Août 2019 - 010819
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Salut à toi, j’espère que tu vas bien. En tout cas bienvenue dans cette session questions-réponses pour les sprinteurs. Aujourd’hui, on est le jeudi 01er août 2019. Donc tu poses ta question dans la Chatbox et puis comme ça moi je te donne la parole et comme ça tu peux poser ta question en live pour que tout le monde puisse en profiter. OK ?
Si tu peux me dire si tu m’entends bien dans la Chatbox, comme ça je… OK, parfait !
Bon bah écoute, on va pouvoir commencer, on va pouvoir faire un peu le point sur ton avancement là aujourd’hui. Ce qu’on va faire, je vais commencer par Johan, tu étais le premier. Alors, je te donne la parole Johan.
Alors, Giovanni qui dit : « je suis dans les transports et donc je suis… ». Il écoute pour le moment. OK, parfait Giovanni, pas de souci.
Alors, Johan… Attends, je te donne la parole. Hop ! Alors là, il faut juste que tu actives ton micro. Comment vas-tu Johan ?
Johan : Ça va, ça va Kendy, et toi ?
Kendy : Ça va nickel, nickel. Alors, comment s’est passé… du moins, où est-ce que tu en es là cette semaine dans ton avancement là ?
Johan : Donc où est-ce que j’en suis ? On s’était laissés sur – comment dire – les devis qui étaient en cours là, qui devaient arriver. Donc les devis, ça va arriver, je suis toujours en attente. Là de mon côté, je suis… je recherche les financements. Donc là je me suis mis en contact avec la courtière que tu m’avais conseillée. Donc là j’en suis à la mise en contact et là j’ai plusieurs documents à lui envoyer. Je suis en train de les rassembler, je devrais pouvoir lu envoyer ce soir si ce n’est demain. Sauf que là en fait, je ne sais pas si tu te rappelles, ma situation, elle est un peu particulière entre guillemets. En fait, moi je suis intérimaire, je suis… Bon voilà, je suis… enfin intérimaire, je suis ingénieur. Enfin, tu le sais, comme toi, mais je suis intérimaire, voilà je n’ai pas de CDI. Après, c’est un intérim de longue durée. J’ai déjà fait un intérim de 18 mois, là je suis sur un autre intérim de 18 mois, donc avec forcément une prime d’intérim à la clé. Bon, je n’ai pas un salaire mirobolant, mais bon, un salaire d’ingé quoi, donc ça va, je me démerde bien. Et en fait, ce qu’elle me disait c’est que voilà, donc déjà de un que j’étais un intérim, a priori ce qu’elle me disait « ce n’est pas terrible » surtout qu’en fait que ça fait moins de trois ans que je fais de l’intérim. Ça fait deux ans et neuf mois. Elle me dit moins de trois ans, donc ce n’est pas comme si je… Enfin, la banque ne considère pas que c’est ma stratégie. En gros, que j’ai quelqu’un à côté qui a un CDI et que moi j’enchaine les intérims pour toucher les primes et pour… voilà quoi, faire des plus-values, on va dire. Ce qu’elle me proposait c’est d’inclure ma campagne, donc Jessica, dans le deal et donc pour l’emprunt, qu’on emprunte à deux.
Kendy : OK, Johan. Je vois que le fait que tu es en intérim, c’est un peu plus délicat. On va dire que quand tu es en CDI, c’est plus simple, mais du moins c’est toujours possible de présenter un projet même en étant en intérim. Alors, c’est sûr que tu vas plus galérer que quelqu’un qui est en CDI et qui gagne même moins que toi. C’est juste le fait que… intérim ou CDI dessus, simplement ce qu’il faut, si toi c’est OK pour que tu inclues Madame, tu l’inclues dedans et puis c’est tout. Du moins, en tout cas, c’est à vous de voir comment vous allez présenter la chose. Mais en tout cas, si vous voulez vous mettre à deux sur le projet, comme je te l’avais dit, il y a des petites subtilités parce que si… Comme je dis : « nul n’est censé rester en indivision », donc on ne sait jamais ce qui peut se passer, c’est-à-dire que si – on ne sait pas – demain tu as un accident ou Madame a un accident, tu vas te retrouver à devoir vendre ton bien parce que son père ou sa mère a dit : « bah non, mec, nous, on ne veut pas quoi ». Donc, il y a plein de trucs comme ça qu’il faut… ça c’est partie protection qui est très importante.
Johan : En fait, tu avais déjà dit ça. Je sais qu’il y avait une fille qui avait posé… je crois que c’était la semaine dernière ou lundi dernier, il y avait une fille qui avait posé cette question qui voulait investir avec son copain. Mais, moi ce n’est pas ça. Moi à la limite, j’aimerais faire le prêt, en fait avoir le prêt, faire le prêt à deux, mais acheter le bien seul parce que déjà sortir l’argent…
Kendy : Effectivement…
Johan : C’est difficile ça ?
Kendy : Alors, pour moi, on peut présenter la chose du notaire, mais c’est difficilement réalisable. C’est parce que le notaire, lui il voit ce qui ramène les fonds parce que demain, c’est comme Madame elle dit, elle veut récupérer ses fonds, elle ne veut plus être endettée sur ce bien-là, on fait comment en fait, tu vois ? C’est ça le truc. Donc elle, elle peut. Si elle n’a qu’une partie genre tu possèdes 80 % du bien et qu’elle possède genre que 20 % et qu’elle décide de vendre sa partie, elle ne pourra vendre que 20 % du bien et les 20 % de bien ne seront pas en adéquation, du moins il y a… Ça ne sera pas logique par rapport à ce qu’elle vend quoi. Genre si elle vend un bien de 100 000, elle vend 20 %, elle récupère 20 000 alors qu’elle, elle a fait un prêt sur 100 000. Donc, c’est difficilement présentable ce truc-là. Je comprends ce que tu veux dire, mais c’est difficilement présentable. Même au niveau du notaire, le notaire même n’aurait pas le droit de faire un truc comme ça quoi. Il dirait, mais en gros c’est limite. C’est comme si tu avais quelques… Limite, quelqu’un qui est sous tutelle et qui fait un truc comme ça, tu pars en prison quoi. On se dit : « ouh là là ! ». Tu vois un peu le délire ? Alors, si la personne n’est pas sous tutelle, on se dit : « bon, elle a fait ça de plein gré », mais je ne suis même pas sûr que ça puisse passer. Je dis ça, mais je ne suis pas sûr que ça puisse passer. Il faut voir le truc avec le…
Johan : OK !
Kendy : Alors, ça c’est si vraiment vous achetez en nom propre. Après, si vous achetez via une société, là c’est autre chose, c’est-à-dire que vous êtes tous les deux actionnaires. Après, tu peux être majoritaire sur la SAI et elle peut apporter plus de cash, ça ce n’est pas un problème. Mais, au niveau du… comment dire… Si vous achetez en nom propre à tous les deux, ce ne sera pas possible. Mais en société, là effectivement, on peut le faire.
Johan : Bah moi ça m’emmerde, on va dire. Moi je veux faire du nom propre, moi je veux faire du LMNP, je veux profiter, moi ça ne m’intéresse pas de faire…
Kendy : Alors, je préfère te dire, si tu veux faire un nom propre, ça va être tendu de dire en gros, elle n’a qu’une partie, du moins elle a moins que toi quoi. Tu seras sur le projet, mais elle aura une quote-part qui serait équivalente à la tienne. Ça, il faut voir comment tu présentes le truc au niveau du… C’est surtout avec le notaire qu’il faudrait voir ça. Tu vois ? Essaie de contacter ton notaire demain, non pas demain, lundi du moins. Essaie de voir avec lui comment on peut présenter la chose si vous achetez en nom propre. En société, c’est très simple. Mais en nom propre, essaie de voir avec lui comment vous pourriez faire ça parce que là ça devient technique, là. C’est très technique, parce que là vous apportez des fonds, mais tu voudrais faire… Parce que normalement, si le bien fait 100 000 et qu’elle apporte 90 000, elle a 90 000, du moins elle a 90 % des parts quoi, en gros, du bien.
Johan : Ouais, je comprends. Mais en fait, moi ce qui me fait chier c’est à la limite, je voulais la prendre comme garant, genre c’est moi qui prends. En fait, moi, ce n’est pas tellement pour avoir le truc, moi c’est juste que c’est mon projet, c’est moi qui prends les risques en fait. Moi je veux juste… à la limite, je la prends comme garant pour dire : « voilà, regardez, c’est dit à côté, c’est bon parce que moi je suis serein ».
Kendy : Et dans ce cas-là, là c’est à présenter ton projet pour dossier en intérim quoi. Tu essaies de le présenter comme tu es là. Certes ce sera plus difficile, mais tu essaies de le présenter comme ça puisque présenter… Du moins, si elle est dans le projet, elle ne peut pas être dans le projet sans être dans le projet quoi, tu vois ce que je veux dire ? C’est un peu bizarre à dire comme ça, mais elle ne peut pas être là sans être là. C’est-à-dire que si elle est dans le projet, elle s’engage, elle met ses billes quoi, tu vois ? Donc, elle ne peut pas juste être garant genre… Et même si elle était juste garant, ça veut dire que si demain il y a un souci, c’est elle qui devrait rembourser, mais c’est difficilement réalisable de cette façon. Du coup, pour moi, soit tu essaies de présenter le projet avec le dossier comme il est ou si vraiment on sent que ça bloque et tout, à ce moment-là on essaie de *0:10:19*. Dans ce cas-là, elle est dedans ou alors sinon c’est une SAI, du moins une SAI ou une SASU ou monter une société pour pouvoir justement faire l’opération ou avancer quoi.
Johan : Je vois. Moi, je voulais un peu attendre avec les sociétés, mais moi à la limite, moi c’est juste pour être garant. Moi je te dis, c’est moi qui parlais. Si à la limite, s’il se passe un truc, moi je vends un rein moi. Moi, je ne veux pas qu’elle *0:10:46*. Moi je vends un rein s’il le faut, je vends un rein pour ce coup.
