que vraiment mon activité va reprendre tout de suite qu’effectivement j’aurais de l’argent qui va rentrer tout de suite, enfin voilà, il n’y a rien qui leur… Si c’est vraiment frileux et qu’ils sont frileux, en fait, ça ne va pas arranger ma sauce. Parce que moi, le Monsieur il dit : avant de donner cette disquette-là, entre guillemets, il faut déjà que je pense déjà aussi en mode banquier et me dire qu’est-ce qu’il pourra me demander derrière, etc. Et là je me dis, quand j’y pense ne serait-ce qu’à ça, je bloque déjà parce que bon.

Kendy : Mais tu vois, c’est intéressant qu’on ait cette discussion parce que je me dis par rapport à ton profil, moi, ça ne me choque pas du tout.  

Célia : Ça ne te choque pas.

Kendy : Alors un mec qui travaille à l’usine et qui a un métier, tu vois, un super pointu dans une usine particulière. Tu vas dire : OK mon gars, tu es bien gentil, tu me dis que tu vas être muté ou tu veux changer de boîte et tout, mais tu vas aller où et tu vas faire quoi. Mais toi, ton métier, il y a des gens qui sont malades partout, c’est le seul métier où tu sais que les gens… du moins, tu peux pas avoir de chômage quoi.  

Célia : Ça, c’est sûr. Et pourtant justement, ils le savent mais malgré ce fait-là… Je me dis qu’actuellement dans ma situation où ça roule très bien dans mon cabinet, ils ont du mal déjà. Alors si je dis que je vais dans une autre ville pour investir et pour redémarrer à zéro, est-ce que ça ne va pas être encore une balle que je vais me tirer toute seule dans le pied.

Kendy : Je ne pense pas que tu sois obligée de le vendre comme ça. Toi aujourd’hui, tu n’es pas juste infirmière, tu es à ton compte. Donc il faut que tu te positionnes comme chef d’entreprise, tu dis : écoutez, aujourd’hui, je constate qu’il y a tel…

Moi tu vois, je te raconte une histoire déjà, je vois que tel secteur, je ne sais pas si c’est… je dis une ville au hasard, mais à Calais ou je ne sais pas, j’ai remarqué que là, il y avait un peu une grosse demande donc moi j’ai envie de m’implanter là-bas également. Je pense qu’au départ pour pouvoir justement mieux lancer l’activité, je vais m’installer sur place. Bon, étant donné que j’ai déjà mon secteur ici, moi j’ai déjà mon activité ici, ça tourne bien donc là, je vois juste à mettre quelqu’un pour maintenir l’activité et moi je vais lancer la chose en m’installant là-bas. Et je me suis dit pourquoi pas acheter soit ma résidence principale ou alors un truc mixte, c’est-à-dire un bien que je vais éventuellement louer en partie et puis une partie où je vais habiter.

Moi franchement, par rapport à ton profil, l’histoire qu’on peut raconter est beaucoup plus facile que quelqu’un qui serait dans un poste fixe, quoi. Genre je ne sais pas, tu as été monteur dans une boîte de mécanique ou un truc du genre, on va expliquer que tu vas partir dans un truc de mécanique dans le nord. Mais pour moi, pour ton activité, ça s’explique très facilement et c’est tout à fait cohérent. Moi je n’avais même pas pensé à ça, c’est le fait que tu le dises là et je me suis dit, mais en fait le truc qui t’inquiète… et c’était là que je me suis dit mais en fait, mais non, ce qu’il faut faire c’est… 

Célia : Finalement, c’est ça qui te rassure en fait, toi.

Kendy : C’est tout à fait logique par rapport à ton profil. Tu veux monter… parce qu’il y a des infirmiers qui ont des cabinets et qui gèrent plusieurs collaborateurs ou ça peut être un mec qui a, je ne sais pas, un laboratoire. Le mec il a un laboratoire à Paris mais il a envie d’ouvrir un autre laboratoire dans le nord et ça se comprend très facilement. L’histoire franchement pour moi, elle est cohérente et même on peut se dire : Monsieur, il est implanté dans le Nord, donc vous pensez effectivement vous rapprocher. Du coup, tu penses quand même garder ton activité à Paris parce que bon, tu as quand même une grosse patientèle à Paris donc tu ne veux pas perdre cette activité ou du moins ce revenu-là. Mais toi, tu vas encore grossir tout ça en t’implantant ailleurs. Je ne veux pas vous faire peur hein, mais je prévois encore de m’implanter aussi dans la ville d’à côté parce que là aussi il y a du business (Rire.)  

Célia : Oui, tu te positionnes vraiment en businessman, quoi.

Kendy : Ouais, franchement je te dis, pour moi, la façon de présenter la chose, pour toi, les deux peuvent fonctionner. Soit une présentation en résidence ou du moins en mixte, tu vois en résidence principale et locative. 

Célia : Ouais et de faire de la location en bas, ouais.

