Septembre 2019 - 090919
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Kendy : Salut à toi ! Bienvenue à cette session questions-réponses. Donc aujourd’hui, on est le lundi 9 septembre 2019. Aujourd'hui, c'est moi, Kendy Polestin, qui vais faire cette présentation. Et du coup, on va pouvoir commencer.
Alors, le principe est très simple, c’est que tu vas pouvoir poser tes questions directement dans la chatbox. En fait, il y a une chatbox qui te permet de poser des questions. Et puis moi, je vais pouvoir te donner la parole pour que toi, tu puisses être en ligne. OK ?
Alors, est-ce que tu peux me dire si tu m’entends bien dans la chatbox pour me dire si tout est OK ?
Salut Mathieu ! Parfait, OK, je vois que c'est bon.
On va pouvoir commencer. Et puis, comme ça je vais pouvoir te donner la parole.
Mathieu, je vais te donner la parole, comme ça tu vas pouvoir me dire où est-ce que tu en es dans ton projet. Comment vas-tu Mathieu ?
Mathieu : Très bien, ça va Kendy, et toi ?
Kendy : Ça va nickel. Alors, comment ça avance sur tes recherches du coup ?
Mathieu : J’ai bien repris cette semaine. J’ai quatre visites de prévues jeudi. Et puis oui, ça y est, j’ai trouvé un artisan, on en parlait la semaine dernière là.
Kendy : Ah, bien joué ! Alors du coup, tu l’as trouvé comment cet artisan du coup ?
Mathieu : Un des nombreux messages que j'avais laissés sur un répondeur. Finalement, ça a pris, et il m'a rappelé et il se déplace sans condition, sans payer pour le devis ni rien, donc comme quoi ça existe.
Kendy : Ouais (Rire.) Si je te dis que ça existe, c’est que ça existe ! (Rire.) Non, mais c’est cool, c’est cool. Non, c’est bien !
Mathieu : J’ai rendez-vous vendredi matin, du coup.
Mathieu : D’accord, OK. Là, vendredi matin, c’est pour faire le devis alors, si je comprends bien ?
Mathieu : Ouais, exactement. Donc je vais essayer de faire des plans les plus précis possibles pour avoir le devis le plus précis possible.
Kendy : D’accord, OK. Bon bah c’est bien ça.
Mathieu : Et pour te rappeler, c’est sur le projet de l’immeuble où il y a trois plateaux de 300 m². Donc on va voir un peu ce qu’il va dire.
Kendy : OK, c’est bien. Au moins comme ça, tu auras une estimation assez précise de ce que tu veux faire et puis comme ça, tu vas pouvoir avancer sur le projet. Non, c’est cool. Et du coup, les autres… Parce que tu m’as dit que tu avais quatre visites. Donc c’est des visites d’autres biens ou alors c’est avec d’autres artisans ?
Mathieu : Non non non, c’est quatre visites d’autres biens, comme tu avais dit. J’ai suivi ton conseil de ne pas arrêter les recherches tant qu’on n’avait rien signé. Donc voilà, histoire de ne pas me retrouver avec rien si ça ne se fait pas sur celui-là.
Kendy : D’accord, OK. Non mais t’avais bien raison, il faut que tu continues et que tu avances. Il faut que tu continues d’alimenter effectivement ta fiche d’analyse, que tu ne restes pas sans rien si celui-ci n’aboutit pas quoi. Donc ça c’est cool !
Mathieu : OK. Et donc j’ai une petite question.
Kendy : Dis-moi.
Mathieu : Du coup, j’ai une des visites, ce n’est pas dans la ville de 35 000 habitants, même c’est la commune limitrophe. Mais il n’y a pas de frontière, il y a juste le panneau qui change.
Kendy : OK. Je vais dire en gros, si je suis à pied, je peux passer d’une commune à l’autre facilement, ce n’est pas genre je ne sais pas, à une heure de marche à faire, quoi ?
Mathieu : Non, non du tout. Il y a juste un panneau qui dit que tu changes de communes.
Kendy : OK, ça marche. Mais ça effectivement, je ne sais pas si tu as pu le voir. Attends, je vais essayer de te le montrer justement, parce que ce serait quand même intéressant puisque des fois, j’ai souvent cette question-là et du coup, je me dis que ça peut être top de le partager. Je vais te montrer un truc.
Je vais prendre une commune, je vais prendre un truc typique. J’essaie de mettre mon écran pour que tu puisses voir. Là, tu vois mon écran ?
Mathieu : Oui Oui, je le vois ton écran. Oui Oui, je le vois.
Kendy : OK. Donc tu vois, par exemple là si je prends…
Mathieu : Je ne t’entends plus. Tu m’entends Kendy ?
Kendy : L’exemple de Besançon en fait moi, ce que je fais, quand je fais…
Mathieu : Le son a coupé là.
Kendy : Yes Mathieu, tu m’entends là ou pas ?
Mathieu : Ça y est. C’est bon, je t’entends.
Kendy : OK, parfait ! Bon du coup pour t’expliquer, tu vois, moi en fait, ce que je fais, c’est que quand je vais chercher par exemple une ville, tu vois, je viens directement sur la Map comme ça. Alors, tu vois toujours ma Map ou pas ?
Mathieu : Besançon là, Oui.
Kendy : OK. Tu vois et quand tu cliques sur Besançon, tu vois qu’il y a une ligne rouge là. Et toutes les villes qui seront vraiment collées à cette ligne rouge, on va pouvoir les cibler. Par contre, tu vois par exemple une ville qui serait comme la… je ne sais pas comment ça se prononce, qi c’est *Kendji ou Kendgi* (0:06:56), ça tu vois, ça je n’irai pas, ou Clairon, tu vois, je n’y irai pas non plus, c’est beaucoup trop loin.
Mathieu : D’accord. OK.
Kendy : Et ça en fait, c’est… par exemple, si je prends là *Taules*, je clique dessus et là direct, il va me tracer la ligne rouge et puis comme ça, tu peux voir directement les villes sur lesquelles tu peux taper. Moi, si ça reste vraiment à proximité, j’y vais. Par contre, dès que ça commence à s’éloigner, genre Peseux ou Rahon, ça ce sont des villes typiquement que je ne ciblerais pas.
Mathieu : D’accord. OK. OK. Et puis en plus, moi, j’avais sélectionné cette commune-là, parce que cette commune finalement, elle est plus près des facs que ne l’est le centre-ville.
Kendy : Ah Oui, OK. Je vois. Mais après, je te dis une fois que si tu es vraiment dans l’arrondissement même d’une ville suffisamment importante, après tu vas pouvoir louer. Pour moi, tu n’as même pas à t’inquiéter par rapport à ce point, c’est juste une question, je veux dire : bon, la ville, ils ont changé le nom, mais pour moi, tu vois, ça reste la ville en question.
Mathieu : Oui.
Kendy : Donc, pour moi, tu n’as pas à t’inquiéter. OK ?
Mathieu : OK. Très bien. Très bien. Après, pas grand-chose d’autre. Du coup, je pense qu’en ayant l’estimation des travaux, on va pouvoir faire une offre qui nous convient, et puis voilà.
Kendy : OK. C’est parfait ! Du coup, si tu peux faire une offre, comme ça, ça te fera avancer un peu sur le projet, et puis on y va. Non, ça c’est cool. Non, mais ça marche. En tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésite pas et puis moi, je te redonnerai la parole alors Mathieu.
Mathieu : Oui, j’avais juste une petite question pour le *bâtiment* là.
Kendy : Oui.
Mathieu : Je me suis inscrit là, je viens de le faire.
Kendy : OK.
Mathieu : Et Julien, tu sais avec Aurélia, donc il faut que je t’envoie autre chose en plus ou c’est bien ?
Kendy : En fait, il faut que tu envoies un mail à Cécile pour donner le nom d’Aurélia et après, elle t’expliquera comment ça se passe. Du coup, comme ça, c’est elle qui va gérer ça. Mais normalement sur le fichier, tu verras, il y a le mail de Cécile, il faudra juste que tu notifies, que tu seras avec Aurélia. Et puis, ce sera bon. OK ?
Mathieu : D’accord.
Kendy : Et puis de toute façon, moi, je t’appellerai et on verra ça après. Mais il faudra juste que tu notes. De toutes les façons, si tu me le dis, moi, je vais le donner à Cécile. Mais il faut que tu lui envoies parce que sinon, moi je ne suis pas là demain. Donc oui, il faut vraiment que tu envoies le mail, tu dis que tu seras avec Aurélia et puis voilà.
Mathieu : OK. Ça marche. Super !
Kendy : Ça marche ? OK, ça marche, on fait ça. OK. Alors je ne sais pas qui est présent encore ?
Laura. Coucou Laura ! Comment vas-tu ?
Laura : Allô ! Salut Kendy ! Salut les sprinteurs et sprinteuses. Ça va, merci et toi ?
Kendy : Ça va nickel. Alors où en es-tu ? Comment s’est passée ces visites, dis-moi !
Laura : Oui. Je suis retournée visiter le bien que j’avais vu il y a 15 jours avec le mec de la maison des travaux. Sachant que j’ai profité, étant donné qu’il venait voir le bien avec moi, j’ai profité pour qu’on voie un deuxième dont la superficie m’intéressait sur papier. Je me suis dit : je fais d’une pierre deux coups. Sauf que finalement, il n’est pas vraiment en centre-ville, il est un peu de côté. Donc bon là, je serais tentée de dire « next ». Et il s’avère qu’après donc pour le reste des visites que j’ai eues de la journée, j’ai vu d’autres choses où ça allait, mais bon, ça demandait pas mal de réflexion pour l’agencement. Enfin, ça laisse un tout, un micmac, quelque chose, enfin, donc bon je me dis : « je laisse tomber aussi ». Et il y a un dernier qui s’avère être finalement deux maisons.
Kendy : D’accord.