Kendy : Je rigole bien, mais non. Pour l’instant, je pense que ce que tu peux faire c’est déjà essayer de présenter ton projet comme ça, c’est-à-dire que comme elle… c’est plus compliqué, mais tu vois on prête aux gens qui sont en intérim, ce n’est pas comme si tu avais un CDD. Il y a des CDI même intérimaires qu’on appelle ça, ça c’est des choses qui se font. Donc, ça ce n’est pas un problème. Tu peux quand même présenter le projet. Après, ce qu’on peut se dire : « on se laisse un délai ». On se dit : « bon bah, tu commences à présenter le projet comme ça là ». Tu essaies d’attendre peut-être trois semaines, tu vois un peu comment ça tourne, et à partir de ce moment-là, on verra si on se rabat sur autre chose. Mais pour l’instant, va voir d’autres courtiers, essaie de voir avec d’autres courtiers, essaie de contacter d’autres personnes. Parce que de toute façon là t’as vu une courtière, je suppose ?
Johan : Ouais, c’est ça.
Kendy : Ouais, donc essaie d’en voir d’autres, tu vois, ce n’est pas… Elle n’a pas la parole d’Évangile hein, c’est-à-dire quelle que soit la personne, si elle te dit OK, machin, bah c’est tout, on essaie de voir quelqu’un d’autre. Mais, il y en a plein qui ont pu présenter des projets en étant en intérim. Alors, c’est sûr qu’ils sont en intérim peut-être depuis plus longtemps, tu vois genre cinq ans, ce genre de chose, mais rien ne nous empêche effectivement de présenter le projet quand même de cette façon-là quoi.
Johan : OK. Bon, je vais procéder comme ça et puis je verrais hein.
Kendy : Ouais, tu verras. Mais pour moi, pour l’instant, vois d’autres courtiers. Là, tu as vu une personne, t’inquiètes, parce que là en plus, tu vois c’est le début, tu viens de commencer, ce n’est pas une problématique. Et puis, il y a des gens qui avaient des situations presque idylliques, aussi je repense peut-être même à Steven. Tu vois Steven il avait son CDI où tout était ouvert, et pourtant il a galéré, et pourtant il avait le CDI. Donc, je te dirais qu’il y a personne qui peut dire : « oh que je suis heureux, le financement c’est *0:12:53* ». Alors, je te dis ça arrive, mais ce n’est pas très très rare. Donc, prépare-toi à genre… en gros, dis-toi que tu pars en guerre, donc maintenant tu es armé, mais il ne faut pas que tu te dises juste parce qu’elle a dit ça, c’est mort quoi.
Johan : Ouais. Non, non, ne t’inquiètes pas. De toute façon, je m’y attendais. Je m’y attendais à cette étape, ce serait… pour moi, je pensais que c’était le plus dur. Franchement, je sais que ça va être le plus dur parce que voilà je suis un intérim, bla bla bla.
Kendy : C’est souvent le plus dur. Dans notre stratégie, c’est l’étape, j’ai envie de dire, la plus dure. Après, les autres étapes qui viennent, c’est du suivi quoi. Donc, vraiment là tu vas être très proactif et après ce sera du suivi. Donc, il faut juste passer. En fait, c’est comme si c’était la montée de la montagne, une fois que t’arrives au sommet, maintenant tu fais de la descente quoi, là ça va. Il ne faut juste pas tomber, mais ça va, ça gère.
Johan : OK.
Kendy : Maintenant, dès demain, essaie de contacter d’autres courtiers, et puis on va essayer d’avancer. J’essaierai de t’envoyer un autre contact que j’ai aussi sur Paris qui essaiera de voir avec nous s’il peut t’envoyer… du moins t’aider un peu dessus. Envoie-moi, du moins pense à m’envoyer un message, un SMS ou un message sur WhatsApp et puis comme ça moi je te filerais son contact.
Johan : OK. OK, très bien, je vais faire ça et *de mon côté aussi*, je vais contacter pas mal d’agences, je vais faire du volume.
Kendy : Bah c’est ça. Là tu as compris, tu as dit le mot mon gars : « volume, volume, volume », et puis c’est ça qui va payer mon gars. On fait du volume là.
Johan : OK. Ben, voilà où j’en suis. Ça c’est pour les réponses, on ne lâche pas, on sprinte !
Kendy : On y va mon gars, on y va, on y va. C’est cool ça. Non, mais t’inquiètes, on avance et puis on ne lâche rien, on sprinte, on y va. On va chercher Zorro là mon gars, ça c’est pour bientôt là. Ça marche. En tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je te redonnerai la parole Johan.
Johan : OK. OK, merci.
Kendy : À tout à l’heure, salut ! Ciao ! All right, OK. Alors, deuxième personne, là j’ai Malika. Alors, Malika, je te donne la parole. All right!
Malika : Bonsoir Kendy.
Kendy : Comment vas-tu Malika ?
Malika : Ça va, merci, et toi ?
Kendy : Ça va nickel, nickel, nickel. Alors, attends juste, je vais essayer de… j’ai bien reçu ton fichier là, on va voir ça ensemble. Alors, l’idée Malika… Bon, pour expliquer le truc c’est que Malika avait reçu un devis et elle voulait faire un peu de point sur le devis. Alors, juste comme ça, on va… je vais essayer de te partager mon écran, je ne sais pas, dis-moi si tu le vois. Hop !
Malika : Ouais.
Kendy : Non, mais là, tu devais voir le devis, tu vois ?
Malika : Oui.
Kendy : OK, parfait. Donc, effectivement, j’ai regardé parce que là ça ne montre pas bien ce qu’on peut avoir comme devis en général. Alors typiquement ici, la première chose que tu dois te dire c’est que… Non, c’est vrai qu’ils sont forfaitaires, ça c’est tout à fait normal, démolition ensemble mur, cheminée, lambris, etc. Là, tu vois que le montant il est assez important. Voilà, on a 6 000 €. Déjà on peut dire : OK, 6 000 €, il faut voir un peu ce qui est cassé, etc., parce que moi, comme je l’avais mis dans le fichier, je crois qu’on est à 1 000 € du mètre carré démoli. Donc, il faut voir un peu qu’est-ce qui est démoli, qu’est-ce qu’il y a comme boulot. Mais là pour moi, c’est un peu déjà une boite noire. En plus, il y a un gros montant quand même, bon ce n’est pas énorme, mais ça reste quand même un montant important. Ensuite, deuxième chose : implantation niveau cave, bon ça c’est… j’ai envie de dire que ce n’est pas… Tu vois, comme c’est des éléments fixes, ce n’est pas très cher. Moi, quand je regarde, 5 appartements d’environ 14 m², ça ça ne veut rien dire. C’est que 14 m², 19 900 €, il sort ça d’où ? Pourquoi pas 19 750 ? Pourquoi pas 18 497 ? Pourquoi pas 22 000 ? Ça sort d’où ? Alors, effectivement, il nous met cloison, isolation, mur côté extérieur, OK. On n’a pas les métrages, on n’a rien. Donc là, pour moi, ça c’est juste… en fait, ce devis-là, ça peut être utile si tu veux juste avoir ton financement. Mais clairement, tu ne peux pas signer un devis comme celui-ci. Par exemple, on imagine que tu avais ton financement, ce devis-là tu ne peux pas le signer parce qu’il n’y a rien de détaillé, on ne sait pas combien de mètres carrés de sol il va mettre. Ouais, au moins c’est vraiment… *0:18:24* il a mis beaucoup de lignes *pour faire genre*, mais en fait c’est bâclé quoi. Alors, pendant que justement on regarde ça ensemble, il y a un truc que j’ai vu là : « sanitaire équipé cuvette, WC, lavabo, cabine douche et chauffe-eau 100 litres ». Alors, pour un petit appartement, 100 litres c’est énorme, c’est énorme 100 litres. Donc, moi ce que je conseille… alors, justement, j’étais parti voir un autre sprinteur qui lui avait mis des petits chauffe-eaux de 50 litres par appartement. Mais pour moi, même ça, c’est beaucoup de travaux pour pas grand-chose. En plus ce n’est pas esthétique de mettre un ballon dans le studio. Le studio il sera petit. Tu vois, déjà il fait 14 m², quand tu mets un ballon de 100 litres, ça prend énormément de place quoi, ce n’est pas beau du tout. Donc moi, ce que je préconise déjà, ici au lieu de mettre six… du moins, par exemple là c’est cinq, ce serait cinq ballons de 100 litres, mais c’est de mettre genre deux ballons de 300 litres. Moi, c’est ce que j’ai mis du moins, en tout cas dans un des immeubles, j’ai mis deux ballons de 300 litres. Quand je ne peux pas, tu vois que techniquement tu ne peux pas mettre du moins une seule source de production d’eau chaude, c’est tout, tu mets plusieurs petits. Mais si tu peux, dans l’idéal, c’est de mettre deux gros ballons, et puis comme ça tu alimentes tous les logements quoi puisqu’en plus tu finis que l’on mise sur la main d’œuvre, le mec qui va mettre un seul, du moins deux ballons, et puis après c’est juste des tuyaux à tirer. Donc ça, c’est un truc qu’il faudra voir. Mais surtout, il faut que ce soit beaucoup plus détaillé, c’est-à-dire que 14 m², d’accord, il y aura combien en sol ? Sur le sol, il faudrait qu’il puisse te dire le sol, ça représente combien ? Là, s’il te dit : le sol c’est 5 000 €, toi tu auras juste à faire 5 000 divisé par 14 m² et tu verras si ça rentre dans la fourchette de prix que je t’ai mis sur ton fichier d’estimation des travaux là.
Malika : OK, d’accord.