Kendy : Ou même la résidence principale pour moi, ça peut passer aussi. Après, si vraiment tu vois qu’en locatif, ils te prennent la tête… Je suis sûr qu’il y en a qui ne comprennent pas, tu vois, un locatif qui casse les pieds, dans ce cas-là, tu leur plaques un truc en mixte. Franchement, je dis ça, c’est très simple. Tu vois, si tu es salariée et tout, là c’est plus chaud et même le cas de Tony, lui, c’est ce qu’il a vendu comme histoire. Il a expliqué : bon écoutez, notre boîte elle a une filiale sur Carcassonne et tout, et moi je prévois d’ici un an et demi, deux ans de changer, quoi, de muter. Puisque bon, moi j’ai fait le tour dans cette ville-là, du coup j’ai envie de partir.

Parce que de toute façon, j’ai envie de dire, ce n’est même pas vraiment mentir parce que même si juste après que tu aies signé, tu peux changer d’avis. Juste, tu as changé d’avis. Et tu peux te convaincre vraiment que c’est ce que tu vas faire et après changer d’avis (Rire.)

Célia : Oui, oui, effectivement. En fait de te l’entendre dire, là effectivement ça ne me paraît pas loufoque quoi, donc après oui.

Kendy : Ouais, mais moi, tu vois, je n’y ai même pas pensé, c’est le fait que tu le dises là qui me fait me dire ouais, en fait clairement c’est logique et c’est cohérent. Donc pour moi, tu peux vraiment essayer de la présenter comme ça et puis tu vois, quoi.

Célia : Ouais mais dans ce cas, admettons que tu te présentes, tu fonces à la banque, voilà, tu as des intentions, tu présentais en mode de résidence principale, comme là tu dis que après avoir signé, tu peux alors changer d’avis, mais ils te font la remarque à un moment donné.

Kendy : Pourquoi ils te feraient la remarque ?

Célia : Je ne sais pas, justement en fait, c’est ma question.

Kendy : Non non non, personne ne te fera pas la remarque. La seule remarque qu’on peut te faire, c’est si tu avais dit que tu allais faire un changement de compte et tout, tu ne l’as pas fait. Moi, du moins, ça, c’est un truc qu’on m’a fait aussi. Genre j’avais dit : ouais, je vais ramener mes revenus et mon épargne et tout sur le compte. J’ai dit que j’allais le faire après. Et je ne l’ai fait tout de suite et le mec, il m’envoie un mail, il m’a dit : Ouais, Monsieur Polestin, franchement je vous ai fait confiance, tu vois un gars entubé presque. Il m’a dit : Ouais, je vous ai fait confiance pourtant, et puis comme ça vous m’avez mis une disquette. Vous m’avez dit que vous allez ramener le revenu et puis là, je vois qu’il n’y a toujours rien quoi. J’ai dit : Ah ouais, mais c’est que votre conseiller là, il me prenait la tête et puis il ne répond pas à mes questions, du coup j’ai eu peur. J’ai eu peur de me dire : si je mets mes trucs sur un compte où le mec, il répond une semaine après, ça ne va pas le faire, quoi. Et du coup, il m’a dit : Vous voulez que je vous prenne en direct ? J’ai dit : Ouais, c’est beaucoup mieux pour moi parce que voilà. Et puis du coup, effectivement, j’ai ramené. Et même ça, tu vois, le mec il te dit il faut ramener ton salaire, tu n’as pas dit combien de temps t’allais ramener ton salaire. Il a dit : oui, vous pouvez le ramener et si tu veux après six mois changer, tu changes. Tu as dis oui, mais j’ai fait ce que j’ai dit. Et en plus, une fois le truc est signé, il n’y a personne qui peut te prendre la tête. Le seul truc, c’est qu’après, il ne voudra peut-être plus bosser avec toi sur d’autres projets.

Célia : Ouais.

Kendy : Donc voilà mais si déjà tu vois, t’as déjà prévu d’autres banques, franchement moi, je te dis : on y va quoi.

Célia : Mais parce que du coup, il va peut-être te demander aussi au niveau du devis parce que ça ne va pas être la même. Enfin, je sais pas s’il regarde le devis dans le détail, mais si tu as un devis, toi, avec par exemple 5-6 studios prévus et que finalement tu…  

Kendy : Comme je te disais qu’il faut que l’histoire complète soit cohérente. Si tu dis : ouais, c’est ma résidence principale et que tu présentes un truc où c’est écrit studio 1, studio 2, studio 3. On va dire mais tu te moques de qui en fait.

Célia : Mais oui, voilà, c’est ça.

Kendy : Mais ça, tu t’arranges avec l’artisan. L’artisan il comprend très vite, tu dis : Écoute mec, là tu me fais un devis, le vrai devis et tu me fais le devis que je présente à la banque quoi et c’est même le montant. Moi par exemple, quand tu veux faire par exemple passer tes meubles, tu mets je ne sais pas, il te met du placo en plus, il te met des trucs en plus et après, une fois qu’il t’a passé ça, après tu changes ça. Et puis même, ce qu’il faut te dire que même pour l’artisan ou du moins pour lui, c’est transparent parce que les documents qui sont utilisés au niveau de la banque, ça ne reste que dans la banque. Ce n’est pas comme s’il allait pouvoir mettre ça, je ne sais pas, genre au fisc ou quoi que ce soit, ça reste vraiment au niveau de la banque.