Laura : Enfin, deux maisons immeubles au lieu d’un. Visiblement, chaque immeuble, c’est juste 85 000. Sauf que de ce que l’agence immobilière me disait : il y a possibilité de faire ça passer à 100 000, parce que ça fait un an que le bien est en vente et le proprio demandait trop. Ça fait sinon quatre à six ans que le bien n’est plus occupé. Voilà ! Donc du coup, moi, ça m’intéresse pas mal parce qu’il y a la possibilité de faire entre sept et dix logements.
Kendy : Ah Oui ?
Laura : Oui. Entre sept et dix.
Kendy : Pourquoi autant d’écarts ?
Laura : Parce qu’en fait au rez-de-chaussée, c’est 3 logements sûrs. Au premier, c’est là où je ne sais pas trop parce qu’au premier, t’as la possibilité soit de laisser tel quel, en fait, c’était des anciens bureaux. Donc, il y a trois bureaux qui sont desservis par un couloir sur la droite. Et puis, il y a un petit sas sur la gauche. Mais le petit sas, genre, ça a pu faire une buanderie ou un truc comme ça. Et c’est le même schéma au deuxième, sachant qu’il y a un petit bonus au deuxième, ce qui explique les différences. Donc, en fait, c’est soit je laisse trois logements à chaque fois sur le premier et le deuxième étage, soit je les regroupe en deux à chaque fois.
Kendy : Alors je ne comprends pas pourquoi tu… parce que ton but de toute façon, tu l’as compris, toi, que c’est d’en faire le maximum possible. Alors du coup pourquoi tu hésites à en faire deux ou trois ?
Laura : Alors en faire deux ou trois, parce que visiblement, c’est pour ça que j’attends l’estimation du… le mec de la maison des travaux, il a déjà fait l’estimation pour ce bien là, le dernier que j’ai visité. Visiblement, étant donné que chaque studio, il y a un genre il est à 15m² et l’autre est 16m et l’autre est à 17, ça semble potentiellement petit et que faire des studios séparément reviendrait à plus cher.
Kendy : Je ne comprends pas trop. Qu’est-ce qui reviendra plus cher de faire des studios séparément ?
Laura : Là, il y a trois bureaux par étage. Faire des studios dans chaque bureau, reviendrait à, de ce qu’il me dit, plus cher que de fusionner à chaque fois et d’en faire deux au lieu de trois à chaque fois.
Kendy : Mais bien sûr, c’est comme si en gros, il te disait : « en fait, faire un T2, ça, tu pourras louer un T2 plus cher qu’un studio », c’est normal. Tu vas pouvoir louer le T2 peut-être, je ne sais pas, à 450 Euros, comme je le dis souvent. Et puis, le studio, tu peux le louer que…
Laura : 300 Euros.
Kendy : Mais si tu peux en mettre deux studio, finalement c’est plus rentable pour toi !
Laura : Oui, c’est plus rentable.
Kendy : Donc, c’est sûr au début. T’as un truc un peu plus cher. Mais toi, ce que tu dois regarder, c’est OK, qu’est-ce que ça va te rapporter ? Ce n’est pas juste…
Laura : C’est ça. Oui ? Vas-y ! Vas-y !
Kendy : Non vas-y ! Vas-y !
Laura : En fait, c’est pour ça que je lui ai dit. Etant donné que lui, il a fait l’estimation avec sept studios, moi, je lui ai dit de me faire l’estimation avec neuf. Comme ça je vois avec neuf, et je vais lui demander de m’intégrer la fourniture et pose de salle bains et kitchenette pour que je voie combien ça coûte et que je voie, moi, derrière si ça peut rentrer dans le budget. Sachant qu’ayant déjà fait avec le scénario qu’il a proposé de 130 000 Euros travaux, bon, je vais devoir négocier. Avec le format 130 000, je peux potentiellement, je pense gratter 10 à 20 sur le bien et puis peut-être 10, voire 15 sur les travaux, je ne sais pas, je dis ça à vue d’œil comme ça. Mais bon, à voir, il faudrait que je négocie. En fait au total, si je pars sur la première estimation qu’il a faite, les biens, je pourrais les avoir entre 90 et 100, c’est ce que la nana me dit. Mais ajouté aux travaux, donc ça me fait plus 130 000. Ça fait à peu près 220, 220 même plus. Je ne sais même plus qu’est-ce que j’ai noté. Où est-ce que j’ai mis ça. Oui, avec toute l’estimation que j’ai faite : frais de notaire, etc., le premier scénario avec 100 000 pour les 2 logements, ça me fait de 270 000. Deuxième scénario avec les deux logements pour 90, ça me fait 259 000.
Kendy : Alors ça pour moi, ça il faudrait que tu regardes effectivement au niveau du devis qu’il va te faire. Après pour moi, je pense qu’il faudra quand même que tu fasses une visite avec un vrai artisan. Tu vois, parce que là, lui, c’est juste un courtier. Donc vous n’aurez pas les mêmes photos.
Laura : Oui.
Kendy : Mais je pense aussi qu’il y a autre chose à laquelle tu dois faire super gaffe, c’est au niveau de ta capacité d’emprunt. Parce que s’il y a de vrais risques de pouvoir partir sur des projets qui sont assez conséquents, mais le truc, c’est qu’il ne faut surtout pas oublier ta capacité d’emprunt pour toi. Donc, toujours dans ton esprit : est-ce qu’effectivement… voilà ! C’est ça !
Laura : Oui, en parallèle
Kendy : Est-ce que ça peut passer au niveau du financement.
Laura : C’est ça. Et en fait, en parallèle, je suis en train d’harceler mon banquier pour qu’il puisse me faire des estimations pour ma capacité d’emprunt. Même si après, je peux essayer avec une autre banque et puis ensuite négocier autrement. Mais lui, qu’il me dise quelle est ma capacité d’emprunt. Parce que j’avais regardé un peu avec…
Kendy : Après, on n’a pas forcément la même capacité d’une banque à l’autre, mais au moins, ce que tu peux déjà faire, c’est voir avec le site Meilleurtaux, t’auras déjà une première estimation. Si tu vois que sur Meilleurtaux, t’es à 150 000–200 000, tu vois, ça ne sert à rien d’aller taper sur des projets à 300 000 quoi, tu vois ?
Laura : Oui, c’est sûr. De toute façon, si le format, il est à 270 000, je sais déjà que ça va être chaud ça. Donc, bon le deuxième, plutôt si j’arrive à négocier 90 000 pour les 2, baisser sur les travaux, Oui. Baisser sans non plus déconner sur les travaux, mais bon il faut voir.
Kendy : Oui pour moi, effectivement, il faut regarder. Mais surtout, il ne faut pas, parce que là je ne sais plus qu’il y avait eu un truc comme ça, j’avais un sprinteur qui avait pour un superbe projet avec je ne sais plus, 12 appartements et tout, mais le problème c’est qu’au niveau du financement, c’était tendu parce que sa capacité d'emprunt était vachement impactée. Parce que certaines banques vont accepter que tu mettes des attestations de loyer, donc là encore ça peut justement nous permettre d’aller un plus loin. Mais quand tu veux par exemple passer sur des projets vraiment plus conséquents et que la banque, elle n’accepte pas de prendre les attestations de loyer, du coup, c’est plus compliqué. Alors c’est sûr qu’on va toujours essayer de le passer avec les attestations de loyer. Que ce soit avec les agences immobilières ou que ce soit avec le notaire, le but c’est de passer effectivement à ces attestations-là. Et si c’est passé, tant mieux, nous, on peut aller sur le projet plus conséquent, mais parfois c’est un peu limite.
Laura : Ça peut bloquer.
Kendy : Donc, il faut toujours garder une porte de sortie en disant qu’on peut effectivement, et tu peux essayer de chercher les projets un petit peu au-dessus de ta capacité d’emprunt tu vois ? Genre, je dirais 30, 40 000, 50 000, mais si truc fait deux fois ta capacité d’emprunt, là c’est tendu.
Laura : Oui et puis du coup, pour l'autre bien que je suis retournée voir pour la deuxième fois, là, il y a une possibilité entre cinq et sept logements. J'attends, et donc le mec doit me faire son retour sur les estimations, au moins ça me donne un peu une idée. Mais là, j’ai reçu tout à l’heure un SMS de l'agent immobilier qui me dit : « attention, le notaire vient de m'appeler, il y a quelqu'un sur la maison ». Donc, ça me saoule en fait. Parce qu’en fait, celui-là aussi, il est intéressant et bon, c’est chiant !
Kendy : Non, non. Mais qu’il y ait quelqu’un ou pas, ça ce n’est pas ton problème ça.
Laura : Oui, je sais, mais…
Kendy : Franchement, j’ai envie de dire, souvent, on se dit : « Oui mais il y a déjà quelqu’un » et du coup, ça c’est une technique des agents immobiliers, histoire de…
Laura : Ah oui, je sais. Ah non non, je ne suis pas en train de me dire : « Oui, il y a déjà quelqu’un, je laisse tomber ». Non, non. Mais je n’aimerais juste pas que cette personne aille plus vite que moi, c’est tout, mais je ne lâche pas.
Kendy : Oui. Non, mais même. Et surtout dans l’autre sens aussi, il ne faut pas se faire avoir dans l’autre sens, c’est-à-dire que tu ne te dis pas : « comme il y a quelqu’un, donc toi, tu vas aller plus vite ou alors tu vas proposer plus cher que ce tu devrais », c’est juste pour…
Laura : Ah, non non. Non non non, je reste quand même lucide là-dessus. Je me dis : « voilà, ma foi, si je ne l’ai pas, je ne vais pas non plus aller faire des folies pour l'avoir », non non.
Kendy : Oui, OK.
Laura : Oui, je reste lucide là-dessus. Enfin moi je ne perds pas d’objectif. Dans mon objectif, il me faut une rentabilité. Donc, je n’ai vais aller non plus sur des projets casse-cou.