Kendy : Je ne sais pas si tu l’as vu. Ce fichier-là, tu pourras le regarder. Après, « aménagement du local ménager avec pose d’une porte », tout ça encore c’est trop vague. Pose d’une porte, OK, la pose de la porte, c’est combien ? C’est ça qu’on veut. Les trucs super larges comme ça, ça ne nous aide pas. Ça c’est juste pour noyer le poisson. Là en gros, il se dit que si tu dis oui, en gros même s’il arrive effectivement – je ne sais pas – du moins à faire peut-être ces logements pour 8 000 €, tout le reste c’est de la marge. Et ça justement, on va le voir tout à l’heure, comme je viens de partager le deuxième fichier que tu m’as envoyé, alors je ne sais pas si on voit, je clique comme ça. Tu vois le deuxième fichier d’en bas ?
Malika : Oui.
Kendy : Est-ce que tu vois le… OK. Parfait. Ici, « pose d’une fenêtre PVC, volet… », là il dit « pose », il ne dit pas « fourniture ». Donc, tout ça aussi, il faudra vérifier avec lui. Est-ce que la fourniture de la fenêtre, c’est compris ? Puisque là, « pose d’une fenêtre », ça ne veut pas dire qu’il va acheter la fenêtre. Alors, je suppose parce que vu le prix, on suppose qu’il va acheter la fenêtre, mais là encore il faut être très précis. Le mec, tu dis : « écoutez, vous m’avez mis “pose”, mais est-ce que vous allez fournir la fenêtre ? » ; « oui. » ; « OK. Mais, mettez “fourniture” aussi sur le… s’il vous plaît ». Tu vois ? Pareil : « pour pose du vitrage ». Tu vois : « OK, mec je te peins le couloir, ça fera 5 000 € ». Waouh ! Il y a combien de mètres carrés de peinture à faire là ? Ça ce n’est pas… « Façade habitation », bon la façade, on ne la voit pas, il n’y a pas forcément… ici 300 €, frais de livraison de… Ça c’est les questions que tu vas pouvoir lui poser, mais frais de livraison de… Bon, sûrement qu’il n’habite pas dans la ville, donc il te fait payer de frais de livraison. Donc ça, pareil, si tu peux trouver un artisan qui est sur le secteur, tu seras peut-être déjà plus stable pour… Tu vois, si le mec il te *fait payer* 600 €, il faut voir où est-ce qu’il habite quoi, mais… Pour moi, je trouve que commercialement, ça ne se fait pas, à part si tu vois le mec, il est à Paris et que tu lui dis de venir dans le Nord, là effectivement on peut comprendre qu’il faut mettre des frais de déplacement. Mais, s’il n’est pas très loin, non ce n’est pas… Attends juste que je revoie le total. Le frais total là c’est 144 000 €, là au total sur le bien il y a combien de mètres carrés ?
Malika : 104.
Kendy : Tu fais 144 000, *485* divisé par 104… Alors, c’est moi où là on a 1 389 € du m² ? Là, je te dis : lui il ne s’est pas cassé les pieds hein, il a juste fait… il a pris la surface du bien. Et en plus, à la rigueur 1 000 € du m², je dirais OK. 1 300 € du m², c’est presque de la construction hein. Franchement, je pense que ce n’est même pas la peine de… Ouais, de toute façon, il ne faut pas que tu bosses…
Malika : Allo ?
Kendy : *0:25:17*… parce que ce n’est pas sérieux. Allo allo ?
Malika : Je t’entends très mal, ça saute quand tu parles. Allo !
Kendy : Attends, je vais essayer de mettre sur… Je vais changer de wifi.
Malika : D’accord.
Kendy : Attends, ça va couper un peu et après, je vais… ça va revenir, juste que je change la connexion et ça va revenir. Tu devrais m’entendre maintenant.
Malika : Oui, c’est bon.
Kendy : OK, parfait. Ouais, donc du coup je te disais, là par rapport au prix au mètre carré, clairement ce n’est pas un mec sérieux. Là, le prix est extrêmement élevé. Deuxièmement, ce n’est pas détaillé. Si en plus, il avait pris le temps de détailler son devis, on peut rester OK. Mais là en fait, il a juste pris une marge de sécurité très très importante pour se sécuriser quoi. Mais déjà 1 300 €, c’est deux fois trop cher quoi. Là, en gros son devis, tu pourrais juste l’utiliser toi pour faire financer ton bien au niveau de la banque, mais c’est tout quoi. Tu vois, ton but ce sera d’avoir un artisan qui va te faire un truc beaucoup plus détaillé, beaucoup plus propre et qui sera dans ta fourchette, parce que je le redis : le but, à la fin, c’est que tes travaux ne dépassent pas les 700 € du m² quoi. Donc, si vraiment ça dépasse, OK, on peut être à 800 peut-être, si vraiment c’était dégueulasse, il y avait vraiment les trucs dégueulasses à faire, 800-900 peut-être, mais arriver à 1 300 €, non là c’est trop trop trop. OK. Donc ça, là pour moi, il faut que tu revoies d’autres artisans, celui-ci…
Malika : Ouais. Mais en plus, je n’arrive pas à le joindre, je lui ai déjà envoyé des mails, je lui ai déjà appelé plusieurs fois, il ne me répond pas, du coup-là j’ai pris…
Kendy : Maintenant, tu vois, ce n’est pas sérieux.
Malika : Du coup-là, j’ai pris rendez-vous avec un autre, samedi-là.
Kendy : OK. Non, mais c’est bon. Ça c’est bon. De toute façon, il te *fera* un devis, donc c’est bon, tu l’as, mais maintenant c’est *l’exploit*. Ne te prends pas la tête avec lui, ça ne vaut pas le coup quoi. Le mec, son devis est complètement bâclé. Donc au moins, ça ne mérite même pas que tu perdes ton temps quoi. OK ?
Malika : OK, ça marche.
Kendy : Donc là, essaie de faire comme je disais tout à l’heure à Johan, il faut que tu fasses… *du moins, essayer* de contacter le maximum d’artisans possibles là pour que tu puisses justement avancer, mais ne perds pas trop ton temps avec lui quoi. Si en plus, il était sérieux, il t’aurait répondu. Je veux bien que tu paies cher, mais il faut qu’il y ait du service, il faut que le mec il soit répondant. Moi, je veux bien payer genre un mec 800 €-900 € s’il m’amène 50 personnes sur le chantier et que mon chantier au bout de deux semaines, trois semaines il est bouclé quoi. Là, encore, mais… ouais, ça ce n’est pas sérieux. Et en plus, ah oui c’est vrai que je n’ai pas dit ça, mais ce qu’il faut aussi regarder sur ton devis, à chaque fois c’est : « OK mec, tu me dis c’est tel prix, mais c’est quoi le délai aussi ? ». Nous, ce qui nous intéresse c’est surtout : « c’est quoi le délai pour les travaux ? En combien de temps tu vas finir les travaux ? ». Puisque je veux bien… Même si des fois, le choix ce sera comme ça, peut-être qu’il y a un mec qui sera moins cher, mais lui ce sera sur six mois, il y en a un qui sera peut-être un peu plus cher, mais il va finir les travaux au bout de trois mois. On prend celui qui estime trois mois parce que lui, effectivement, on sait qu’il est un peu plus cher, mais on va commencer à gagner de l’argent beaucoup plus rapidement que l’autre quoi. Ça aussi, c’est des éléments importants à regarder sur ton devis, c’est le prix et puis aussi le délai pour la livraison. All right?
Malika : OK, d’accord.
Kandy : Voilà. Bon, en tout cas, tu continues tes recherches d’artisan et puis on ne lâche rien quoi, on avance, on avance…
Malika : Entendu. Je te remercie alors.
Kendy : Je t’en prie Malika, à tout à l’heure.
Malika : À tout !
Kendy : All right!All right! Alors, le suivant : Mathieu. Salut Mathieu ! Alors, évolution pas trop favorable pour nous, ouh là là. Attends… Je te donne la parole Mathieu. Coucou Mathieu !
Mathieu : Salut Kendy !
Kendy : Comment vas-tu ?
Mathieu : Bah, bien. Écoute, bien bien bien.
Kendy : Alors, comment s’était passé la *00:30:42* comment ça avance ?
Mathieu : Alors, bon déjà on t’a envoyé un mail où on résume tout, tu le liras tranquillement après, mais juste pour faire un petit…
Kendy : OK. Je ne l’ai pas encore vu. Vous l’avez envoyé là tout à l’heure ?
Mathieu : Il y a dix minutes là, mais tu le liras tout à l’heure ; c’est un peu long.
Kendy : OK.
Mathieu : Donc, pour faire un bref résumé : on avait fait une offre à 175 000 € pour un bien de 260 m² qui avait été acceptée par les propriétaires et on allait pour signer l’offre samedi dernier et l’agent immobilier nous sort un compromis. Déjà, on était très étonnés, et sur le compromis, il nous dit : « bon bah le bien, il fait 187 m² au lieu de 260, on avait perdu plus de 70 m² d’un coup. »
Kendy : Ouais, OK.
Mathieu : Donc déjà, lundi tu nous avais dit : « bon bah, ce n’est pas terrible, on aurait pu faire mieux ». Donc, on s’est dit : « ouais, effectivement ». Et donc ce qu’on a décidé de faire c’est de dire : « bon bah, le bien il ne fait pas 260 m². Donc, l’offre elle est nulle, on vous fait une seconde offre à 187 m², mais pour 145 000 € ». Donc, on a renvoyé une nouvelle offre.
Kendy : OK.
Mathieu : Ce à quoi elle nous a répondu : « oui, mais c’est un immeuble, donc on n’est pas obligés de donner la vraie surface », premier argument.
Kendy : Ça c’est du film.
Mathieu : Ouais. Je pense, ouais. Et puis, deuxièmement, elle nous dit : « bon, comme vous avez eu peur de signer le compromis, ne vous inquiétez pas. De toute façon le géomètre, il ne sera pas là avant mi-septembre pour faire le cadastre. Donc ne vous inquiétez pas, on aura tout le temps pour signer le compromis ». Donc ça, ça nous amène dans une signature genre janvier 2020 quoi.