Célia : Ouais.

Kendy : Donc c’était juste pour débloquer les fonds et puis c’est tout. Il faut juste que toute l’histoire soit cohérente et du coup, ce qu’on pourra faire effectivement quand tu seras plus dans ce stade-là, on pourra regarder ça ensemble, mais l’idée, c’est de te dire qu’il faut que tout le déroulé soit cohérent. Et toi même, par exemple, quand tu vas me raconter ton histoire, je te dirais : OK, non là ça ne va pas, voici telle objection que je peux y mettre. Mais si l’histoire, elle est cohérente du début jusqu’à la fin, moi, je te dis, on y va quoi. OK ?

Et même tu peux, moi ce que je dis aussi justement dans la semaine 3, c’est que tu peux essayer de présenter plusieurs façons différentes. Même avec ton courtier, tu dis : Écoute mec, tu présentes une version A à la banque A et une version B à la banque B, et puis comme ça, on voit quelle version tourne le mieux. Et si tu crois que la version 2 a déjà eu un accord, bah boum on continue de… j’allais dire spread, mais comment on dit ça en français. En fait, de voir d’autres banques avec…

Célia : Ouais avec cette démarche-là.

Kendy : Et puis comme ça, ça te permet d’avoir des offres plus intéressantes, parce que peut-être le premier, il a accepté mais c’était juste sans différé. Peut-être que le deuxième, il va accepter avec un différé de logement et le troisième, bah ce sera un différé de 36 mois. Et puis, la question de savoir vers qui on va, bah elle est évidente.

Célia : Ouais, effectivement. Bon, je vais essayer comme ça parce que là franchement…  

Kendy : Mais franchement, je te dis, là par rapport à ton profil-là, l’histoire, elle est toute faite. Donc maintenant, je pense qu’il faut faire du volume, mais pour moi, c’est tout à fait cohérent, c’est vraiment cohérent, moi, ça me choque nullement.

Célia : OK.

Kendy : On peut lancer ça et puis tu me diras un petit peu comment tu as pu avancer. Mais clairement, tu as de la matière pour travailler là cette semaine.

Célia : OK, ça marche.

Kendy : OK ?

Célia : Je te dirais quoi.

Kendy : Bon en tout cas, je compte sur toi et puis tu me diras un petit peu où tu en es sur l’avancement de tout ça.

Célia : OK, ça marche.

Kendy : En tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonne la parole.

Célia : Il n’y a pas souci. Merci, bye.

Kendy: All right, OK. Je vais donner la parole à une autre sprinteuse. Aujourd’hui, je vois qu’il y a plus de sprinteuses que de sprinteurs. Les sprinteurs, ils sont restés dormir, il y a des courageux mais les autres sont restés dormir. Laure, je vais te donner la parole.

Laure : Hello Kendy.

Kendy : Coucou Laure. Comment vas-tu ?

Laure : Ça va bien et toi ?  

Kendy : Nickel.

Laure : Ah lala. C’était super encore une fois ce samedi, c’était vraiment bien et ça m’a fait plaisir de voir tout le monde, tous les sprinteurs, et comme dit Célia de mettre un visage sur une voix, donc c’était vraiment bien, à refaire hein.

Kendy : C’est cool, on essayera de refaire ça rapidement en plus pour qu’on puisse avancer tous ensemble. En plus, ça m’a fait plaisir de vous voir toutes les deux, Laure et Laura discuter là.

Laure : Laure et Laura, oui (Rire.)

Kendy : C’était cool.

Laure : Si si, on a bien échangé avec Laura, non c’était sympa oui.

Kendy : *Comment ça se passe exactement ? *

Laure : Alors oui, donc je n’ai pas encore eu le courtier ce matin, j’ai un document à lui envoyer d’ailleurs, tu sais le dernier étage-là, le sous-comble. On doit changer des fenêtres, bon les fenêtres en bois, elles vont toutes être changées pour mettre du PVC. Et sur les quatre fenêtres, il y en a deux qui va changer en termes de taille.

Kendy : Attends, tu parles de quel étage là ?

Laure : Du dernier, tu sais le sous-comble et tu sais avec les mansardes.

Kendy : Je ne comprends pas pourquoi tu mets du PVC là-bas ?

Laure : Parce que c’est des fenêtres en bois.

Kendy : Je ne savais même pas que ça se faisait en PVC ce truc-là.

Laure : Si, si. Ah si.

Kendy : Je n’ai jamais vu en PVC, je n’en ai jamais vu.

Laure : Ah parce qu’il m’a dit que ces fenêtres en bois, il faut les changer, qu’elles ne sont plus aux normes. Elles sont tout bois, elles sont double vitrage mais en bois.

Kendy : Ouais et moi en fait, j’en ai, je les ai remplacées, j’ai juste remis des nouveaux velux mais en bois aussi, mais je ne savais pas que ça se faisait en PVC. Mais c’est PVC blanc ou c’est PVC couleur bois ?

Laure : Je pense que ça va être PVC couleur bois, même si c’est blanc.