Kendy : Oui. Non, mais t’as raison.
Laura : Donc, voilà où j'en suis. Enfin, j’ai deux biens que j’ai repérés qui sont vraiment pas mal. Je t'avoue que je préfère celui qui peut potentiellement faire jusqu'à neuf logements. Parce que un, le tout-à-l'égout est déjà fait. Donc, ça m’enlève un truc. Deux, la toiture, les poutres sont saines. Et quatre, l’escalier est en béton, l’escalier est nickel, le truc ne bouge pas et c'est hyper bien desservi en fait. Là, tu n’as rien à faire. Tu n’as pas de couloir à créer.
Kendy : OK.
Laura : Il faut juste ramener l'eau. Et il y a de l’eau à chaque étage, même s’il faudra faire les passages, mais oui, tout est déjà nickel, presque !
Kendy : OK. OK. Je vois. Bon tu vois que là, tu le vois direct du coup maintenant quand c’est *0:22:34* ?
Laura : Oui, j’ai pensé à toi parce que du coup, je me suis rappelé, tu m’avais dit : « quand tu vois, il y a un projet et tu te dis oui, tu sais tout de suite qu’il est bon ». Et quand je l'ai vu, en fait ça a été limite, oui le coup de cœur, le truc. Je me suis dit : oh putain ! Ah Oui ça, ça oui. Celui-là Oui. Celui-là est top. Mais bon, après bon, on verra. Ecoute, si c’est celui-là que je dois avoir, je l’aurai. Si ce n’est pas ça, ça sera un autre, et puis voilà.
Kendy : Oui. Non non, t’as raison. T’as raison. Mais écoute, surtout ne t’en fais pas. Donc maintenant, essaie d’avancer sur ça et puis, on verra bien ce ça donne.
Laura : Oui. Je peux poser deux questions ou pas ?
Kendy : Vas-y !
Laura : Oui. Alors je voulais savoir, comment le code 127 garantit la rentabilité, tu sais, à 15% ? Et quand tu parles de rentabilité 15% dans les vidéos, tu parles de rentabilité brute ou bien nette ?
Kendy : Alors, c’est forcément de la rentabilité brute, parce que la rentabilité nette, elle dépend forcément de ton taux majeur d’imposition. Tu vois, si on doit prendre en compte tes impôts et tout, si toi tu es à, je ne sais pas, à 14 % et que quelqu’un est à 30%, vous n’aurez pas la même rentabilité nette. C’est pour ça que c’est forcément de la rentabilité brute. Et en fait, le code 127, c’est juste le calcul qui permet de dire qu’en gros : tu vois par exemple si tu rembourses un truc sur dix ans, c’est que tu as une rentabilité de 10%. Et en fait, à sept ans, ça fait que tu auras une rentabilité d’à peu près 15%. Donc, en se basant sur ça, ça t’évite de devoir faire des calculs compliqués du prix en divisant par le nombre de revenus, etc., tu vois ça fait des comptes et calculs compliqués. Alors que là avec le code 127, ça te permet de rapidement avec ta calculette à te définir un budget que tu ne dois pas.
Laura : Oui. Donc, ça va. Alors si j’ai bien compris, à ma septième année, ma rentabilité sera de 15% c’est ce que t’as dit ? C’est le point mort ?
Kendy : Oui. Le code 127, c’est en fait les revenus que tu vas avoir durant l’année. Donc x12, c’est pour ça qu’on fait x12. Donc, ça c’est pour l’année. Et après, x7, c’est sept ans. Et quand tu fais un retour sur investissement en sept ans, c’est forcément une rentabilité de 15 %. Si tu fais 100 divisé par 7, tu verras ça te donnera un truc genre 14 quelque chose, c’est à peu près 15%.
Laura : D’accord. En fait, les sept ans, c’est le point mort comme en compta. C’est ça ?
Kendy : Oui, on va dire que pour toi…
Laura : Parce qu’en fait, c’est le 7 qui me dérange. Les 12 x 12, OK à l’année, mais les sept ans ?
Kendy : Mais en fait, dix ans, c’est 10%. Quand tu rembourses ton bien sur dix ans, ça te fait 10 %. Et si tu rembourses sur 20 ans, ça veut dire que tu auras une rentabilité de 5%. Ça veut dire que le bénéfice que tu as te permet… du moins, les revenus que tu as te permettent de payer ton bien en totalité pendant 20 ans. Donc, ça c’est 5%. Si les revenus que tu génères permettent de payer le bien sur dix ans, c’est que c’est une rentabilité de 10% et sept ans, c’est 15%. Mais après, ne te prends pas la tête pour ça. Simplement, ce que tu dois retenir, c’est que le budget que le code 127 te donne, c’est le budget que tu ne dois pas dépasser. Après, ce qu’il y a derrière, je vais te dire, c’est… dis-toi juste que c’est une boîte noire que tu mets un chiffre dedans et ça te donne ce que tu ne dois pas dépasser. Et puis, c’est tout, mais il ne faut pas que tu prennes la tête par rapport à ça. OK ?
Laura : D’accord, ça marche.
Kendy : Je ne sais pas si tu avais d’autres questions, ça c’était la première, et la deuxième c’est quoi ?
Laura : Ah, j’ai posé les deux-là !
Kendy : Ah, OK.
Laura : Il y avait le pourquoi le 7 là, et tu sais la rentabilité brute, nette là !
Kendy : OK, ça marche. Non mais ça marche. OK. En tous cas, si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonnerai la parole.
Laura : Oui, ça marche. Merci Kendy.
Kendy : OK. Bon, à tout à l’heure.
Laura : À toute.
Kendy : All right. All right. OK. Je vois qu’il y a notre ami Anthony. Anthony, je vais te donner la parole. Tu pourras me dire un petit peu où est-ce que tu en es ? Salut Anthony ! Alors, il faut que tu actives ton micro. Tu dois avoir un bouton où tu peux cliquer dessus et comme ça tu actives ton micro. Yes, normalement, ça devrait être bon.
Ah, ça ne passe pas. On ne t’entend pas. Ce qu'il faut que tu fasses, essaies de te déconnecter et te reconnecter. Et puis comme ça, on va réussir parce que là, on ne t’entend pas. Ton micro est bien actif, mais on ne t’entend pas. Soit tu n’as pas de micro ou soit il y a un petit souci. Il faut juste que tu te déconnectes et que tu te reconnectes, OK ?
All right. Je vois qu’il y a un autre ami Johan. Yes Johan. Alors comment vas…
Johan : Salut ! Tu m’entends bien ?
Kendy : Oui, je t’entends, Oui.
Johan : Oui. Salut ! Ça va ? Moi, ça va bien et toi ?
Kendy : Bien, ça va nickel.
Johan : Wep wep wep. Donc, pour rappel, je rappelle un peu ma situation. Donc, moi, je suis toujours à la phase de recherche de financement. Donc, voilà. Je suis en relation avec plusieurs courtiers. Et ils travaillent de leur côté et ils me recherchent un financement. Donc voilà. Là, c’est un peu *tout le monde là*. Aujourd’hui, je n’ai pas trop de réponses, puisque bon, ils sont sûrement occupés. J’ai relancé par téléphone directement. Madame *Hennequin*, elle m’a envoyé un message après pour me dire qu’elle me rappelle demain. Donc, ça c’est OK. Ensuite, il y en a une autre. Donc, elle, je la rappellerai demain, tiens. Et par contre, je dois relancer aussi deux autres courtiers. Mais bon eux, les derniers rappels que je leur ai envoyés, c’est vendredi. Donc, je les laisse respirer un peu lundi, mais je les rappelle dès demain.
Kendy : OK, ça marche. Mais du coup, t’as bien pensé à présenter le projet avec le budget un peu en dessous ?
Johan : Oui oui oui, je suis passé à un budget en dessous. Pour rappel, j’étais à 180 000 au début, mais c’était pour tout faire. Et là, je passe plutôt à 150 000-140 000 pour éventuellement faire la plupart, préparer le chantier sur l'étage le plus haut. Enfin, sur le bien, bref, préparer le dernier bien à l’étage le plus haut, comme ça, ça ne dérange personne s’il y a des locataires, mettre de la trésorerie de côté, quitte à faire un Sofinco ou un Cetelem après coup pour finir. Donc, j’en suis là.
Kendy : OK. Ça marche. Ah bien, c’est parfait. Mais du coup, de tout façon, toi, tu pourras faire le point avec eux demain et puis comme ça nous, on aura un peu plus de nouvelles pour jeudi.
Johan : Ç’est ça. Là, je n’ai pas forcément de nouvelles fraîches et après s’il y avait deux axes de travail, on va dire, il y avait aussi, je ne sais pas s’il se rappelle. Pour rappel, la situation, c’est voilà : mon revenu, on va dire convenable, mais voilà, un contrat intérim et donc, là, tu vois, j’ai eu encore deux retours, me disant que oui, je suis en intérim depuis moins de 36 mois au total, bla bla bla. Donc, moi, mon autre axe de travail ici, c’est trouver le CDI. Là, j’ai tout remis à jour tout ça. J’ai déjà eu des coups de fil aujourd’hui. Donc, on va dire ça aussi ça doit passer. A la limite donc voilà. Donc, ça c’est mon autre axe de travail. Ce qui m’amène à ma question : en fait si tu veux, moi, clairement, on va dire, enfin il commence à me gonfler à me dire : Oui bla bla bla intérim je ne sais pas quoi, ça sent que voilà, en brut, je suis à 3000, c’est bon, ce n’est pas non plus un revenu de merde. Donc, ce qui m'embête c'est qu’en fait comment vendre ? Là, je pars de l'hypothèse que je trouve un CDI. Donc, ça fait, allez, on va dire 3 mois de préavis. Là, si on va dire : allez, je mets fin septembre. Donc ça veut dire : octobre, novembre, décembre. Ma question, c’est je pense que c’est possible de pouvoir repousser la date. Aujourd’hui, c’est le 17 octobre pour la signature de compromis, de pouvoir la repousser éventuellement à fin décembre. Je pense que ça peut être possible, puisque le bien, il est en vente depuis longtemps. Mais en fait, comment le vendre ? Voilà. Je n'ai pas envie de passer pour un mec pas sérieux, après…
Kendy : Tu le vends de façon très simple. C’est petit retard. Il y a un petit retard, on doit attendre, on n’a pas encore trouvé le financement. Là, il y a eu des petits retards avec les vacances et tout le truc. Donc, Oui. Il faut juste patienter un peu parce que de toute façon aussi, dans tous les cas, s'il doit passer avec quelqu'un d’autre, il perdra plus de temps qu’à patienter pour toi, tu vois ?