Kendy : OK. Mais, après… Alors, moi je dis les mecs ils vont toujours essayer de la jouer un peu pour essayer de te speeder un peu. Toi il faut montrer qu’en gros tu es investisseur, tu n’es pas à la rue. On n’est pas à la rue du tout, mec. Nous, on est là, on cherche des opportunités et des opportunités, il y en a. Donc, tu fais le malin : « bah mec, d’ici peut-être deux semaines, j’aurais déjà trouvé autre chose quoi. Donc, estime-toi heureux que je vienne encore te parler, et tout. Je ne suis pas à la rue ». Alors, on n’est pas aussi arrogant, mais on essaie de faire passer le message subtilement, histoire de montrer aux gens que… En fait, ce qui se passe c’est que les agents immobiliers, ils sont habitués à avoir des gens qui font peut-être parfois leur *problème* aux opérations et de l’effacer, genre leur coup de cœur, ce genre de choses, et puis du coup ils ont forcément envie quoi. Et du coup, un petit coup de pression disant : « si vous ne signez pas, on va donner à quelqu’un d’autre ». Et les gens, ils sont déjà attachés émotionnellement au bien et du coup ils se précipitent. Nous, aujourd’hui maintenant, tu sais que…
Mathieu : Bah, elle *nous a fait le coup* d’ailleurs de l’acheteur qui attendait derrière et en fait, bon bah, là c’est *0:33:50* évidemment.
Kendy : Ça c’est limpide je veux dire, et le pire c’est que ça marche. Il y a des gens effectivement, ils n’ont jamais *0:33:57* et ça marche. Quand on te dit : « ouais, ça va partir ». Moi, pour mes premières opérations, je me rappelle, des fois on m’a fait ces coups-là et tu vois j’ai eu l’idée de faire une offre plus basse parce que je me disais : « putain, ouais quelqu’un *me devancerait* ». Et puis, et je n’ai pas honte de le dire, j’ai fait une connerie même. Et c’est pour ça que je ne veux pas que vous la fassiez, c’est que le mec un jour il m’a dit : « ouais, tu sais moi j’ai déjà reçu une offre à 105 000 là », je ne sais pas quoi. Alors moi, je suis en train d’hésiter le *0:34:30* et puis je fais : « écoute, moi, je te fais 106 000 ». Et puis maintenant avec du recul, je me suis dit : « mais putain, quel deal, non ! Pourquoi tu as fait ça ! ». Le mec, il a une offre à 105 000, il ne va pas commencer à te dire : « oui j’ai une offre à 105 000, machin machin ». Non, il ne va pas faire ça. Il va signer l’offre. Lui son but c’est de vendre, ce n’est pas… Ce que je veux dire c’est qu’il ne faut surtout pas montrer que tu es pressé, tu as le temps. Donc, si ce n’est pas celui-ci, ce sera un autre, OK ? On n’est pas à la rue, nous on veut faire un investissement, si mec ton géomètre ne passe pas dans la semaine ou du moins dans les deux-trois semaines-là, c’est tout on va trouver autre chose. Après, ce qu’il faut dire c’est que pour moi, effectivement le fait de faire l’offre en dessous est très bien c’est-à-dire on dit : « bah, écoutez, au départ vous avez fait une offre, du moins vous avez dit que l’unité faisait 260 000, là, au prorata… ». Et puis, tu pourras même… je pense que si on fait le prorata peut-être que tu pourras même descendre encore plus.
Mathieu : Le prorata c’est 125 000.
Kendy : Ah bah ouais, moi mon gars j’aurais fait 125 000, je dis au prorata, ce qui représente 30 % du montant, moi au prorata, on est à ce prix-là, bah ouais. Et puis, il prend il prend, tant mieux, il ne prend pas, tant pis, voilà. En tout cas, on peut lui montrer, et de façon si chiffrée quoi, tu dis : « écoutez, voici ce qu’on avait, voici ce que vous me présentez finalement, vous êtes d’accord que moi ce que j’achetais au départ c’est des mètres carrés, je n’achète pas… ce n’est pas le nom que j’achète, c’est vraiment des mètres carrés. Donc aujourd’hui, moi j’étais prêt à vous faire ce prix-là parce que je sais que demain si je revends, je pourrais revendre les 6 m². Demain, moi si j’achète un truc qui fait 187 m², moi je ne pourrais pas revendre au prix quoi ». Donc pour moi, je fais le calcul simple, je diminue au prorata moi. Alors là, vous avez déjà fait l’offre donc vous verrez.
Malika : Voilà ! On a fait la deuxième offre, mais elle n’a même pas présenté au propriétaire d’une part. Et on a argumenté sur l’offre d’achat, elle est rédigée selon les modèles là que tu nous as mis à disposition et on a bien écrit noir sur blanc 260 m² sur la première.
Kendy : Ouais. OK. Mais pour moi… De toute façon, je ne sais plus à qui je disais ça… Ah oui, c’était à Arsène. Tant qu’on n’a pas signé du moins l’acte définitif, rien n’est fait. OK ? Donc, on continue tout le boulot quoi, c’est-à-dire qu’en parallèle, du moins celui-ci on le garde quand même sur le coude, et puis en parallèle, il faut continuer d’alimenter vos recherches, c’est-à-dire votre fiche d’analyse de bien, et puis aller faire d’autres visites. Et puis, si ça passe de ce côté-là, bah c’est tout on continue ; si ça ne passe, c’est tout on prendra autre chose. Mais, il ne faut pas se dire : « OK, on est très avancés sur celui-ci, donc on arrête tout et puis on met tout, toute notre énergie sur celui-ci ». Parce que demain, il se passe un truc, ce bien on ne peut plus le vendre parce que, je ne sais plus, il y a un élément, on sera obligé de repartir à zéro. Tandis que si on continue de faire des visites d’autres biens, si celui-ci ne passe plus, on aura juste à continuer quoi. On dit : « on passera à autre chose ».
Malika : Ouais. Les visites, on continue, c’est juste qu’on n’ose pas trop du coup se lancer sur une autre offre ayant peur que ça nous engage un peu juridiquement à…
Kendy : Pour ça, non, ne t’inquiète pas pour ça. Tant qu’on n’a pas signé… je dis même au niveau du compromis, une fois que t’as signé le compromis, on peut se dire que là on peut lever le pied quoi. Mais pour moi, vous faites des offres, il n’y a pas de souci là. Les offres, je dis c’est… Du moins, je ne vais pas te dire que ça ne vaut rien, si, ça vaut quelque chose, mais c’est vraiment… ouais, c’est du pipi de chat quoi, genre tu fais une offre, tu n’as pas le temps d’aller au compromis, mais c’est tout, le mec il ne va pas venir te voir : « hey, il faut venir au compromis ». Et même si tu vas au compromis, t’as dix jours pour dire : « non, je ne veux plus ». Donc, tout le monde va gagner du temps sur cette partie-là, donc il faut vraiment ne pas avoir peur à faire des offres. Tu bombardes, tu bombardes, tu bombardes et puis on prendra ce qui nous intéresse, mais il faut… C’est vraiment quand on a fait le compromis, une fois le compromis signé, à ce moment-là on va peut-être lever le pied sur les recherches, histoire de focaliser notre sur la recherche du financement, mais tant qu’on n’a pas signé de compromis, là on ne lâche rien, on continue.
Johan : OK. Alors, le problème qu’on avait avec l’agent immobilier, c’est qu’elle fait semblant de ne pas comprendre évidemment hein. Et donc nous, on a envie de se dégager l’offre, mais elle fait genre : « non non, mais c’est bon, vous avez fait une offre, vous êtes engagé quoi ».
Kendy : Mais, l’offre elle est engagée sur… De toute façon, l’offre elle ne vaut rien puisque le bien, il ne fait pas 260 000. Donc, elle est même caduque cette offre. Tu as juste à envoyer un mail disant : « l’offre, étant donné que le bien il ne fait pas 260 m², l’offre est caduque puisque ce n’est pas les bonnes conditions ». À part, si vous *0:39:47*.
Johan : C’est ce qu’on a fait, mais elle a fait semblant de ne pas comprendre du coup, genre on n’est pas obligés de mettre la bonne surface.
Kendy : Mais non, elle *prend du flanc*. Mais, tu lui dis simplement que s’ils ne mettent pas la bonne surface, du moins s’ils mettent la surface de 260 m2 sur le compromis, nous ce qu’on fera, c’est qu’après la vente on va demander à être dédommagés, voilà.
Malika : Alors, mais ça va être…
Kendy : Et là, on place plus d’argent parce qu’ils seront obligés de dédommager au prorata de la surface qui est déclinée.
Malika : Mais sur le compromis, elle a mis 187 m2. C’est l’offre d’achat qui est à 260, mais…
Kendy : Non, mais bon, du coup, c’est tout.
Malika : Ouais.
Kendy : Bah, si tu le dis, mais les biens, du moins le bien sur l’offre d’achat et le bien sur le compromis, ils ne sont pas concordants, donc tu ne signes pas de compromis.
Malika : C’est ça.
Kendy : De toute façon tu ne signeras pas de compromis qui ne correspond pas à l’offre que tu as faite, point.
Malika : D’accord ! OK !
Kendy : Et si *0:40:38* dis-lui d’appeler Kendy, voilà, c’est tout (Rire.) C’est vrai.
Malika : Donc du coup, je t’ai fait un petit résumé avec les différents chiffres et les différentes projections pour que tu me dises un peu si ça vaut le coup à 145 ou…
Mathieu : Ou qu’on nexte quoi.
Malika : … ou qu’on nexte.
Kendy : Ouais. Après, de toute façon les calculs, je regarderai. Vous avez le code 127. Si ça passe au code 127, *merci beaucoup*.
Malika : Ouais. En fait, ça passe normalement. Ça passe au code 127, sauf que du coup le bien est beaucoup plus cher que le prix au marché en réalité.