Kendy : Parce que j’en ai jamais vu du… peut-être ouais peut-être. Mais tu vois, ça m’a surpris que tu me dises du PVC pour le… OK, d’accord.

Laure : Parce que là, il me disait qu’elles sont toutes en bois et finalement, ça prend l’eau et que ce n’est plus aux normes maintenant. Donc, c’est mieux de les changer et de mettre quelque chose de plus costaud. Effectivement comme c’est au dernier étage, il y a l’eau, enfin bon il y a la pluie, etc., c’est peut-être plus approprié de les changer. Et du coup, on va changer les quatre.

Kendy : Mais il fallait quand même les changer de toute façon, puisque tu vois entre les deux vitres, quand tu as les doubles vitrages, à l’intérieur quand ça commence à prendre de la flotte, le tube qui n’est plus étanche.

Laure : Ah, d’accord.

Kendy : Parce que du coup, il faut les changer.

Laure : Il faut les changer dans tous les cas, ouais. Effectivement, les quatre-là, ils prenaient l’eau.

Kendy : Et puis, il y a un autre truc aussi qui se passe, c’est souvent quand ça fait longtemps que c’est là, tu as tout le bas de la fenêtre qui commence à s’écailler, en fait.

Laure : Ah ouais, les rebords-là tu veux dire.

Kendy : Ouais, c’est ça. Quand ça a pris beaucoup de soleil et tout, et que ça coupe la flotte, genre ça s’écaille et puis c’est le signe qu’effectivement, c’est qu’il faut les changer.

Laure :  D’accord. Et donc du coup, effectivement, c’est ce qu’on va faire, on va les changer et puis il y en a deux qu’on va changer la taille, on va mettre plus grand. Et là-dessus, il m’a demandé de remplir une demande de, je ne sais pas, ou un changement ou enfin, ce n’est pas une demande d’un permis de construire, mais c’est une… attends, j’ai oublié le nom du document.

Kendy : Ouais. En fait, tu dois faire une demande de PLU parce que dès que tu changes l’aspect extérieur du bien, en fait, tu dois faire le PLU.

Laure : C’est une déclaration.

Kendy : Ouais, ça va être déclaré et puis après, ça va être mis aussi au niveau de ta taxe foncière et tout, qui fait que bon il y a une petite variation.

Laure : Ah oui ?

Kendy : Ouais. En fait, il y a une petite variation de taxe foncière par rapport à ça. Plus tu vas avoir beaucoup de fenêtres et tout ça, *bah si tu le* fais pas et qu’il te chope en train de le faire, ça peut être un peu plus long, quoi. Mais dès que tu changes l’aspect extérieur, effectivement, tu es obligée de faire une demande.

Laure : Une demande ou une déclaration, d’accord.

Kendy : Et c’est pour ça que tu fais ça. Mais bon, c’est quand même une nouvelle ouverture que tu mets donc ça va peut-être varier, mais bon… Je pense même que tu ne le verras même pas vraiment au niveau cout. Tu rajoutes une ouverture, là, tu vas le voir.

Laure : D’accord. On ne va pas rajouter, ça va être juste deux qu’on va mettre en plus grand et puis voilà.

Kendy : Mais moi franchement, je ne sais pas si c’est nécessaire de prendre plus grand, parce que si c’est plus grand, il va devoir retravailler la charpente et tout. Moi, je ne suis pas forcément sûr que ce soit nécessaire tout ça. Moi, j’aurais juste remplacé en taille identique et puis voilà, parce que tu en as déjà deux d’ouverture, deux de chaque côté, je ne vois pas la nécessité de mettre plus grand, parce que tu ne vas pas pouvoir doubler la fenêtre, tu ne vas pas la doubler la fenêtre. Donc commencer à retaper dans la charpente et tout juste pour élargir. Enfin bon, tu verras au niveau du coût ce que ça représente, mais pour moi, je ne suis pas sûr que ce soit judicieux de...

Laure : Que ce soit nécessaire de faire plus grand.

Kendy : Du coup, tu ne vas pas forcément gagner beaucoup plus et puis en plus, il faudrait tout refaire. Donc toute l’étanchéité, refaire tout le truc.

Laure : Ouais.

Kendy : Et du boulot pour… j’ai envie de dire, pour pas grand-chose quoi.

Laure : Ouais, d’accord. Donc effectivement, ça fait un coût plus…  

Kendy : Regarde le coût que ça représente et que si tu vois que c’est important, tu dis ouais juste *à l’identique*.

Laure : De changer juste à l’identique, quoi.

Kendy : Mais pour moi, comme tu as deux ouvertures, pour moi, ce n’est pas judicieux de…

Laure : De faire deux plus grands quoi.

Kendy : Moi, j’ai un truc-là en studio, un studio *1:09:33* les fenêtres sont… Franchement, le bien fait 40 m², j’ai deux fenêtres, j’ai deux velux et je crois que ça doit être plus petit que le tien même, presque.

Laure : Ah ouais, OK.

Kendy : Mais comme tu vois que c’est grand, j’ai mis du moins une belle hauteur sous plafond et tout est blanc, du coup, ça fait quand même lumineux. Effectivement, il n’y a pas beaucoup de lumière qui rentre, tu vois, ce n’est pas une grosse ouverture et ça fait quand même bien éclairé.