Johan : Oui.
Kendy : Puisque de toute façon, tu vois, si là, c’est dans 3 mois, le temps de retrouver un nouvel acheteur, etc., après, s’il y avait un acheteur, là qui tape à la porte et qui voulait acheter, genre comptant. Mais tant qu’il n’y a pas d’acheteur de l’autre côté, et puis bon, en même temps, même s’il y en a, tu t’en fiches, tu vois. Et puis, il ne peut pas y en avoir puisque le bien, logiquement comme il est sous compromis, il n’est plus censé être visité. Donc, ce n’est pas un bien qui est encore affiché sur le marché ou alors s’il l’est encore, ils ne peuvent pas le visiter. Donc…
Johan : Non, c’est bien que tu dises ça, je l’ai vu. Enfin, je regarde encore les annonces et je l’ai vu le bien. Je l’ai vu le bien, il est encore là.
Kendy : Oui, après ils peuvent le présenter. Moi, c’est arrivé, je me rappelle, j’avais un bien sur lequel j’étais aussi et là, les gens, ils avaient même signé un deuxième compromis.
Johan : Hein ?
Kendy : Oui, ils ont signé un deuxième compromis. J’ai dit : « mais moi, je n’ai jamais dit que je me dégageais de la vente, tu vois ? (Rire.) Et puis, ils ont dû annuler l’autre compromis et tout. Donc, mais ils avaient signé ça chez un autre notaire. Donc, c’est pour ça que c’était passé *un palace*, mais logiquement, il n’est même pas censé faire des visites sur ce bien-là, à part si c’est une autre agence qui avait aussi le bien et qui fait des visites sans savoir que ça a été mis sur compromis. Et ce sont des choses qui arrivent. Parce que des fois, j’ai même des sprinteurs qui me disent : « en fait, le bien a été vendu hier ». Je dis comment ça, vendu ? Oui, vendu ! Ce n’est même pas un compromis, mais vend. Parce que en fait, l’agent immobilier, il n’était même pas au courant que… ou le vendeur avait signé un compromis et du coup, il a continué à faire des visites alors que… c’est du boulot pour rien. Alors, je ne sais pas si c’est normal Johan, mais je crois que ton micro est désactivé. Et je ne sais pas.
Johan ? Johan ? Je t’ai perdu. Je crois que ton micro s’est désactivé. Je ne sais pas si c’est normal, mais je t’ai perdu Johan. En tous cas, si tu m’entends, je t’invite à te déconnecter et à te reconnecter, puisque je ne t’entends plus.
OK. Je vois qu’Anthony est revenu. Alors Anthony, je vais te donner la parole.
Yes Anthony. Alors là, il faut que tu actives ton micro.
Anthony : Allô ! Allô !
Kendy : Yes, comment vas-tu Anthony ?
Anthony : Ça va, et toi ?
Kendy : Ça va nickel. Alors où en es-tu là du coup ?
Anthony : Là j’ai commencé à voir toutes les vidéos de la première semaine, je les ai regardées aujourd’hui. J’ai récupéré donc les fichiers qui sont sur les partages, sur le Google sheets si je ne me trompe pas. C’est le tableur Excel de Google. Donc, je commence à avancer, il y a pas mal de petits trucs que j’ai trouvé sur leboncoin. Donc, je fais ça entre midi et 2:00. Là, je viens de rentrer chez moi. Donc, là je continue à bosser, à regarder sur mes recherches. Donc, je fais des recherches exactement par Département, par rapport à mes critères et voilà.
Kendy : Bon, c’est bon. Donc là, il faut que fasse du volume. Ça, c’est vraiment la clé dans ce métier-là en tous cas, c’est vraiment faire du volume. Donc, là essaies de vraiment envoyer du très lourd en termes de volume, essaies de vraiment renseigner au maximum ta fiche d’analyses et puis comme ça toi, tu auras énormément de biens à aller voir. Et puis, tu verras de biens, plus tu auras de chances de faire les offres, et plus tu auras des offres qui pourront passer. Et plus vite tu pourras signer ton compromis et plus vite tu pourras signer ton bien. Et tu l’as compris plus vite, tu pourras générer des Euros. Donc, c’est vraiment envoyer du très lourd là. Envoyer du volume, du volume, du volume. Non, mais c’est cool. Alors je ne sais pas si tu as des questions justement par rapport à ce que tu as déjà pu voir ou pas ?
Anthony : Pour le moment, non. Là, je remplis toujours le formulaire et je pense que si je le complétais bien, et peut-être par la suite, j’aurai les questions qu’il va générer.
Kendy : OK, bon ça marche. En tous cas, si tu as des questions, n’hésites pas et comme ça on avance parce que l’idée, c’est que tu puisses avoir le maximum de biens et que tu puisses être sur le terrain rapidement, OK ?
Anthony : Même chose que je n’ai pas encore bien analysé, c’est en partie par rapport aux villes. Par rapport à mon précédent projet, ce registre, je le connaissais déjà, donc, voilà, je n’ai même pas trop calculé avec le fichier, mais par rapport une notre ville, il faudrait que je voie, il faudrait que j’analyse un peu plus par rapport aux trois critères en fait.
Kendy : De toute façon, tu verras, tout est expliqué par rapport justement à l’analyse des villes et tout par rapport aux nombres d’habitants. Et regarder un petit peu les points d’intérêts et tout ça. OK, tu pourras regarder tout ça et puis une fois que tu as fait ta sélection de ville, tu envoies du steak mon gars ! Il faut envoyer. Là, je te dis, c’est vraiment et je le vois, c’est vraiment mathématique, celui qui présente un ou deux biens, il a moins de chance que celui qui présente 60 biens. Après il y en a qui ont de la chance, tu vois, le genre au bout de, je ne sais pas, au bout de deux semaines, ils ont déjà trouvé un bien et ils ont déjà peut-être fait des offres. Je pense avoir Mathieu qui au début, dès son arrivée, il m’a trouvé des trucs. Bon après, ça n’a pas forcément marché, tu vois les… ceux qui ont un peu plus de chance, mais heureusement, je te dis la clé, c’est le volume. Donc, ce n’est même pas vraiment de la chance, c’est juste mathématique. Donc, continue et puis tu me donnerais peut-être des nouvelles jeudi pour la prochaine session pour me dire un petit peu où est-ce que tu en es. OK ?
Anthony : Pas de souci !
Kendy : Ça marche. En tous cas, si tu as d’autres questions, n’hésites pas à poser une question dans la Chatbox et puis comme ça, moi, je te redonnerai la parole.
Anthony : OK, nickel !
Kendy : OK. À tout à l’heure Anthony.
Anthony : OK. À toute !
Kendy : Alright. Alors je vois qu’il y a Malika. Alors Malika, je vais te donner la parole. Coucou Malika ! Ton micro est désactivé. Alors ton micro est toujours désactivé, Malika. Je ne sais pas si tu m’entends ? Yes. Ah là, il est activé mais on ne t’entend pas. Je pense que c’est pareil qu’Anthony tout à l’heure, il faut que tu te déconnectes et que tu te reconnectes. Puis comme ça ce sera beaucoup mieux. Attends, je te redonne la parole du coup. Allô !
Malika : Allô !
Kendy : Salut Malika, comment vas-tu ?
Malika : Ça va, merci, et toi ?
Kendy : Ça va nickel. Alors ça dit quoi maintenant ? Tu en es où ?
Malika : Alors là, j’ai contacté le courtier dont la sprinteuse avait partagé le contact. Je l’ai appelé, elle m’a dit que ma situation était trop compliquée. Et qu’elle ne voulait pas travailler avec moi. Je lui ai dit OK !
Kendy : Après ça, il ne faut pas prendre pour toi. Ça c’est des choses qui arrivent ça. Il ne faut surtout pas, alors je dis ça pour toi, mais.... Bon, ça arrive qu’un courtier… en plus je ne sais pas s’il est payant ou *gratuit*, justement je ne le connais pas du tout, je ne sais pas comment il travaille. Mais comme je l’ai dit souvent quand c’est des courtiers gratuits, ils ne se prennent pas toute la tête. Donc il n’a même pas le temps de monter des dossiers. Moi je dis, quand mon courtier, lui, il est cher, il est à 2500 Euros je crois, mais c’est le seul qui ait accepté de prendre mon dossier, et il a fait passer. Donc, je veux dire qu’il ne faut surtout prendre ça pour toi, en te disant : « OK, il ne veut pas de mon dossier, donc c’est du coup, il ne peut pas être pour but aller trouver les bons courtiers ». Alors je ne sais pas si t’avais eu Madame *Hennequin*, toi, elle t’avait dit comment elle allait faire ?
Malika : Non, elle ne m’a rien dit. Et je n’ai pas réussi à la joindre.
Kendy : T’as pas réussi à la joindre ?
Malika : Et en plus, aujourd'hui, j'ai voulu la contacter, mais j’étais très occupée avec mon travail. Du coup, je n’ai pas réessayé aujourd'hui. Il y a mon conseiller qui m'a contactée en fin de journée. Du coup, je vais voir avec lui demain après-midi, j’ai pris rendez-vous avec lui pour qu’il me fasse mon dossier directement.