Kendy : Ouais, c’est ça. D’accord, OK ! Ouais ! Donc, dans ce cas-là, moi je vous dis si du moins ça passe au niveau des chiffres et qu’ils sont au prix pour faire à 145 000, au prix qu’on a dit et que le bien, on peut finaliser le projet là, c’est-à-dire finaliser une signature pour aller grand max mi-septembre-fin septembre, et puis commencer les travaux d’ici peut-être décembre-janvier, pour moi ça me va. Par contre, si on te dit : « ouais », mais le temps que le mec qui passe, on ne va pas signer avant, on ne peut pas signer le compromis ou je ne sais pas quoi avant novembre ou décembre, je te dis : « commence à chercher d’autres choses hein ! » Tu vois ? Au moins, on ne va pas dire qu’on arrête, mais on continue de chercher autre chose. C’est le premier truc qui est sur la table qui est validé qu’on fait quoi, c’est-à-dire, ce qui est pris n’est plus à prendre, c’est-à-dire, une fois qu’on a signé un compromis et c’est validé. Mais ton compromis, une fois qu’on l’aura signé, on va te dire qu’on ne veut pas. Et on ne va même pas le signer parce qu’on a déjà fait autre chose. Et puis, l’offre, elle est signée au moins par le vendeur. C’est ça ?
Malika : Ouais ! Ouais ! Elle est signée, ouais.
Kendy : Ouais, bon bah c’est mieux, mais de toute façon, si on n’a pas envie d’aller plus loin, c’est tout, on ne va pas prendre et puis c’est tout. Qu’il trouve quelqu’un d’autre pour acheter leur truc. Mais nous, on ne va pas le signer un truc plus cher que le prix du marché déjà et puis on ne va pas attendre six mois pour pouvoir signer. Donc, il faut que le prix soit bon et qu’au niveau timing, on soit bon.
Malika : D’accord !
Mathieu : OK !
Kendy : OK ? Pas d’émotion hein. C’est-à-dire qu’il faut vraiment être froid (Rire.)
Malika : C’est ce que j’ai dit à Mathieu, plus d’émotion.
Kendy : Plus d’émotion. Là, on est très très froid. On vous dit : « ouais, les Sprinteurs, ils sont froids, ils sont cruels ». Mais, on s’en fout nous, on est là pour faire des euros nous. Si on n’a pas de temps à essayer de réfléchir, boire un jus. Non non, si ça ne va pas dans notre sens, c’est tout quoi, next.
Mathieu : OK !
Malika : OK ! C’est super.
Mathieu : C’est super Kendy. Merci beaucoup.
Kendy : T’inquiète, t’inquiète. Puis, tu me diras un petit peu comment ça a avancé là. Mais, comme j’ai dit, deux éléments : le prix, le timing. Et troisième chose, tu continues tes recherches en parallèle pour continuer d’alimenter ton *pichet* quoi.
Mathieu : T’inquiète, t’inquiète, on a passé toute la journée en visite là, on est plus motivés que jamais.
Kendy : On va le savoir, je ne lâche rien, on y va, on continue Mathieu, OK ?
Mathieu : On ne lâche rien.
Kendy : Ça va, ne t’en fais pas.
Mathieu : Parfait.
Kendy : Bah, en tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésites pas, je te redonnerai la parole.
Malika : Merci Kendy.
Kendy : All right! Ah oui, juste petite pause, petite pause vite faite. Donc, ouais, bah voilà, ce n’est pas encore… Bon, je vous dirai ça plus tard. Non, finalement, on parle des choses quand elles sont valides. Donc, je vous parlerai de ça plus tard. Donc là, je vais prendre la prochaine personne. Alors, Moustapha : « par rapport à la situation présentée, ce serait quoi le problème pour faire un projet en société ? ». Alors, je suppose que tu parles de la situation de… Là, je te donne la parole Moustapha, tu vas pouvoir me poser ta question en live, je comprendrai mieux. Je pense que je peux te donner la parole. Moustapha, je pense que tu n’as pas installé l’application sur ton port… Tu m’entends ?
Moustapha : Allo !
Kendy : Yes! Comment vas-tu Moustapha ?
Moustapha : Bonjour Kendy ! Ça va ! Comment tu vas ?
Kendy : Ça va ! Nickel nickel ! Alors, c’est quoi ta question exactement ?
Moustapha : Alors, en fait, c’était juste par rapport à la première situation qui a été présentée, je ne m’en souviens plus du prénom du monsieur. Du coup, il avait l’air d’être très… enfin, pas très pour faire son projet en société et du coup, moi je voulais savoir en fait, c’était quoi les…
Kendy : Ah oui…
Moustapha : … enfin, c’est quoi qui posait problème en tenant une société si on est aussi actionnaire ? Ou du moins *présenter* les deux cas et voir les inconvénients et les atouts de ces deux possibilités quoi.
Kendy : Ouais.
Moustapha : Ouais.
Kendy : Bah en fait, du moins tu poses cette question parce que tu viens de commencer, du coup tu n’as pas encore compris pour la semaine 4. Du moins, nous à la semaine 5, on parle de la *toute la partie fiscalité*. Ce qu’il faut te dire c’est que quand tu crées une société, l’argent que tu vas générer, il y a des locations, mais à partir de… Et aujourd’hui, tu n’as pas le droit de prendre l’argent qui est dans cette société directement comme ça, c’est-à-dire que cet argent ne t’appartient pas…
Moustapha : D’accord !
Kendy : Tu prends cet argent et tu le mets dans ta poche, ça s’appelle l’abus de biens sociaux.
Moustapha : D’accord !
Kendy : Et ça, tu vas en prison. Il y a un seul, du moins il y a certains pays où c’est autorisé comme Dubaï, par exemple…
Moustapha : D’accord OK !
Kendy : La carte de la société, c’est la carte bleue. Mais en France, on a certaines règles, du coup, qu’on doit respecter.
Moustapha : D’accord !
Kendy : Et si tu fais le *co-financement* en société, pour pouvoir sortir le cash, tu as deux solutions : soit tu te verses des salaires ou tu te verses des dividendes.
Moustapha : D’accord !
Kendy : Et si tu te verses des dividendes, tu vas avoir ce qu’on appelle la « flat tax » qui est de 30 %.
Moustapha : Bon, d’accord !
Kendy : Après, il y a d’autres *trucs*, situations, sinon tu peux *être au régime généralement*. On prend la flat tax, ce sera de 30 % sur les biens… du moins de l’argent qui va sortir ou alors tu te verses des salaires, mais dans ce cas-là, tu vas payer des charges sociales.
Moustapha : D’accord !
Kendy : Donc, si ton but c’est de générer du cash et d’utiliser ce cash là tout de suite, clairement, le montage en société, ce n’est pas du tout la meilleure situation, la meilleure solution tout de suite parce que…
Moustapha : D’accord ! OK !
Kendy : … tu vas te faire flinguer par la fiscalité. Il y a ce qu’on appelle le régime fiscal LMNP quand tu achètes en nom propre. Là effectivement, tu as la possibilité d’utiliser les mêmes avantages qu’à la société en utilisant les amortissements, ce genre de chose.
Moustapha : D’accord !
Kendy : Mais, tu utilises le cash tout de suite parce que c’est toi la personne qui ne loue quoi en gros. Tu vois ?
Moustapha : D’accord.
Kendy : Mais ça, tu le verras *de toute façon à la semaine 5*.
Moustapha : D’accord OK. D’accord OK, je comprends. OK super ! Bon, voilà.
Kendy : Mais pour l’instant, dis-toi que toi, ton but c’est de pouvoir bien…
Moustapha : C’est la fiscalité…
Kendy : *Pour que moi, je peux acheter à mon propre compte quoi*.
Moustapha : D’accord, OK !
Kendy : OK ?
Moustapha : Bon bah c’était tout. Merci beaucoup !
Kendy : Ça marche, je t’en prie, Moustapha. En tout cas, si tu as d’autres questions, n’hésites pas, je te redonnerai la parole quoi. OK ?
Moustapha : Ça marche. Merci ! OK !
Kendy : OK, à tout à l’heure. All right! Alors, j’ai qui d’autres ? Giovanni. Giovanni, Giovanni ! Comment vas-tu Giovanni ?
Giovanni : Allo !
Kendy : Allo ! Alla ! Tu n’es même pas là Giovanni, ce n’est pas sérieux ça.
Giovanni : Allo ! Allo !
Kendy : Tout va bien ?
Giovanni : Oui, en fait, on *l’ordinateur est en train de jouer là*, mais on fait la vaisselle en même temps (Rire.)
Kendy : OK (Rire.)
Giovanni : C’est pour ça.
Kendy : Alors, vite fait, dis-moi où est ce que tu en es toi, du coup, sur ton problème ?
Giovanni : Ah bah, du coup, toujours au niveau du notaire-là.
Kendy : Oui.
Giovanni : Maëlys a réussi à contacter la notaire.
Kendy : OK.
Giovanni : Et du coup, la notaire m’a appelé il y a 3-4 jours de ça. On a parlé au téléphone pendant 20 minutes. Elle m’a dit qu’on va faire un petit point *pour chaque chose de* rectifié au niveau du compromis. Donc, je lui ai dit, après… Elle a appelé Maëlys, je ne sais pas si je lui ai dit. Comme on est à deux, donc je veux que Maëlys soit au courant aussi. Ça peut appeler Maëlys, on sait bien que Maëlys l’appelle pour être sûr que ce qu’elle dit, ça correspond. Aujourd’hui, elle a eu Maëlys. Donc, du coup, on est d’accord pour la rectification au niveau du compromis.
Kendy : OK !
Giovanni : Donc, voilà. Donc, là, elle nous a dit qu’elle a déjà envoyé par mail toutes les rectifications à l’autre notaire, mais elle attend la réponse de l’autre notaire.
Kendy : OK ! Ça marche.
Giovanni : Mais…
Kendy : Donc, du coup…
Giovanni : Oui ?
Kendy : … en termes de date, vous avez une date ou pas encore ?