Laure : Ouais.

Kendy : Tu vois, moi, je veux m’amuser à péter ça pour aller mettre un truc beaucoup plus grand, parce que ça va me coûter. Du moins, il faut faire des déclarations et tout, et ensuite, tu es impacté. Alors ça dépend des villes mais tu peux être impacté au niveau de ta taxe foncière et tout par rapport à ça. À voir.

Laure : D’accord.

Kendy : Regarde bien si ça vaut le coup, financièrement, mais je dirai pour moi c’est *pas* la meilleure solution.

Laure : Ce n’est pas l’idéal, ouais d’accord. Donc peut-être remplacer à l’identique et puis, mettre du blanc pour illuminer. Ouais.

Kendy : Parce que tu as juste à regarder ta vidéo, on voit plus là, c’est pas peint, c’est des couleurs sombres, c’est du marron.

Laure : Sombre, ouais, exact.

Kendy : C’était éclairé dans les vidéos, on n’a pas mis dû mettre de flash ou quoi que ce soit. Alors quand ce sera peint, ce sera tout blanc et en plus, tu auras mis des nouvelles fenêtres, donc là, la lumière va vraiment rentrer correctement. Il faut regarder mais je ne suis pas sûr que ce soit nécessaire d’aller taper dans la toiture. Là, il faudrait refaire toute l’étanchéité et tout refaire.

Laure : Ah oui, d’accord. Donc ouais, ça va coûter en termes de travaux.

Kendy : Il y a tout le papier peint, du moins ici, si c’est pas bien fait, tu vas avoir des infiltrations d’eau et tout.

Laure : Ouais, d’accord. Je vais l’appeler demain, je vais regarder avec lui. Ouais, je vois. Et puis effectivement, le devis pourrait être moins élevé pour le dernier étage. Et à ce moment-là, faire deux lots… enfin à voir.

Effectivement, je craignais comme je te disais de faire deux lots et au niveau du passage, tu sais, quand tu arrives en haut, tu es obligé de baisser la tête pour rentrer, de baisser un peu la tête. Et puis finalement, comme tu disais dans tous les cas que ce soit un ou deux lots, la personne qui va monter aura toujours à baisser la tête.

Kendy : Bah ouais, ça ne va pas changer le problème.

Laure : Donc, ça ne changera pas le… finalement, ouais. Je vais regarder.

Kendy : Là, si vraiment tu veux optimiser au niveau des revenus, je te dis, si tu en as deux, tu seras plus rentable qu’un seul que ce soit en courte durée ou en…

Laure : En location classique meublée.

Kendy : Tu vois, les hôtels, parce que justement, comme je disais pendant la session, c’est un truc auquel je m’intéresse. Les mecs à moins de par exemple 50 chambres, ce n’est pas intéressant pour eux.

Laure : Ah oui.

Kendy : Donc, pour que ce soit intéressant pour eux, il faut vraiment qu’ils aient du volume. Donc eux, ce qu’ils vont préférer faire, ils vont préférer mettre plusieurs petits logements et puis faire quelques grandes suites. Mais non sur 100 chambres, tu auras peut-être deux ou trois suites, allez quatre-cinq, pas plus, parce que ce sera beaucoup plus judicieux pour eux d’avoir des…

Laure : Plus de lots que de suites.

Kendy : Parce qu’après, quand tu as des grands rushes, tu peux peut-être augmenter le prix un petit peu. Mais bon, ce qui te permettra de faire du gros chiffre d’affaires, c’est le volume, ce n’est pas parce qu’il y a 10 € de plus sur une chambre ou 20 € de plus sur une chambre.

Laure : Ouais, d’accord. Donc idéalement, si on veut rentabiliser la chose, il faut faire plus de lots, donc plus faire du volume et faire plus d’appartements. D’accord.

Kendy : Exactement. Moi je te dis, là pourquoi ? Clairement, si par rapport à ton budget, déjà l’histoire des fenêtres pour moi s’il suffit de remplacer simplement à l’identique, ça suffit largement, tu repeints en blanc et tu mets un sol blanc, un peu blanc blanc, mais tu vois un peu… Je sais pas si t’as vu…

Laure : Ouais, un parquet. Un parquet clair.

Kendy : C’est un parquet plus clair, voilà. Et puis comme ça, ça donne une…

Laure : Ça donne encore plus de luminosité.  

Kendy : Exactement. J’ai deux petites fenêtres, je ne sais pas si on peut les voir, attends, j’essaye de le trouver. Mais c’est très petit, et pourtant, ça arrange super bien parce que comme tout est blanc…

Laure : Le sol…  

Kendy : Franchement, ça claque. Attends, je vais essayer de voir si je trouve une photo de bien-là, comme ça, je te montre un peu. Comme ça, ça nous permettra de voir un peu ce que ça peut donner en termes de… attends, je vais aller sur mon site. Je vais sur mon site. Comme ça, vous allez voir un peu. Et je te dis, ça rend nickel. Attendez, je vais vous montrer un peu, je partage un peu mon écran. Là, c’est bon. On va regarder un peu.