Kendy : D’accord, OK. Bon après tu peux toujours avec ton conseiller, mais pour moi, il faut quand même aussi que tu vois ailleurs, parce que bon…
Malika : Oui.
Kendy : C’est l’idée, c’est d’essayer d’avoir le choix au maximum. Avoir le maximum de personnes, et puis comme ça, ça te permettra de maximiser tes chances d’obtenir la plus haute en financement. Mais pour moi, il faut vraiment que tu essaies de voir avec Madame Hennequin, et puis en fonction de… vous allez voir ensemble la meilleure façon de présenter le projet. Par rapport à ta situation ou par rapport à la localisation du bien et par rapport à ces partenaires aussi. Puisqu’en fonction des partenaires, tu vois, si le financeur est à Paris, ta résidence principale, et que tu travailles sur Paris, il va se dire : « oh là là, mais c’est quoi ce truc un peu bizarre ? » Tandis que si c’est un financeur qui est dans la ville dans laquelle tu vas acheter, il va venir habiter tu vois, là ça peut vite facilement passer. Toi, dans tout ça, il faut que tu voies avec elle quel partenaire doit-on solliciter et de quelle façon ce sera plus simple pour vous de faire passer le projet. Mais il ne faut surtout pas que dise « je n’arrive pas à l’avoir ». Alors on sait tous que là maintenant, il y a plusieurs sprinteurs qui la contactent, du coup, ça peut faire un peu embouteillage, mais il ne faut pas que tu lâches.
Malika : OK, ça marche. Et du coup, avec l'agence immobilière qui a le bien, ils m’ont donné un compromis. Et sur le compromis en fait, j’en ai parlé à mon conseiller, il m'a dit que c'est bizarre ce qui est marqué sur le compromis. En fait, c'est marqué dans les conditions suspensives, c'est marqué que moi, en tant qu'acquéreur, je suis dans l'obligation de justifier au vendeur dans un délai de 48 heures, une offre de prêt.
Kendy : Je pense qu’ils se sont trompés de… ils ont voulu sûrement mettre jours, parce que 48 heures, ce n’est pas possible !
Malika : Parce que c’est ce qu’il m’a dit aussi.
Kendy : Impossible. C’est juste impossible. Je dirais même « pas imaginable » parce que le temps que tu ailles consulter ton banquier qu’il te fasse une offre de prêt, ce n’est pas possible. Donc, je pense qu’il voulait mettre « jours ». Mais dans ce cas-là, il faut juste que tu leur dises qu’ils se sont bourrés et puis voilà ! Et comme je disais aussi, il faut surtout ne pas signer le compromis tant que tu n’as pas fait valider ça avec ton notaire. Le projet de compromis, ça je dis ça pour toi, mais je dis ça pour l’esprit des autres sprinteurs aussi, il faut toujours faire valider le projet de compromis avant de signer quoi que ce soit. Je crois que c’est Malik qui m’avait fait ce coup-là, qui avait signé un compromis alors que je lui avais dit de ne pas signer, et du coup, on avait dû annuler le premier compromis pour remettre les bonnes conditions. Parce que le problème qui se passe, c’est que si tu signes le compromis dans les mauvaises conditions, si tout se passe bien, ça va. Mais si demain, il y a un souci, je ne sais pas, au niveau du financement, d’un retard par rapport à quoi que ce soit, *si on veut t’attaquer*, on peut, parce que tu seras en faute en fait. Tu vois ? Si on prend l’exemple des travaux, c’est l’exemple typique. Des fois, les agences refusent de mettre le montant des travaux sur le compromis. Donc si toi aujourd’hui, tu as un projet total de 200 000 Euros et le bien par exemple représente 100 000 Euros. Et toi, tu vas faire une demande de prêt. La banque te dit : « OK, moi je vais vous prêter 100 000, mais par contre les 100 000 pour les travaux, moi, je ne peux pas vous les prête ». Donc soit avec un accord de prêt, avec un billet que tu pourras financer, mais que tu ne pourras pas rénover. Ou soit, la banque te dit : « moi, je refuse de prêter 200 000 Euros, parce que toi *0:45:51*. Le refus en question, tu ne pourras même l’utiliser pour te dégager de la vente, parce que sur le refus, ce sera noté : « nous refusons le prêt d'octroyer un prêt de 200 000 Euros à Madame Malika ». Et alors que sur ton compromis, c’était noté qu'il fallait financer 100 000. Donc là, le vendeur te dira : « oui, mais moi, je ne t’ai pas dit de demander 200 000 moi. Moi, je t’ai dit de demander 100 000 ». Donc du coup, tu peux toujours te dégager de la vente. Mais si tu ne peux pas, si tu ne veux pas suivre l’instruction qu’on te demande, du coup, tu vas devoir payer les 10%. Donc là, si c’est 100 000 Euros, tu auras 10 000 Euros à sortir. Donc, ça il faut surtout faire attention à ça. Donc, ça c’est le truc les plus graves. Mais je veux dire dans tous les cas, il faut toujours faire valider le projet du compromis au notaire pour que justement lui, il puisse faire des vérifications que toi, tu ne peux pas faire en tant qu’une personne physique. Tu ne peux pas aller par exemple ou demander, je ne sais pas, *l’historique du bien*. Il n’y a que le notaire qui peut faire ce genre de demande.
Malika : D’accord. OK.
Kendy : Donc du coup, toi, ce que tu dois faire c’est valider avec ton notaire. Ton notaire, il a validé le projet ou pas ?
Malika : Non pas encore, il ne l’a pas encore vu.
Kendy : D’accord. Mais ce que tu fais c’est…
Malika : Puisqu’on me l’a envoyé ce week-end.
Kendy : Oui. Envoie-lui le projet et puis, une fois qu’il sera validé… de toute façon, tu peux déjà lui dire que t’as remarqué quelques erreurs, quelques anomalies et puis après, lui il rentrera directement en contact avec le notaire du vendeur. Et lui, il fera le nécessaire. Mais moi, tu vois, ce que j’aime bien faire, c’est que, moi je me dégage rapidement du projet. Tout de suite, dès que j’ai le compromis et tout, je dis : « voyez avec mon notaire ». C’est limite, moi, c’est comme si tu faisais : « voyez avec mon avocat », tu vois ? Genre, ce n’est pas toi qui gère après. Tu dis « voyez avec mon notaire c’est lui qui gère ». Et quand il me dit que c’est OK, moi je signe.
Malika : Voilà, OK, ça marche.
Kendy : OK. Donc voilà ! Et puis au niveau du… oui, et pense effectivement à regarder ce que j'ai mis dans la semaine trois là pour les différentes conditions suspensives que tu dois mettre. Et puis là, tu pourras voir au cas où si tu dois te retourner et tout, que tu puisses tout avoir à porter de mains. OK ?
Malika : Oui. OK, ça marche.
Kendy : Ça marche, parfait. Je ne sais pas si tu as d’autres questions Malika ?
Malika : Non non. Pour le moment, c’était tout.
Kendy : Bon, c'est parfait. Alright. Alors en tous cas, si tu as d’autres questions, je te redonnerai la parole alors.
Malika : Ça marche, je te remercie.
Kendy : OK. À tout à l’heure.
OK, je vois que notre ami Johan est revenu. Alors attends ! Oups.
OK Johan, je vois que t’es revenu. Mais je suis un peu embêté parce que j’ai un truc, Oui, que j’ai fait une mauvaise manip. Là, ça devrait être oublié. Je te redonne la parole Johan. Tu es en ligne, mais il faut qu’on… alors là, tu es en ligne Johan. J’ai bien vu ton message, mais il faut que tu actives ton micro. OK.
Johan : Oui, désolée, petite coupure, je n’ai pas compris. Oui, ce qu’on disait : oui, je disais qu’en parallèle, moi, j’étais toujours sur la recherche et tu me disais justement que je peux le vendre dans l'instance où voilà ! J'ai du retard sur le financement. Voilà ! Donc OK ! Parce que moi j'ai peur qu'on me prenne pour un mec pas sérieux quoi, enfin…
Kendy : Là aujourd'hui, je dis, tout ce qui doit être émotionnel, c’est des trucs que tu dois mettre de côté. Tu vois, là on fait du business. Franchement, il y a des moments où tu vois, ça, c'est vraiment le dernier cadet de tes soucis. Tu dis qu’est-ce qu’ils vont penser, etc. ? Moi, ce que je veux, c’est qu’à la fin tu aies ton investissement qui tourne, qui te génère des revenus pour toi. Donc que le mec te dise : Oui, Monsieur, ce plan-ci, il n’est pas très sérieux et tout, ça, je m’en moque, tu vois ? Moi ce que je veux c’est que quand tu aies tes résultats. Donc après, et ça *0:50:20* le banquier qui est parti. Et puis, je ne sais pas quand il est revenu. Mais toi-même, t’étais parti en vacances aussi. C’est des choses qui arrivent. Oui, ça peut tarder un peu. C’est sûr que c’est chiant pour le vendeur, parce que lui, il s’attendait peut-être à recevoir son cash au bout de deux-trois mois. Bon, c’est un peu décalé et puis, voilà, il attendra. Mais je veux dire, s’il a déjà attendu un an, on lui dire : « écoute mec, déjà t’as attendu un an, ce n’est pas là deux mois supplémentaire qui vont te tuer ». Donc, on ne va pas s’énerver.
Johan : OK.
Kendy : Ne te prends pas la tête. Tu vois, tu avances sur tous les fronts que tu peux et la première solution qu’on trouvera, c’est celle-ci qu’on mettra en place pour que tu puisses… mais l’idée c’est que tu puisses avancer sur le projet. OK ?
Johan : Yes, yes. OK, je te remercie. Après je n’ai pas d’autres questions. Enfin, je suis… voilà, c’est en cours. Donc, je n’ai pas plus de question pour l’instant. Tout est en cours.