Giovanni : On a une date, je crois que c’est le 30 septembre, je ne me rappelle plus. Attends ! Attends ! Je regarde le…
Maëlys : Mais Kendy, en fait, la date butoir c’est le 25 septembre. Mais j’ai demandé au notaire et elle m’a répondu en fait que tant que le compromis n’est pas signé, qu’il n’y a pas eu de modifications, en gros il ne faut pas prendre en compte la date… En fait, c’est un projet de compromis qu’il a envoyé.
Kendy : Alors, je n’ai pas compris.
Maëlys : Pour le compromis, tu as demandé à Giovanni la date butoir, c’est ça ?
Kendy : En fait, la date où vous allez signer le compromis, moi je pose.
Maëlys : Bah, en fait, pour l’instant on n’a pas de date justement parce qu’elle n’arrive pas à contacter le notaire du vendeur.
Kendy : OK !
Maëlys : Elle l’avait déjà contacté. Donc elle l’avait eu, mais là depuis, elle n’arrive pas à l’avoir. Donc je pense que c’est par rapport aux vacances.
Kendy : OK.
Maëlys : Et en fait, sur le compromis, il y a une date butoir pour signer le compromis justement…
Kendy : Oui, mais ça c’est l’acte définitif là. Ça c’est l’acte définitif.
Maëlys : Ah, d’accord. OK.
Kendy : Ça, c’est juste pour dire, en gros, une fois que tu as signé le compromis, il faut que tu aies… Et je pense que ce sera *0:50:32* le 30 septembre, parce que 30 septembre, *ça parle juste* à propos de quand est-ce que vous signez. Si vous signez maintenant, 30 septembre, ça fait à peu près 60 jours, là ça va. Mais, si c’est…
Maëlys : Oui, mais de toute manière c’est caduc parce que déjà dans les clauses suspensives, ils se sont trompés, ils ont mis qu’en fait, on fait l’acquisition du bien sans frais. Donc, c’est pour ça qu’ils ont mis cette date-là et vu qu’au final, ce n’est pas du tout ça. Donc, je pense que par rapport aux modifications qu’elle va apporter, la date va changer forcément.
Kendy : OK ! OK ! OK ! Je vois. OK ! Bah, en tout cas, mais ça veut dire que vous n’aviez pas de… si vous avez mis sans prêt, ça veut dire que les conditions suspensives, vous n’aviez pas la date du prêt ou du moins le prêt sur 20 ans avec le taux, etc., alors ?
Maëlys : Non, du tout ! Et en fait, donc moi, j’ai renvoyé un mail à notre notaire, je lui ai expliqué, voilà je lui ai dit qu’est-ce que je veux dans les conditions suspensives. Et je lui ai bien expliqué qu’en fait, l’acquisition du bien avec un prêt 2,5, etc., et elle m’a dit effectivement qu’elle va le mettre dans le compromis.
Kendy : OK, je vois. Mais, l’offre sur l’offre, c’était noté ça ? Pourquoi ils n’ont pas fait ?
Maëlys : Oui. Mais moi, je pense que s’ils ont pris un compromis type ou bien quelque chose qu’ils avaient déjà rédigé, ils ont bien modifié.
Kendy : D’accord ! OK ! OK ! OK ! Bon bah ça marche. Mais, en tout cas, ce qu’il faut faire c’est d’essayer de relancer rapidement pour signer le compromis le plus tôt quoi. Parce que si on attend trop, ça veut dire qu’on va recommencer la recherche du financement…
Maëlys : Ouais.
Kendy : Plus on attendra plus on devra… comment dire, plus on attendra plus on devra justement…
Maëlys : Oui, ça nous ralentit. Ouais !
Kendy : Oui, mauvaise foi. Non, mais ça marche. OK ! Bah en tout cas, essayez d’avancer sur cette partie et puis…
Maëlys : Entendu !
Kendy : Et puis, on voit ce qu’on fait quoi.
Maëlys : OK ! OK !
Kendy : Ça marche. All right! All right! Bon bah en tout cas, si vous avez d’autres questions, vous n’hésitez pas à me demander. Quand vous avez fini la vaisselle, vous pouvez revenir (Rire.)
Maëlys : OK ! Pas de souci.
Giovanni : OK ! OK Kendy ! Il n’y a pas de souci. À tout à l’heure. OK !
Kendy : All right! All right! OK ! Et qui d’autre ? Laure ? Coucou Laure ! Ah attends, je ne t’entends pas. Tu es sûrement sur ton téléphone là, non ? Attends ! Je te donne la parole sur l’autre truc peut-être. Attends ! Allo allo ! Bon, Laure, je ne t’entends pas. Il faudrait que tu te connectes sur ton PC peut-être, je pense. OK ! Alors, je vais donner la parole à Darcy. Ah Darcy, tu m’as dit que tu étais dans les transports, donc tu ne peux pas parler. OK ! Bon bah, je ne sais pas si tu es encore dans les transports. Mais bon, ce n’est pas grave. Alors du coup, j’ai une autre question… Ah ! Laure m’a dit c’est bon. All right!
Laure : Allo !
Kendy : Allo ! Coucou Laure ! Comment vas-tu ?
Laure : Tu m’entends ? Hello! Ça va bien ! Et toi ?
Kendy : Ça va nickel nickel nickel ! En plus, aujourd’hui, j’ai pensé à toi parce que j’ai pris mon train, du coup.
Laure : Ah ! Super ! Tu as déjà le billet ? Mais, tu viens par le train ?
Kendy : J’ai pris mon billet, j’ai pris l’aller. Je n’ai pas encore pris mon train, mais j’ai pris l’aller du coup.
Laure : D’accord ! Donc, ouais. OK ! En Alsace.
Kendy : Ouais… je ne sais plus là.
Laure : Alors… Oui, alors, le compromis… enfin, l’offre va être envoyée ce week-end pour respecter les 11 jours…
Kendy : Ça, ça m’embête à chaque fois, c’est toujours cette histoire de : « ça va être envoyé, ça va être envoyé », pourquoi ils ne les envoient pas, écoute…
Laure : Mais oui, c’est ça. Donc, tu es obligé de calculer et surtout d’envoyer après les 11 jours parce que pour peu que tu envoies avant, ce n’est pas bon.
Kendy : Mais là, du coup…
Laure : … ce n’est pas bon.
Kendy : En fait, j’ai pris mon billet, mais c’est trop tôt hein. Parce que si tu n’as pas encore reçu l’offre…
Laure : Mais si ! Si, je l’ai reçu, mais je l’ai renvoyé. Tu sais, il faut 11 jours pour…
Kendy : Ah, bah oui ! Mais, du coup, c’est… En fait, j’ai pensé que tu l’aurais déjà reçu, je vais devoir modifier parce que si, moi, j’ai pris mon billet pour le week-end.
Laure : Week-end, 10.
Kendy : Du coup-là, c’est trop tard. Là, tu ne pourras signer qu’à partir du 12. Il faudrait déjà que la date *0:55:11* prévu. Si tu n’as pas prévu, c’est fini hein.
Laure : Bah, ce qu’il y a, c’est qu’on a… Alors, j’ai reçu l’offre. Je dois la retourner 11 jours après, donc c’est ce week-end que l’offre doit partir au courrier.
Kendy : D’accord !
Laure : Enfin, d’ici lundi au plus tard.
Kendy : D’accord !
Laure : Et donc, j’ai contacté mon notaire qui lui a indiqué une date de signature le 9… oui, c’est le 9, vendredi 9 ou lundi 12. Donc, il se met en contact avec le notaire du vendeur pour convenir. Comme mon notaire est à plus de 400 km, donc je pense qu’ils vont faire les choses à distance. Et il va contacter le notaire du vendeur pour se mettre d’accord sur la manière de procéder, mais apparemment, ça va être fait à distance… enfin, j’irai chez le notaire du vendeur pour signer, mon notaire ne sera pas là puisqu’il aurait déjà tout fait avant quoi. Tu vois ?
Kendy : Ouais. OK !
Laure : Donc voilà ! Lui, il a prévu une date… enfin, il m’a dit qu’il va en discuter avec le notaire du vendeur. Mais effectivement, on a prévu une date au 9 ou au plus tard au 12 quoi, le vendredi ou le lundi.
Kendy : OK !
Laure : Donc, voilà où j’en suis. Demain, je vais recontacter mon notaire pour savoir où on en est, si on a déjà une date confirmée puisque du coup, il faut que je prenne un congé pour pouvoir aller signer et me rendre sur place, et voilà. Donc, voilà où on en est.
Kendy : Non, mais ça va. En tout cas, bon. Moi, je ne vais pas modifier pour l’instant, j’attends ta validation.
Laure : Ouais !
Kendy : Et puis, à ce moment-là…
Laure : OK ! Bah demain, je vais l’appeler, et puis je t’envoie un mot pour te dire si c’est le 9. Mais bon, j’aimerais bien que ce soit le 9, en tout cas.
Kendy : Bah ouais, ce serait cool, comme ça au moins…
Laure : Ouais, comme ça, le week-end.
Kendy : La visite…
Laure : Voilà !
Kendy : … on va avancer quoi.
Laure : Exacte !
Kendy : C’est le top. Là, c’est bien dit. Bah en tout cas, c’est une bonne chose, c’est cool, c’est cool, c’est cool.
Laure : Ouais, mais ça avance, ça avance, je suis vraiment contente. Et je voulais te dire, j’ai un devis. Je ne sais pas si je te l’avais envoyé le devis pour justement la réalisation des lots. Je pourrai te l’envoyer, que tu jettes juste un œil rapidement ?
Kendy : Bah, tu vas me l’envoyer, tu me l’envoies par mail et puis…
Laure : Ouais !
Kendy : … je regarderai, et puis on fera un point s’il le faut pour…
Laure : Ouais ! Volontiers ! Justement…
Kendy : … voir un peu avec les, tu vois, le fichier que je t’avais mis.
Laure : Ouais !
Kendy : Mais s’il le faut, on reverra ensemble ces éléments-là. Et puis, quand j’irai les voir aussi, on verra un peu la cohérence par rapport à ce qu’il faut faire évidemment.