Laure : Ah, c’est celui-là.

Kendy : Tu vois, quand je dis celui-ci, je ne sais pas si on voit bien.

Laure : Ouais.

Kendy : Bon, ce n’est pas un tip top donc on voit pas toute la *ligne*, mais tu vois la taille de la fenêtre ?

Laure : Ouais.

Kendy : Tu vois et j’ai deux, c’est tout petit là.

Laure : Ah oui et c’est une fenêtre.

Kendy : Tu vois, donc ici, quand tu regardes, comme tout est blan. Non, il y en a deux, il y en a une là, à droite et il y en a une à gauche juste derrière, de l’autre côté. On l’a pris la photo de là, on voyait la fenêtre à côté du lit, et là, on est près du lit, on voit la fenêtre qui est là-bas. Alors, j’aurais pu mettre d’autres fenêtres, mais il aurait fallu changer les trucs et tout.

Laure : Ouais, comme *l’explication ouais*.

Kendy : Et puis, il y en a que deux et pourtant là, et je crois que c’est du 40 min 2 s là.

Laure : Ah oui, d’accord. Ouais, d’accord.

Kendy : Mais là, tu vois, j’ai gardé comme ça parce que l’escalier, il est en plein milieu.

Laure : Ah oui, c’est difficile d’en créer deux.

Kendy : En plus, j’ai mis ça *1:19:00*. Regarde ici, j’ai mis *cette structure*, je n’aurais pas dû la mettre mais au moins, on voit ici à côté de la fenêtre. Elle n’est pas très grande en fait, la fenêtre.

Laure : Ouais. Elle est petite, effectivement. D’accord.  

Kendy : Et pourtant, ça s’ouvre très bien.

Laure : OK. Ça, c’est ton grand loft de 40 m.

Kendy : C’est ça. Je te dis, ne te prend pas la tête, normalement, ça va.

Laure : D’accord. Donc, ça fait même moins cher de remplacer à l’identique, moins de travaux de couper la toiture pour réajuster et mettre… ouais. Donc ouais, finalement ça, c’est moins cher.

Kendy : Il faut couper, il faut refaire l’étanchéité et puis ici, tu as fait tout ça, il faudra refaire, là, tu n’as pas de placo de toute façon. Bon tu allais quand même mettre du placo mais je te dis, quand t’as du placo, il faut refaire les ébrasements et tout.

Laure : Ouais, c’est du boulot.

Kendy : C’est du boulot quoi. Alors que si tu remets à l’identique, c’est parti, quoi. Donc, regarde bien tout ça d’abord et puis tu vois si ça vaut le coup.

Laure : Ouais, je vais vite lui écrire, même ce soir, pour lui dire finalement qu’on revoit le devis, est-ce qu’on peut remplacer les fenêtres à l’identique ? Qu’est-ce que j’allais dire, ça et puis, on garde toujours les deux lots et puis revoir les fenêtres à l’identique du coup, ça ferait moins de mains-d’œuvre et du coup, le prix des fenêtres à l’identique.

Kendy : Ouais, c’est ça.

Laure : Ouais, je vais lui écrire là. Même s’il a déjà envoyé les commandes pour les fenêtres et tout ça, il peut toujours réajuster sa commande alors du coup. Ce n’est pas des éléments qu’ils font sur-mesure. Dans tous les cas, c’est des mesures standards qu’il prend et…  

Kendy : Ouais, c’est des mesures standards. Après, ça se peut qu’il puisse faire des trucs sur mesure, mais bon, ça coûte un bras.

Laure : Là, non, on n’est pas sur que ouais ouais.

Kendy : Donc, dès que t’auras du sur-mesure, ça coûte au moins… c’est que bon *1:21:23* le fait déjà de passer par exemple sur du PVC à de l’alu, ça augmente bien le cout. Et en plus, tu as des contraintes du genre des courbes et tout sur-mesure, là, tu paies deux fois pour la fenêtre. Tu vois ? Donc, ça ne fonctionnerait pas. 

Laure : OK, je vais lui écrire ce soir et lui dire finalement qu’on garde les fenêtres à l’identique et puis qu’on garde les deux lots avec les fenêtres à l’identique.

Kendy : Bon bah ça marche.

Laure : ça réajustera un peu le devis. Super.

Kendy : OK, ça marche. En fait, tu me tiendras au courant de comment ça avance.

Laure : Ouais.

Kendy : Et puis, n’hésite pas de temps en temps, si possible tu fais des photos de l’avancement de tes travaux qu’on voit un peu comment ça évolue.

Laure : Exact oui, démolition, etc., ouais.

Kendy : Exactement, je pense que ça peut faire plaisir à un certain nombre de sprinteurs de voir un peu comment ça avance, le temps que je vienne te voir pour *voir les deux fenêtres identiques*.

Laure : OK. Ouais, le deuxième round.

Kendy : ça marche. En tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonne la parole Laure.

Laure : OK, en tout cas, merci.

Kendy : Je t’en prie Laure, c’est normal.

Laure : À bientôt. Bye.