Kendy : OK, ça marche. En tous cas, on continue d’avancer et puis, dès que tu as du nouveau, tu me tiens au courant. OK ?
Johan : Merci Kendy !
Kendy : Ça marche. Je t’en prie Johan.
Johan : Ah oui ! Juste excuse-moi, une petite question, c’est au sujet de la réunion du 21 septembre. Oui en fait, si tu veux moi j’ai une question puisque tu sais sur la formation, je me suis inscrit avec Jessica et on a partagé les frais. Donc, c’est pour savoir si, comment dire ? Si elle pouvait s’inscrire elle aussi ? Parce que j’ai vu qu’il y a des frais de *bouche*. Bon après, je ne suis pas à ça près, mais c’était pour savoir si elle pouvait s’inscrire elle aussi, parce qu’on a partagé la formation, quoi !
Kendy : OK. Ecoute, ça, il faudrait que je voie avec Céline. Alors, je ne la vois pas demain parce que je suis en déplacement. Mais je la vois mercredi et puis, mercredi, au pire, je t’enverrai un mail ou je t’écrirai pour t’expliquer comment on peut s’organiser alors. OK ?
Johan : OK ! Mais déjà, je pense dès ce soir ou en tous cas demain matin sinon dans ta boîte, je te fais un petit mail avec je t’explique un peu le truc-là. Parce que je te le dis comme ça. Mais je te fais un petit mail propre, comme ça, t’as toutes les infos.
Kendy : OK, ça marche. De toute façon… parce que là, c’est Céline normalement qui gère ces trucs-là, parce que là comme je ne suis pas là, je l’ai laissée voir ça mais bon, moi, dès que je reviens mercredi, je verrai avec elle et puis, on s’organisera. Ça marche ?
Johan : OK, ça marche ! Et on en reparle jeudi de toute façon.
Kendy : Oui, on en reparlera jeudi au pire. OK ?
Johan : OK merci Kendy.
Kendy : On fait ça, je t’en prie Johan, je t’en prie.
Johan : Merci.
Kendy : Alright. OK, alors du coup. Je crois qu’on n’est pas très nombreux aujourd’hui ? Houlà là, il n’y a plus personne. Alors je ne sais pas si tu as une autre question, parce que, alors Anthony je t'ai eu. Je vois Laura, Malika, Mathieu. OK. Alors, je vais te donner la parole Laura.
Yes Laura.
Laura : Oui. Tu sais, dans une de tes vidéos, tu disais que tu avais fait une offre à l'oral. T’avais fait une offre à 130. C’était passé de 150 à 110, puis de 110 à, je ne sais plus combien ?
Kendy : C’était 150 à 130 et de 130 à 110.
Laura : Oui, c’est ça. Sauf que quand tu fais une offre écrite, comment tu fais pour revenir sur ça ? Bon, OK le compromis, il n’est pas encore signé mais… ?
Kendy : (Rire.) C’est de la façon dont je te dis là. Tu dis : « ah, je suis vraiment désolée, je ne pensais pas que ça passerait comme ça, mais j’ai vu avec mon courtier ».
Laura : Oui, avec ton courtier Oui, t’avais dit.
Kendy : « Ça ne va pas être possible. Du coup, malheureusement, il m’a dit de vous faire une offre à 105, mais je lui ai dit que non, c’est inadmissible, je ne peux pas faire ça. Et c’est quand même impossible, je ne vais pas vous faire une offre à 105. Du coup, je lui ai dit que… Bon c’est tout ! Ou au pire, moi je le ferai à 110 et je lui mettrais de ma poche, mais je suis vraiment désolée. Je ne peux pas, je suis vraiment confus, ça m’embête, mais je ne peux pas l’offre à 130 ».
Laura : Malgré le fait que ça ce soit écrit, parce que l’écrit, c’est quand même engageant. Alors oui, ce n’est pas le compromis, mais…
Kendy : Ça je te dis, c’est vraiment du… en tout, l’offre d’achat, rien n’est fait. Parce que même s’il me disait : « non non non, on a dit qu’on doive signer le compromis ». Je lui dirais : « OK, on signe le compromis et le lendemain, j’aurais renvoyé le… en lui disant : « je me dégage » quoi. Parce que t’as encore 10 jours quand tu signes le compromis, tu vois ?
Laura : Ah oui ! Oui oui.
Kendy : Donc après c’est lui qu’il se prend la tête au niveau de l’offre, tu vois ?
Laura : Oui. OK. D’accord.
Kendy : Donc si moi, je lui dis : « écoute mec, Oui je t’ai fait une offre, mais par rapport à ce qu’on a vu, là, ça ne va pas. Moi, je me dégage tranquille ». Et même au niveau du compromis, tu vois, moi, c’est arrivé que c’était du… il y avait une opération, je suis arrivé et puis, j’ai vu sur place que les mecs qui demandaient 6 000 Euros de frais d’agence sur un bien qui est à 55 000, j’ai dit « mais vous rigolez ou quoi ? »
Laura : C’est une blague ?
Kendy : Là, ça fait 10% du prix du bien, vous rigolez ? Déjà… Il me dit : « oui, vous comprenez, on est à trois à travailler dessus ». J’ai dit : « mais qu’est-ce que j’en ai à faire si vous étiez à trois à travailler dessus ? Moi, je ne suis pas là pour récompenser votre effort, moi. Je suis là pour payer le résultat. Pour moi, le résultat, c’est qu’il est fait, moi, je veux un bien. Mais là, je paye beaucoup trop cher ». Donc, j’ai dit : « vous modifiez ça tout de suite là », et on était devant un notaire. La notaire qui fait : « bon, qu’est-ce qu’on fait ? » Ils font : « non non non ». J’ai dit : « moi, vous faites ce que vous voulez, mais moi, je ne signe pas de truc à 6 000 Euros, vous imaginez quand même ? 6 000 Euros ? Genre l’autre-là, elle s’est juste pointée et a gagné 2000 balles comme ça ? Non non, moi je ne peux pas. Et puis, moi-même, « Monsieur Polestin, vous le saviez au départ ». J’ai dit : « oui, je le savais, mais je ne m’étais pas rendu compte et là, je viens de m’en rendre compte ». Donc, on change ça là ! On change. Puis…
Laura : Sérieux ? (Rire.)
Kendy : On a modifié le truc. Je te dis franchement, c’est... ne te prends pas la tête. Et puis, quand tu as déjà… tu te fais des projets, après tu deviens arrogant quoi, tu vois ? Tu sais que… (Rire.) Tu vois, c’est le truc que tu n’auras jamais fait pour ma première opération. Maintenant j’en parle et j’en ris. Mais moi, je te dis, pour l’offre, même si tu fais une offre écrite, si tu dois la changer, tu pourras toujours.
Laura : Oui. OK. Pour toi, le pourcentage de frais d’agence-là, en moyenne. Enfin pour toi, le max à ne pas dépasser, c’est 6% ?
Kendy : Après ça dépend. Moi, je dirais que l’idéal, c’est de payer le moins de frais possible, tu vois.
Laura : Et comment tu fais pour payer le moins de frais possible.
Kendy : Alors il y a des trucs de voyous, mais je ne suis pas censé vous donner ces trucs-là, mais (Rire.)
Laura : Mais tu vas être sympa et tu vas nous les donner (Rire.)
Kendy : La première méthode légale et tout, c’est d’effectivement négocier avec le mec. Tu vois, tu négocies pour voir…
Laura : Avec l’agent ?
Kendy : Avec l’agent pour essayer d’avoir le moins de frais possible. OK ?
Laura : Oui, mais comment tu négocies ça ?
Kendy : Tu lui dis : « écoutez, vous avez vu là, moi sur le projet, ça va me coûter 200 000, moi j’ai un budget 195 000. Bon, je voudrais qu’on fasse tous un peu un effort » Moi, c’est dès fois, c’est ce que je dis. Je dis : « j’aimerais qu’on fasse tous un effort. C’est-à-dire que moi, je fais un effort, le vendeur fait un effort et puis vous, aussi l’agent immobilier, vous faites un effort, parce que d’une façon, on a tous le même objectif, c’est que la transaction se fasse. Donc, mettons-nous ensemble, travaillons ensemble. Intelligemment, on fait en sorte que ça se fasse. OK ? Donc, moi je vous dis : voici ma situation, je ne peux pas faire à 100 000. Donc, moi je peux faire 95 000. Donc je ne sais pas comment on fait. Soit vous prenez 2 000 et puis, untel prend 2 000 ou vous *on fait cinq et demi*. Parce que sur 10 000, quand même vous avez de la marge quand même ! » « Oui mais attendez, bon… » OK. Tu vois. Et là effectivement. Je peux gagner 2 000 ou 3 000. Là c’est la version légale. Après la méthode un peu filou filou, c’est par exemple, bon ça, ça ne marche pas si vous… oui ça peut même marcher si vous êtes mariés. Parce qu’en général, tu vois, quand tu vas faire une visite, l’agent immobilier, il est censé te demander ton nom, prénom et vérifie ta pièce d’identité, tu vois ?
Laura : Oui, c’est absolument le moins… ça n’a pas été fait.
Kendy : Mais là, si jamais. Mais je te dis, ce n’est jamais fait. Donc l’idée, la technique de filou que tu peux faire c’est genre, tu fais par exemple une adresse Gmail genre, je ne sais pas, toi, tu t’appelles Laura et tu dis Laure Duduche, et tu fais et puis, on te demande : c’est quoi votre nom ? , c’est Madame Laura Duduche. Et puis, tu vas en visite avec le nom Laura Duduche quoi. Et le jour où ils vont te faire, tu vas pouvoir déjà rentrer en contact avec le vendeur par exemple. Maintenant, comme ils te connaissent en tant que Laura Duduche, Laura Duduche n’a pas le droit de signer une offre en direct avec le vendeur, parce qu’elle a signé un mandat de visite avec l’agence immobilière pour visiter le bien de Monsieur Dupont tu vois ? Par contre, tu n'as pas signé de mandat. Donc, toi derrière, tu peux aller voir le vendeur en disant : « mon gars, on va signer ça ensemble. Et là, effectivement, s’il avait 10 000 de frais d’agence, c’est sucré ». Je ne sais pas si c’est clair ?