Laure : Ouais ! Par rapport à ce qu’il y a à faire, ouais. OK ! D’accord ! Bah, je te l’envoie, comme ça tu jettes un œil. Et puis, quand tu seras sur place, on confirmera au pire, tout ça.
Kendy : On va faire. Non, mais sur place, c’est ça.
Laure : C’est ça. Oui oui !
Kendy : Parfait !
Laure : Ouais !
Kendy : OK ! À tout à l’heure ! Good job! C’est bien.
Laure : Ouais ! Ouais ouais, contente. Donc moi, c’est vrai que l’artisan avait prévu une période de travaux d’à peu près 4-5 mois.
Kendy : Ouais.
Laure : Donc voilà, si on commence les travaux à mi-août, il faut que je regarde aussi avec ses disponibilités.
Kendy : Mi-août ?
Laure : Mi-août, donc ça amène pratiquement à décembre quoi, donc les… je pense qu’on est prêt pour janvier.
Kendy : Ouais, je pense qu’on aurait prendre plus, compter le janvier parce que comme il y a beaucoup de vacances, non pas beaucoup, mais il n’y a pas de vacances entretemps…
Laure : Ouais !
Kendy : … août tout ça, donc je pense *qu’on inclue* janvier. Au moins, il vaut mieux que tu comptes janvier, au moins comme ça tu n’auras pas trop de surprises.
Laure : Ouais, pas trop de… Ouais !
Kendy : Valide bien avec plus le délai quoi, parce que ça, c’est un point qui est très important. Ça, on fera pour moi le point sur la partie « suivi travaux » parce que ça, c’est un truc qui est super super important. Si tu négliges cette partie-là, tu peux vraiment perdre beaucoup de temps. Parce que moi, ce que j’ai pu remarquer, il y a certains chantiers qui étaient en retard non pas parce que… si, l’artisan, il était en retard, mais je pense que c’est la personne qui suit son chantier qui est responsable du site.
Laure : Oui !
Kendy : Tu suis ton chantier, tu dois… Si par exemple, en une semaine étudiée, tu viens et que tu vois que le truc n’a pas évolué, c’est que rien. Tu vois ?
Laure : Il y a un problème.
Kendy : Moi, je dis *0:59:42* visiter mon chantier dès fois deux fois par jour, j’allais le matin, j’allais le soir.
Laure : Ah ouais ? D’accord !
Kendy : Ah ouais, mais après je sais que quand on est assez lourd, on ne peut pas le faire tout le temps, donc ça c’est tout.
Laure : Ouais !
Kendy : Ou bien un petit truc que je faisais des fois c’est genre je dis : « bah écoute je vais essayer de passer ce soir ».
Laure : Ouais !
Kendy : Si je dis : « je vais essayer de passer mercredi ». Le mec, il sait que je vais passer mercredi, donc…
Laure : Donc, il fait la pression et il avance.
Kendy : Pour faire en sorte de faire le boulot. Après, quitte à dire : « oh mince, j’ai eu un changement de programme, tu vois, je ne peux plus venir ». Mais, je drive le truc comme ça parce que le mec, s’il sait que tu viens, il ne peut pas délaisser ton chantier. Tu vois ?
Laure : Ouais.
Kendy : Et franchement, ça c’est super super important. On sait bien que *1:00:29* comme ça, mais le fait de suivre son chantier, psychologiquement même je te dis, ça travaille les mecs parce que je ne sais pas si le mec a déjà fait l’équipement à peine. Quand j’étais à Puget, j’avais un stage en groupe où du moins, je devais mettre des panneaux de signalisation. Pourtant, j’étais stagiaire. Le fait que j’arrive, comme j’étais responsable de chantier et tout, les mecs ils étaient tous en train de se mettre au boulot. Je les voyais se mettre au boulot parce que justement j’arrivais.
Laure : Ah ouais, d’accord.
Kendy : Et pareil au chantier, même si le mec, il ne te le dit pas, mais le fait que tu viennes sur ton chantier, ça permet justement de les mobiliser. Tu dis : « bah OK, le *pilier* il va venir, il ne faut pas qu’il voit qu’il n’y rien a de… ». C’est comme ça quoi.
Laure : Il y a quelqu’un, ouais ouais.
Kendy : Donc, on va débriefer tout ça quand je viendrai te voir.
Laure : Ouais, ouais, volontiers.
Kendy : Mais tout ça, au moins en tout cas pour les autres Sprinteurs aussi, pour qu’ils gardent en tête que le suivi, c’est super super important.
Laure : Ouais.
Kendy : OK ?
Laure : Ouais ouais. Si, si, ouais, très bien.
Kendy : En tout cas, c’est cool. Pense à m’envoyer ton devis, puis comme ça, moi je regarderai quoi.
Laure : Ouais. Je te l’envoie par mail ce soir. Puis comme ça, ça te laisse un peu le temps de regarder.
Kendy : Ouais, je regarderai.
Laure : OK !
Kendy : En tout cas, si tu as d’autres questions, je te reprends tout à l’heure alors.
Laure : D’accord, très bien merci.
Kendy : A toute ! OK ! Alors, j’ai une autre question de Mathieu. Alors si la tranche marginale a 30 %, et si, reste-t-elle plus intéressante que LMNP ? C’est une bonne question que tu poses. C’est une bonne question Mathieu parce que justement, moi ce que je dis c’est que quand tu commences à monter dans les tranches marginales d’imposition, à partir de ce moment-là, il faut penser à basculer. Parce qu’effectivement si tu es genre à 40 %, là effectivement la question, tu ne poses mêmes pas, il faut passer en société. Alors si tu as 30 %, j’ai envie de dire c’est presque kif kif quoi. C’est presque kif kif parce que… En même temps, il y a truc, ouais. Disons que si tu es en société que tu as 30 % en nom propre, ce qui va se passer, c’est que si tu veux récupérer le cash tout de suite, de toute façon, en société, tu ne pourras le récupérer tout de suite. Il faudra quand même que tu attendes d’avoir fait ton bilan. Donc, ça dépend là encore de ton objectif. Si ton but, c’est de prendre le cash tout de suite, au moins, LMNP c’est mieux. Par contre, si ton but effectivement, c’est de te créer du patrimoine, bah là, la société c’est mieux. Mais, c’est sûr que quand tu commences à monter en tranche, ouais, là ça va commencer à piquer. Ouais ça va piquer très très sévère. Mais bon, il faut déjà y aller. Du moins, pour moi, je pense qu’on peut exploiter toute la tranche à 30 % jusqu’à la tranche 40 %. À partir de 40 là ouais, bon je pense que c’est plus judicieux. Mais en tout cas, pour débuter je pense que c’est quand même mieux de faire un nom propre et après de partir en société. Si la question c’est de savoir dans quel ordre le faire, je pense qu’au début nom propre et après société, au moins là tu maitrises déjà les rouages. Après effectivement, la société pour toi sera juste un plus, mais ouais. Pour moi effectivement, par la suite, si tu es déjà très élevé en tranche de position, du moins tu vas passer très rapidement à société parce que sinon tu vas douiller. Mais bon, si on fait du LMNP, qu’on fait pas mal de travaux, même si tu as la tranche d’imposition à 30 %, avant de douiller, il va se passer quelque temps quand même parce que tu auras des travaux à déduire. Ah ouais, OK (Rire.) Non, mais même si vous êtes à 40, je veux dire, avant d’avoir des bénéfices, il va se passer du temps quoi parce que vous allez faire des travaux. Vous allez faire des travaux et avoir de l’amortissement, certes c’est-à-dire que vous n’allez pas pouvoir utiliser ce truc-là pendant longtemps, c’est-à-dire vous n’allez pas avoir du moins de l’amortissement pendant quinze ans. Vous allez sûrement en avoir peut-être… Je pense qu’au bout de quatre-cinq ans, ouais, tu n’en auras plus. Après, soit il faudra partir sur une autre opération où là encore générer du déficit avec des travaux, mais au moins, comme tu as l’amortissement du bien plus les travaux avant de pouvoir être en bénéfice, il faut y aller hein, il faudra vraiment y aller. Soit effectivement, si vous générez beaucoup beaucoup, cette partie-là sera peut-être pendant deux ou trois ans ou peut-être pas beaucoup, genre trois à quatre ans, mais avant de pouvoir… du moins, après ces quatre ans là, si vous ne faites pas d’opération, là effectivement ça va piquer. Mais au moins pendant deux ou trois ans, normalement avec l’amortissement plus les travaux que vous allez faire, vous allez pouvoir justement du moins sortir du bénéfice comptable en tout cas, il va se passer quelque… pour moi au moins deux ou trois ans, au moins. Donc, c’est-à-dire que là, aujourd’hui même si vous êtes au-dessus, vous pouvez encore partir en nom propre parce que vous allez avoir quelques travaux à déduire. Mais c’est sûr qu’après il faudra y penser rapidement quoi, c’est-à-dire que quelqu’un qui est peut-être à 30 % et qui pourra faire peut-être, je ne sais pas, trois ou quatre opérations, mais avant de pouvoir penser à faire en société, vous allez peut-être y penser un peu plus tôt parce qu’effectivement, à un moment, là il n’y aura plus de déficit et là ça va piquer quoi. OK ? Alors, je ne sais pas, je ne t’ai pas mis la parole Mathieu, je te réactive un peu. Tu m’entends Mathieu ?
Mathieu : Ouais, je t’entends bien, Kendy.