Kendy : À tout à l’heure.

OK, je vois qu’il y a un autre sprinteur là. Ah, c’est un courageux lui. Lui, il est venu malgré samedi. Écoute Jimmy, je vais te donner la parole, tu vas nous dire un petit peu ton ressenti de samedi et puis tu nous diras un peu où est-ce que tu en es sur ta recherche là ?

Yes.

Jimmy : Bonsoir les sprinteurs. Écoute, en forme.

Pour ce qui est de samedi, franchement bah moi j’ai été content de voir des personnes qui avaient déjà entrepris leur projet, ils ont bien avancé, ça me motive, plus encore qu’au début pour le moment. Je suis dans mes recherches, ce n’est pas facile de trouver proche de mon domicile là, je cherche plus ou moins une heure voire deux heures, mais c’est compliqué.

Kendy : Ouais, je vois.

Jimmy : Du coup, j’ai essayé de checker limite en Bretagne là carrément.

Kendy : Non, il ne faut pas aller trop loin. Franchement, je te dis Jimmy, ne va pas trop loin parce que ce qui va se passer, si tu vas trop loin, au début, ce n’est pas trop chiant de faire trois-quatre heures de route pour aller visiter un bien, au début. Mais quand c’est en mode travaux, mon gars, tu vas vite déchanter, quoi. Donc crois-moi, reste vraiment dans ce rayon deux heures et demie, allez grand max ouais trois heures. Alors, il y en a qui ont été plus loin comme Johnny, mais ce qu’il n’a pas dit, c’est qu’il a pris des biens qui n’avaient pas de travaux. Donc là, il n’a pas eu ce côté chiant de suivi.

Jimmy : En fait, si tu veux, j’ai trouvé des biens où il n’y a pas forcément de travaux dedans. Mais étant donné que je pars sur de la division, donc je prends des volumes, si tu veux, c’est des T2 en général avec 55 m², etc. Étant donné que je veux voir pour faire de la division derrière, il y aura obligatoirement des travaux donc…

Kendy : Ouais, c’est pour ça qu’il faut vraiment, si tu sais que de toute façon, tu vas rester sur des travaux, il ne faut pas que tu excèdes les deux heures trente-trois heures. Parce qu’après, franchement, je te dis, celui qui me dit : Moi, Kendy, t’inquiètes, je vais pouvoir aller visiter mon bien au minimum une fois par semaine voire deux, voire trois, même par semaine. Je lui dis : OK, tu assumes. Mais en tout cas, je t’aurais prévenu qu’à un moment, tu vas en avoir marre. Ce qui va se passer, c’est quand c’est trop loin, le premier truc qui va se passer, tu vas te dire : Oh, la semaine dernière, j’y étais et ça n’avait pas tellement évolué cette semaine, allez, j’y vais la semaine d’après. Et puis hop, c’est parti, tu fais deux semaines sans aller voir ton bien, peut-être trois semaines et puis là c’est parti pour du n’importe quoi.

Il faut vraiment que ce soit facile pour toi, il faut que tu t’aides. C’est comme pour aller faire du sport, mais je n’ai même plus à réfléchir maintenant, parce que c’est devenu une habitude, genre, je me lève, il n’y pas d’histoire de : Ouais, c’est lundi, c’est mardi… Non mec, il n’y a pas de jour, c’est tous les jours. Donc, je sais que j’ai pas à réfléchir, je m’aide. Par contre, si je dois commencer à me dire : Ouais en fait aujourd’hui, c’est mardi, ah donc aujourd’hui, c’est repos, demain, ce sera le dos. Et après aujourd’hui, je n’irais pas, parce que bon ce n’est pas grave. Et puis ah j’irais demain, je dois me rattraper. Et là, c’est parti pour… ouais, en fait, je ne fais plus rien.

Donc moi, je dis : Il faut t’aider et tu te mets dans des conditions où tu sais que ça devient easy. Si tu sais que c’est tous les samedis bah tu dois aller voir ton bien, tous les samedis, tu y vas. Si c’est tous les jeudis soir, c’est tous les jeudis soir. Si tu veux y aller deux fois par semaine, tu sais que c’est tel jour tel jour, tu y vas. Il ne faut vraiment pas que tu mettes des bâtons dans les roues en prenant des trucs, certes, qui soient une bonne affaire, mais qui soient très loin.

Jimmy : Bah c’est pour ça, les très bonnes affaires que je trouve, ce n’est pas à proximité.

Kendy : Ouais, mais crois-moi, je ne sais pas, toi, tu es en région parisienne toi non ?

Jimmy : Ouais, dans le 93.

Kendy : Ouais, mais tu vois, la majorité des membres du programme — et c’est justement pour ça que j’ai fait la rencontre à Paris — sont en région parisienne. Donc, crois-moi que des bonnes affaires, il y en a, parce qu’il y en a plein là qui me présentent des trucs de malades mentaux, je les vois passer.

Jimmy : Il faut que je prenne mon mal en patience parce que ça ne fait même pas une semaine tout juste.