Laura : Ah Oui, Oui Oui. Alors je répète, tu sais je fais la méthode où je répète pour être sûr qu’on a bien compris. En gros, voilà ! Donc, je mets sur le bon là qu’on te fait signer, Laura Duduche. Donc c’est Laura Duduche qui fait les visite, mais ce n’est pas Laura, ce n’est pas moi, quoi ?
Kendy : Oui.
Laura : Et le jour où je viens pour signer le truc, je dis : Oui. Et en plus, c’est comme si je ...Ah ?
Kendy : Moi, pour te donner un exemple plus clairement, c’est-à-dire, moi c’est Kendy Polestin. Donc moi, je vais visiter. Je lui dis que je m’appelle Jérôme Paul. Je m’appelle Jérôme Paul. Jérôme Paul, il va visiter le bien et puis à un moment, on arrive un moment où je suis en contact avec le vendeur. Je dis au vendeur : bonjour ! Je suis Jérôme Paul. Et puis, l’agent immobilier dit : voilà, je vous présente Jérôme Paul. Donc, il est intéressé par votre bien et tout. Donc, voilà ! Donc, Monsieur Jérôme Paul, c’est quoi votre offre ? Mais moi, je veux faire une offre à, je ne sais pas, à 70 000. Le vendeur, il n’est pas d'accord parce que… ou il est d’accord mais bon, il y a, je ne sais pas, 10 000 de frais d’agence et moi, ça m'embête, tu vois ? Donc, moi je retourne voir le vendeur, parce que maintenant, j’ai l'adresse exacte du bien. Si je n'ai pas le nom du vendeur, je peux le trouver avec le cadastre, et si je le rencontrais, c’est encore plus simple, parce que je l'appelle et je lui dis écoute, là c’est Kendy Polestin qui t’appelle. Moi, je veux acheter ton bien, on s’est vu. On s’est vu dans ma carcasse, Jérôme Paul. Mais là, je t’appelle avec mon vrai nom quoi. Du coup, on peut passer en direct, toi tu n’auras pas de frais, du moins, tu peux vendre en direct et moi, je gagne 10 000 et s’il le faut, je te filerai un billet de 100, histoire que tu sois content. Et puis, le mec, de toute façon, lui, il s’en fiche de tout ça du moment qu’il vend !
Laura : Ah Oui. Oui, lui, ce qu’il veut c’est ne pas payer potentiellement d’honoraires, non?
Kendy : C’est ça, exactement ! Mais ça, tu vois, je ne l’explique pas au gens, parce que c’est un truc qui est assez filou. Et après tu vois, je me dis : « bon, le mec qui a quand même bossé », c’est quand même, c’est dégueulasse d’un côté. Mais, on l’a déjà fait avec un sprinter parce que l’agence immobilière a cassé les pieds. Genre, il faisait du genre « Oui, on ne va pas présenter le bien ». Tu ne vas pas présenter ton offre au vendeur. Donc, ce qu'on a fait, c’est qu’on a été cherché le nom du vendeur avec le cadastre, puisque le cadastre c’est accessible, tu peux trouver le nom du vendeur avec le cadastre. Et puis, comme on l’avait pensé à mettre la clause de substitution, donc, lui, il a tout juste contacté le vendeur directement. Et puis après, c’est sa femme qui a fait l'offre. Mais comme ils sont mariés, du coup, à aucun moment, son nom n’apparait quoi, tu vois, du genre, c'est simplement genre on dit, « qui a acheté ?, c’est Madame, je ne sais pas, avec son nom de jeune fille « Et puis, ça n’apparait pas et c’est…
Laura : Et puis même, s’ils sont mariés, la femme, elle a bien le droit de faire une offre, et puis au final, c’était pour le mari. Donc, le mari dit : non, c’est pour moi, non ? Ça ne passe pas ça ?
Kendy : Et après effectivement, ils font jouer la clause de substitution. Après la femme dit : « non finalement, ce n’est pas moi qui achète, c’est mon mari ». Et puis, ça revient dans le fond.
Laura: D’accord !
Kendy : Et puis, une autre stratégie aussi. En gros, ça c’est quand vous êtes deux. Par exemple, toi si tu… ne fais pas ça. Bon, si tu devais faire ça, tu visites avec ton copain, c'est lui qui y va. Donc, il donne vraiment son nom. Ça, ce n’est pas mentir tu vois ? Et puis finalement, ton copain, lui, il n’aime pas trop le bien, il n’a plus trop envie d’investir dans l’immobilier, et c’est toi qui a envie d’investir du coup. Et du coup, tu appelles le vendeur et tu fais l’offre en direct. Tu vois ? Bon, ça encore je le redis, c’est vraiment utilisé si vraiment le mec il est filou. Mais bon il ne faut pas en acquérir, puisque après ça revient quoi, tu vois ? Je veux dire ici, le mec qui l’a bossé, tu vois, les agents immobiliers, c’est leur seule façon de gagner de l’argent. Donc le mec, ils ne produisent rien. Donc… (Rire.)
Laura : Et puis, si on se fait un réseau d’agent immobilier, enfin si on fait ça au gars une fois deux fois, il ne voudra plus jamais nous proposer du bien donc.
Kendy : Mais après, moi, franchement je te dis, ça dépend du mec. Mais si vraiment, le mec est chiant et tout et qui casse les pieds, bon, par moments, on n’aura pas de scrupule quoi, tu vois ?
Laura: Oui Oui Oui. Voilà quoi, c’est l’astuce de ceux qu’ont...
Kendy : Je suis censé vous donner que des trucs de droit, mais bon en tout cas, ça c’est une stratégie qui, effectivement, qu’on peut utiliser en cas de recours. Voilà ! En disant aussi vraiment on est embêté. On sait qu’il y a cette stratégie-là qu’on peut mettre en avant.
Laura: D’accord ! OK, ça marche. J’ai une autre petite question, par rapport à la maison des travaux là. C’est le seul, jusqu’à maintenant encore, j’en ai appelé. Alors, aujourd’hui, j’ai réussi à avoir quelqu’un, mais la personne peut visiter et potentiellement se rendre disponibles le 23 septembre, pour faire une pré-étude qui coûterait 400 Euros qu’on enlèverait une fois que j’aurais signé.
Kendy : Next, next, next.
Laura : Oui. Non, mais j’ai dit : « Oh, oh, je vais vous rappeler ». Mais en fait, non je ne vais pas rappeler. Ce n’est pas le 23 en fait, c’est demain ou après-demain.
Kendy : Bon et même si c’était demain ou après-demain, le but ce n’est pas de payer un devis, tu vois. Après, c’est sûr que quand il te dit de payer, bon le mec, il le fait de façon plus sérieuse, mais bon, ce n’est pas son métier. Donc, le mec, s’il veut vendre des devis, je ne sais pas, qu’il fasse un site de 123devis et puis, c’est tout. Ce n’est pas un délire. Donc ça, tu laisses tomber. Après, je te dis comme je dis à Mathieu, il faut que tu fasses du volume. C’est sûr que l’artisan, qui déjà qui est libre, qui n’a rien à faire, tu vois bon, c’est rare. Donc, c’est sûr que tu ne vas pas en trouver facilement tous les jours qui seront disponibles pour venir faire ton devis, mais l’idée, c’est d’essayer de contacter un maximum et puis, comme ça toi, tu vas pouvoir faire ton devis, mais il ne faut surtout pas se dire…
Laura : Il faut quoi ? Tu as dit ? Ça a coupé, il faut surtout ?
Kendy : Non, je dis : il ne faut surtout pas se dire, en gros « je vais surprendre le mec qui va me faire payer, ou alors je veux dire, je vais prendre juste la maison des travaux pour essayer d’avoir ton devis ».
Laura : Oui. Non, j’aimerais bien avoir d’autres pour comparer, même si je peux bluffer et lui dire : « écoutez, enfin voilà, il y a quelqu’un d’autre qui m’a fait un devis » et puis voilà.
Kendy : Tu vois, le bluff, franchement je dis au plus, il faut vraiment faire au plus simple. C’est-à-dire, le bluff c’est vraiment dans des cas extrêmes, tu vois, que tu vas pouvoir bluffer. Déjà où, quand c’est déjà fait. Moi, le bluff, je l’utilise vraiment quand je suis en mode genre par exemple pour le suivi de chantier. Bon là, je préfère un peu le bluff du genre : « Oui, je vais venir plus tard les gars. Je vais revenir demain » C’est des trucs comme ça que je préfère. Mais vraiment sinon, le mec déjà, il va voir que tu as bluffé, si ça doit passer sur de bonnes base, il faut que tu, il vaut mieux lui dire : « écoute mec, je dois faire des travaux dans un bien, il faut que tu me donnes le devis ». Donc là, le but ce n’est pas forcément de bluffer. En fait là, l’idée, ce n’est pas de dire en gros « c’est juste pour le devis », mais ce n’est pas forcément de bluffer. Si tu ne le dis pas… en fait ce que je voulais dire, c’est le but c’est omettre mais pas mentir, c’est ça le truc. Moi, je trouve qu’on est capable de lui dire : « écoute mec, j’ai juste besoin d’un devis pour estimer mon bien ». Il ne va pas se déplacer le mec. Ce n’est pas ton pote. Tandis que quand il y a un projet, j’aimerais faire un devis pour la restitution des travaux, point. « Est-ce que le bien je l’ai acheté, est-ce que toi »…, non ça, il n’a pas besoin de savoir. Si vraiment…
Laura : Sauf s’il demande, oui.