Kendy : Ouais. Donc, ouais, je pense que t’as entendu la réponse que je t’ai donnée, mais c’est sûr que dans ton cas du moins la partie optimisation, elle est très importante, là tu vois. Là on ne peut plus se tromper parce que là, dans votre situation si on fout la merde, en plus des 40 %, tu auras les 15 % de CSG - CRDS, à l’attrait il ne va plus rester grand-chose, tu vois ? Donc, du coup, il faut vraiment se dire toute la partie travaux, il faudra bien déduire et puis tout ce qui est… comment dire, ce n’est pas des montants importants, mais tous les petits frais que vous allez réaliser par rapport à ça, vous allez les défalquer, ça il faut… Il y a même tes déplacements, tu te déplaces, tu vas là-bas, bah mec, tu fais une note de frais. Tu fais une note de frais. Sinon, tu n’auras pas assez de frais, et puis tu vas très rapidement… bon, je dis « très rapidement » parce que si tu fais 100 000 € de travaux, tu vois, ça dit qu’il faudrait générer… Même si tu génères 25 000, ça te fait déjà quatre ans, et en plus on n’a pas compté l’amortissement. Au moins, avant de sortir du bénéfice comptable, il y aura quelques années. Puisqu’en plu avec l’amortissement, ouais… l’amortissement, c’est vraiment un cadeau de l’État ça hein, que genre aussi ton bien vaut, je ne sais pas….
Mathieu : Ouais, on ne sait pas.
Kendy : Pendant 10 ans… peut-être pas 10 ans, il y a la partie du terrain, mais genre on va prendre un prorata, si ton bien vaut 100 000, l’État va considérer que peut-être par exemple le terrain vaut 40 000 et que tu as 60 000 à défalquer. Et genre ton comptable il pourra te déduire ça peut-être sur trente ans ou quarante ans. Et puis, genre tous les ans tu vas pouvoir sortir 3 000 ou 4 000 € loin de déficit juste pour l’amortissement, donc sans compter les travaux, sans compter les autres *1:09:42* ce que tu auras…
Mathieu : Mais après, il faut faire le calcul parce que mine de rien, parce que quand tu amortis, après, ton statut, est-ce qu’il se met genre la SAI doit racheter au statut LMNP ?
Kendy : Non. Alors, je déconseille ça parce que si tu as ta société, du moins tu es en LMNP et que tu veuilles revendre à ta société, du moins à une SCI ou une SASU, là tu vas payer en fonction du prix du bien, tu fais un cadeau au notaire. Là sur 100 000 €, tu fais cadeau de 7 000 € à ton notaire, gratos hein. Tu vois ? Je pense que c’est quand même plus judicieux de garder une partie en nom propre et puis de garder une partie en société parce que ça te permet de – comment dire – jauger en fait, tu pourras ouvrir le robinet, c’est-à-dire que quand t’es en société, c’est toi qui décides : « OK, combien je vais me verser cette année ? ». Tu vois ? Tu te dis : « bon cette année, je vais prendre 30 000 ou 40 000 ». Mais tandis que si tu es en nom propre, là tu ne peux pas, il n’y a pas d’histoire de robinet. Tout ce qui rentre, on rend au compte. Tandis qu’en société tu pourras dire : « OK, mais cette année je n’ai pas besoin de plus, je prends 30 000, je prends 100 000 ». Mais, tu n’as pas besoin de… Tu vas pouvoir optimiser ta fiscalité parce que tu vas pouvoir décider de combien tu as besoin, tandis que si tu es en nom propre, c’est tout ce qui rentre, on va compter quoi.
Mathieu : Ouais tout est taxé.
Kendy : Et pour moi, le fait de racheter, de faire racheter ta société, du moins de faire racheter par exemple ton bien par une SCI et tout, il faut vraiment que ça en vaille la peine, parce qu’au moins c’est un cadeau, c’est de l’argent que tu jettes comme ça. Là, tu as 7 % du prix du bien qui part en fumée comme ça. Pour moi, ce n’est pas forcément…
Mathieu : Ah non, ce n’est pas la peine, c’est clair.
Kendy : Et franchement, j’y ai pensé à plusieurs reprises, moi je me dis : « qu’est-ce que je fais ? Est-ce que je fais… ? ». Mais après, en gros, en reposant bien les calculs, je me dis : « ah non, mais là, tu fais cadeau de trop d’argent ». Et puis, je pense que c’est quand même bien d’avoir le… Du moins, si tu as créé ta société et après un an et tout, bon là ça va, là c’est kif kif. Mais pour la première année, du moins il faut quand même avoir un truc en nom propre parce que tu devras quand même attendre un an et tout où tu ne pourras pas profiter du cash que tu as généré.
Mathieu : D’accord. OK. Merci Kendy. Tu es cool.
Kendy : Non, mais je t’en prie, Mathieu. Mais, c’est vrai que c’est une bonne question que tu poses. Moi, justement, *j’avais basculé tranche*, et c’est là que je me suis dit : « ouh là là, il faut que je fasse gaffe ». Et c’est pour ça que j’ai créé moi la deuxième *1:12:44*. Mais bon, tu vois, je te dis, comme tu vas avoir des travaux et l’amortissement, tu as encore le temps, et même s’il le faut, tu referas d’autres opérations. C’est juste que le seul souci c’est que quand on prend cette stratégie-là, on est obligé de tout le temps couvrir d’autres travaux. Mais de toute façon, à un moment, le coffret il tombera quoi. Que ce soit au début ou à la fin, à un moment il faudra passer quand même à la *case* travaux. Celui qui dit qu’on ne passera pas à la *case* travaux, il te baratine. Forcément, on y passera à un moment quoi. C’est juste que moi ce que je fais c’est que j’essaie de retarder ce moment-là au plus tard, mais bon à un moment il faudra qu’on y passe quoi. Mais en même temps, ce n’est pas plus mal, c’est parce qu’on gagne de l’argent donc… On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre quoi, si on gagne des sous, on doit payer hein. Après, j’ai passé même à des histoires de *Dubaï* et tout (Rire.) *1:13:44* Ça, ça reste entre nous ça.
Mathieu : Ah d’accord.
Kendy : Maintenant, tu vois enfin c’est tout. Si on gagne de l’argent, on doit payer. C’est sûr, on ne pourra pas y échapper éternellement.
Mathieu : Je vais faire mes calculs. J’ai commencé à écrire sur Excel. Si tu veux, je te le partagerai.
Kendy : Tu pourras me le partager. Mais pour moi, je te dis au début le rapprochement, ce n’est pas… Au début, c’est un mémo à garder, je sais qu’au début ce n’est pas possible parce que ça ne voudrait rien dire qu’il faudrait que tu génères autant de revenus que le prix du bien déjà la première année pour te dire que même si tu fais le prix du bien la première année, en gros, ça te ferait quand même deux ans de truc. Mais pour moi, ce n’est pas possible. Si tu achètes le bien à 200 000, tu ne peux pas générer 200 000 de bénéfice la première année, ce n’est pas possible. Ça reste une activité commerciale, mais bon il n’y a pas de 100 % de rentabilité. Moi, je n’ai pas encore trouvé un truc, la méthode pour faire du 100 % (Rire.) Donc, ce n’est pas possible.
Mathieu : Dommage.
Kendy : Non, pas encore. Mais j’y réfléchis, mais pas encore, pas encore. OK. Alors, mais en tout cas si tu as d’autres, n’hésite pas Mathieu, puis je te redonnerai la parole alors. OK ?
Mathieu : Bien merci, Kendy.
Kendy : Ça marche, je t’en prie, Mathieu. OK. Yes. Alors, Giovanni, je ne sais pas, mais ton micro était désactivé, je ne sais pas si c’est normal, mais je ne peux pas te donner la parole. Alors, je vais voir si Darcy est toujours là. Salut Darcy ! Je ne sais pas si tu es là Darcy. Darcy ne doit pas être là non plus. Hop ! Bon ! Mais en tout cas, alors je regarde si j’ai d’autres questions. Il ne semble pas, il n’y a pas d’autres questions. Alors, si tu as une dernière question ou du moins si tu as d’autres questions, pose-moi ta question dans la Chatbox, puis comme ça moi, je vais pouvoir te donner la parole. Sinon, je vais te laisser repartir sur le terrain, aller faire les actions nécessaires pour aller chercher les euros là. Alors, j’attends encore un petit peu. OK Darcy ! Darcy me dit : « toujours dans les transports ». Bon en tout, je ne sais pas si tu avais des questions Darcy. Si tu as une question, n’hésite pas à me la poser directement dans la Chatbox également. Alors, si tu as une question, n’hésite pas à la mettre dans la Chatbox. Puis, comme ça, je vais te répondre. Je regarde. Bon, il semblerait que ce soit OK pour toi. En tout cas moi, ça m’a fait plaisir d’échanger avec toi aujourd’hui. Comme d’habitude, c’est vraiment très instructif. Donc, on va continuer comme ça. On essaie de continuer. Écoute, OK Giovanni, il n’y a pas de souci. En tout cas nous, on se voit lundi. Donc là, tu as tout le week-end pour, du moins tu as encore demain vendredi pour pouvoir faire des appels, que ce soit pour prendre rendez-vous avec des artisans, que ce soit pour contacter le banquier, que ce soit pour le notaire, faire des visites, etc. Donc, tu as tout le week-end-là. Donc, on ne lâche rien, on continue. Il ne faut surtout pas lâcher la pression-là tant qu’on n’a pas signé, tant qu’on *1:18:19* trousseau de clés, on ne lâche rien. Justement, en parlant de trousseau de clés, je vais voir Selim dimanche. Du coup, je te mettrai la vidéo de présentation de son projet. Je pense qu’on va la sortir d’ici peut-être lundi au plus tard. Puis comme ça, ça te permettra aussi de voir un petit peu ce qu’on est capable de faire. OK ? Comme ça, ça va te permettre de garder la pêche et puis de continuer d’avancer, et puis voilà. En tout cas, bon, moi je ne vais pas te prendre plus de temps. Je te souhaite une bonne soirée. On se dit à lundi 19 heures. N’oublie pas donc tu as accès à, pour pouvoir t’enregistrer, tu as le lien normalement dans ton espace membre, sur le groupe privé Facebook, et puis, je t’enverrai également un mail pour te rappeler tout ça. OK ? Je te souhaite une bonne soirée. Je te dis à lundi. Allez, ciao ciao.