Kendy : Ouais, c’est ça, il faut que tu fasses du volume, t’inquiètes. Une fois que tu vas créer ton réseau, tu verras que c’est les mecs qui vont t’appeler pour dire : Monsieur Kabal, ouais on a trouvé le truc, machin pour vous là, machin. Et c’est quoi ? disait Selim. Selim au début, c’est le mec qui l’a rappelé pour lui dire : Ouais, on a trouvé, il y a un bien pour vous.

Jimmy : Effectivement, ouais, c’est vrai.

Kendy : Il faut que tu ailles sur le terrain, que tu vois du monde et puis comme ça tu vas pouvoir te faire ton réseau et c’est les mecs qui vont bosser pour toi.

Jimmy : Donc, faire travailler le réseau, voir peut-être des agences un peu partout, enfin aux alentours.

Kendy : Et puis, avancer. Moi je te dis, là il faut faire du volume. De toute façon, toute la phase du départ, c’est volume, volume, volume. Une fois que tu as signé ton bien, que la notion de volume, on l’arrête. Sur toute la première phase du projet, c’est toujours en volume, c’est ça le secret. Lister et essayer de voir plusieurs courtiers, essayer de voir plusieurs trucs, mais volume, volume, volume. Et après, une fois que c’est signé, bon là, on s’engage et là, c’est parti.

Jimmy : Bon bah la phase ouais, c’est autre chose.

Kendy : Il faut voir le truc un peu en mode entonnoir, c’est-à-dire qu’au départ, tu mets tout au-dessus et après vraiment, au bout de l’entonnoir, il y aura un bien qui va sortir. Mais au départ, c’est volume, tu mets tout, tu mets plusieurs courtiers, plusieurs agents immobiliers, tu mets tout dedans quoi. Et après, tu vas te retrouver avec une solution, ce sera un bien, un prêt et puis voilà quoi.

Jimmy : Yes. OK. Non bah de toute façon je suis dedans, j’essaie au mieux que possible malgré le boulot qui me prend du temps aussi, mais j’essaie de faire là *1:29:9 *.

Kendy : Là j’écoute même plus parce que tous ceux qui sont dans le programme, là aussi, sont dans le même truc. Giovanni n’a même pas pu venir parce qu’il est dans le boulot, mon gars. Donc là, cette excuse-là, je ne veux pas l’entendre (Rire.) Tu sais tout mon gars, tu sais tout.

Jimmy : Il n’y a pas de problème, ne t’inquiète pas, je ne lâche pas.

Kendy : En tout cas, je te dis *1:29:28*, tu as tous les trucs pour y aller mon gars.

Jimmy : Voilà comme je te dis, samedi, tout le monde m’a encouragé là, donc je suis et il n’y a pas de problème.

Kendy : Non, mais c’est cool. En tout cas, moi je compte sur toi et puis comme ça, pour d’ici fin de semaine, il faut que tu sois déjà prêt pour aller sur le terrain là et tu visites des trucs, OK ?

Jimmy : OK, sans problème.

Kendy : Ça marche. En tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésite pas et puis je te redonne la parole.

Jimmy : Yes, sans faute. Merci.

Kendy : À tout à l’heure, je t’en prie. Ciao.

All right. OK, je crois que j’ai eu tout le monde. Alors, je ne sais pas si tu as une question ? Si tu as une question, n’hésite pas à la poser et puis moi, je te donnerais la parole.

Bon en tout cas moi, ça m’a fait super plaisir, je te donne quand même mon retour parce que bon effectivement, c’est la première fois que je faisais cette rencontre, c’est la première fois que j’avais autant de monde devant moi. Donc ouais, franchement, c’était top parce que ça m’a permis, comme toi, de mettre un visage sur les prénoms et sur les voix. Franchement, c’était cool, ça m’a fait plaisir aussi d’échanger avec vous et puis de voir aussi qu’entre vous-mêmes, il y avait cette synergie, donc c’est cool. Comme ça, on voit qu’on avance tous dans la même direction et puis voilà. Et puis, ce que je voulais vraiment, c’est que tu puisses te dire : Ouais, s’il y en a d’autres qui l’ont fait, c’est que c’est vraiment possible. Parce que je sais que si je te le dis simplement au téléphone ou bien c’est Session questions-réponses, tu vas dire : ouais, mais peut-être que, peut-être que... Mais là, il n’y a plus de flan possible, quoi. Mec, tu l’as vu en live, tu as vu des gens qui le font, donc là, il n’y a plus d’excuse, il n’y a plus de truc, il faut juste faire le boulot et puis on y va.

En tout cas, moi, ça m’a fait plaisir de te faire cette session aussi ce soir. Donc là, je n’ai plus d’autre question. Ce que je veux te dire, c’est qu’on continue le boulot, on va toujours sur le terrain, tu fais les visites, va faire des visites s’il faut contacter des agents immobiliers, contactez-les. Si c’est le financement, vas-y mon gars, fais du volume et puis après, voilà. Mais on ne lâche rien, c’est possible, on y va et on se dit à jeudi soir, 19 h et puis comme ça, on avancera, OK.

Allez, je te souhaite une bonne soirée et puis je te dis à jeudi. Allez salut, ciao ciao.

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