Kendy : Voilà, s’il pose une question, c’est tout, tu lui dis : « maintenant, en fait, je n’ai pas encore acheté ». Bon, ou est-ce qu’il ne vienne pas ou s’il vient, c’est tant mieux, au moins, tu sais qu’il est venu en tout état de cause en sachant. Mais sinon, voilà. Mais ce que tu peux utiliser effectivement c’est les différents sites-là. Et puis essayer de voir en maximum, juste me dire : travaux.com. Avec travaux.com, je crois qu’il y a 123devis aussi, je ne sais pas, je pense que c’est devenu travaux.com maintenant. Essaie de les contacter, et fais comme Mathieu. Essaie et tu laisses des messages et puis, il en y a forcément un qui va te recontacter, qui va te dire…
Laura : Oui, c’est ce que je fais.
Kendy : Voilà ! Donc t’inquiète, ce n’est pas encore arrivé, mais ça viendra.
Laura : Oui. Oui, non je ne lâche pas, c’est ce que je fais. J’ai une dernière question. L’agent immobilière-là, j’ai trouvé ça bizarre et j’interprète ça de plusieurs manières. Elle me dit : « donc je sais, le bien, oui, c’est 85 000. Après voilà bon, je vous le dis, je pense qu’ils sont négociables à 100 000 parce que ça fait un moment, et bien moi, voilà, je suis là aussi pour défendre votre cas, etc. ». Et elle me dit, qu’il y a quelqu’un qui, visiblement, il y a un avait fait une offre à 85 000 et les 85 000 ne sont pas passés. Donc, moi, quand elle me dit ça, d’un côté, je me dis : si ça se trouve, c’est du bluff et elle essaie de pousser pour que ce soit 90 ou 100 que je propose ou voilà. Elle essaie de m’orienter ou peut-être pas, j’en sais rien. Mais t’en penses quoi toi ?
Kendy : Moi, de toute façon, je t’ai dit : jamais les dires de que ce soit le vendeur ou l’agent immobilier ne doivent influencer ce que tu as proposé. Toi, tu es là pour récupérer des informations. OK, tu les as récupérées, il t’a dit machin et ce qu’il veut. OK. Très bien. Toi, tu reviens et tu poses tes calculs et tu vois le prix que tu dois avoir. Je ne sais plus qui m’a présenté un projet comme ça, mais déjà, genre le prix affiché, il était déjà rentable, tu vois ? Je crois que c’est Xavier. Donc déjà au prix affiché, c’était déjà rentable.
Laura : Et on négocie quand même ?
Kendy : Oui, j’ai peur de proposer autre chose, puisque déjà, on est rentable. Je dis : mais non. Mais regarde, tu essaies quand même, tu vois ? Et puis, parce que l’agent immobilier avait dit : « Oui, là, les gars, ils sont pressés pour vendre », je ne sais pas s’ils étaient pressés, mais un truc du genre : « là, ils ne vont pas… en gros, ils ne vont pas diminuer le prix, parce que c’est déjà c’est très bas. Et donc, il ne faut pas casser les prix ». Je lui ai dit : « mais non, mais toi, tu viens, tu fais ton offre, ils te disent ce qu’ils veulent. Et à la fin et effectivement, il y l’a proposé et c’est passé quoi.
Laura : Ah, on peut toujours contre-proposer derrière ?
Kendy : on peut toujours faire une offre par rapport à ce que toi, tu veux et pas à ce que le mec te dit. Moi, je te dis le mec au début, il m’a dit : « Monsieur Polestin, moi 150 000, là je ne suis pas rentable quoi. Je perds de l’argent-là ». Et je lui dis : « ah oui ». Il me dit : Oui Oui, je perds de l’argent. Je dis : 130 000 ? Il perdait encore de l’argent, tu vois ? Et puis, 110 000 ? Il me dit : ah putain, je vais réfléchir, tu vois ? Et effectivement, il a droit de changer !
Laura : Parce qu’en plus, il avait acheté le bien à 150 000 en plus ?
Kendy : Il avait acheté à 150 000.
Laura : Qu’il offre à 150, il ne perdait pas !
Kendy : Ah oui, alors du coup, il dit ce qu’il veut. Donc, c’est pour ça que je dis : toi tu fais simplement tes calculs et tu fais l’offre avec ce que tu aurais calculé. Ne laisse personne te dire : « voici ce qu’il faut mettre, etc. » Tu dis : « merci pour toutes les informations que vous m’avez données, je vais regarder tout ça ».
Laura : OK. Après ça passe ou ça casse au final.
Kendy : Oui si ça passe, tant mieux. Si, ça ne passe pas, tant pis, on va aller chercher autre chose. De toute façon, toi, plus tu auras du volume, mieux ce sera, tu vois ? Si tu as du volume, il n’y pas de souci, parce que tu sais qu’en fait tu es dans un état d'esprit d'abondance. Quand tu es dans l’état d’esprit d'abondance, tu sais que bon quand même si ça ne passe pas, ce n’est pas grave quoi, tu vois. C’est un peu un mec, tu vois, genre, qui est beau gosse et tout, et qui a plein de demoiselles à ses trousses. S’il y en a une qui lui dit non, il n’est pas perturbé. Alors qu’il y en a un, on va lui dire non, il va dire : « ah ! Le monde s’arrête », parce qu’il est avec que celle-ci. Et du coup, toi, dans ta recherche et tout, il faut que tu sois toujours en mode abondance, c’est-à-dire que ta fiche d’analyse est toujours remplie. T’as toujours des gains potentiellement corrects. Donc, ça y est, tu… même si ce projet qui ne passe pas, ce n’est pas grave, j’en ai d’autres. Non, et tu dis : « je ne suis pas pressée et j’en ai plein d’autres là ». Donc si ce n’est pas ton bien, j’en achèterai un autre. Tu vois, il faut vraiment que tu te mettes dans cet état d’esprit-là pour que c’est toi qui positionnes le truc. C’est-à-dire, si en gros, c’est le seul bien qui est accepté et du coup, tu dis : « si tu le perds, du coup, tu n’es pas bien mentalement et tu déprimes presque », ce n’est pas bon ça !
Laura : Oui, oui. Ça marche.
Kendy : Tu vois ? Voilà. Essaies de faire du volume. Essaies d’en avoir un paquet et puis, après tu fais la méthode comme elle est expliquée, c’est-à-dire tu fais ton code 127 et tu sais ce que tu ne dois pas dépasser. Et puis, c’est parti.
Laura : Oui, ça marche. OK.
Kendy : On fait ça.
Laura : Merci.
Kendy : En tous cas, je t’en prie, si tu as d’autres questions, n’hésites pas, je te redonnerai la parle alors.
Laura : Oui, ça marche, merci.
Kendy : OK, ça marche. Alright, Alright. Alors je ne sais pas si on a eu des nouvelles personnes connectées depuis. Non, pas de nouvelle personne. OK. Je pense voir Laure aujourd’hui, puisque normalement Laure devait signer aujourd’hui, mais je n’ai pas eu de nouvelle. Bon, je ne sais pas si tu as d'autres questions, n'hésites pas à les poser. Comme ça, moi, je vais pouvoir les traiter. On n'est pas très nombreux aujourd'hui. Je ne sais pas, je pense que le week-end a dû être… Ah, c’est la rentrée aussi là pour tout le monde. Du coup, les gens doivent être un peu fatigués. Mais vous, vous êtes là. Donc, vous êtes les plus motivés-là (Rire.) Oui, sûrement que Laure doit être en train d’arroser, j’espère et je le pense. Je le pense effectivement, en plus je dois aller la voir demain. Donc bon, on fera une vidéo de présentation de son bien, comme ça, je vous partagerai tout ça sur la chaîne.
Alors je ne sais pas si tu as d’autres questions. Si tu n'en as pas, du moins, je vais attendre de voir si tu as d’autres questions. Sinon, je ne vais pas te prendre plus de temps.
Alors, juste petit rappel pour la session du 21. Donc là, normalement tout est déjà prêt, je crois. Du moins, je pense. Je pense qu'il faut valider encore la bouffe. Donc là, je crois que Céline attendait le nombre final de personnes pour pouvoir justement faire les commandes pour la nourriture et tout. Mais en tout cas, la salle et tout ça, c'est validé. Donc oui, il faut juste que tu viennes. Et puis normalement, tout sera opérationnel. Donc, je ferai intervenir quelques sprinters. Comme ça, tu pourras leur poser aussi des questions en live, histoire que tu voies un peu les résultats qu’ils ont, mais surtout que tu puisses voir aussi : « OK! Ah voici les petites erreurs qu’ils ont pu commettre ». Puisque de toute façon même, même en étant accompagné des fois, il y en a qui sont tentés de faire des petits trucs à côté. (Rire.) Et puis des fois ça passe, des fois ça ne passe moins. Mais bon, ce n’est jamais trop grave, mais l’idée c'est que tu puisses quand même en tirer des leçons, et que toi aussi, tu puisses apprendre de moi, mais aussi apprendre des autres membres de la communauté. OK.
Bon apparemment, il n’y a pas d’autres questions. Bon je ne vais pas te prendre plus de temps, puisqu’aujourd’hui, on n'était pas très nombreux. On continue le boulot. Nous, on se voit normalement jeudi. Donc, si tu es en phase de recherche, tu l’as compris, on fait du volume, on va en visite. On essaie de continuer et puis, on ne lâche rien quoi. OK ? Voilà !
En tout cas, je te souhaite une bonne soirée. Je te dis à jeudi. Moi demain, je suis avec Laure. Et puis comme ça, je vais pouvoir te filmer la vidéo de présentation là. Et puis comme ça, tu verras que… oui, on y va là. On envoie du très très très lourd, chez les sprinters. Allez, je te souhaite une bonne soirée, je te dis à jeudi.
Salut, ciao, ciao !